Bouaké- Un premier groupe de 12 producteurs de noix de cajou sur un total de 24, issus des départements de Dabakala, Bouaké et Séguéla, ont entamé lundi 14 décembre 2020 un séminaire de formation sur les premiers gestes de secours au foyer Jeune Viateur de Bouaké.
« Nous allons permettre aux participants à ce séminaire d’avoir le BA-BA du secourisme pour pouvoir apporter assistance avant de conduire le patient dans un centre de santé. Nous allons également les sensibiliser sur les mesures barrières contre la COVID-19 », a précisé le secrétaire général de la Croix-Rouge de Bouaké et formateur, Traoré Seydou.
Cette session de formation, organisée par Olam-Ivoire en partenariat avec le comité local de la Croix-Rouge de Bouaké, s’inscrit dans le cadre du projet dénommé résilience des communauté paysannes dans le domaine de la santé. Ce projet, initié par Olam-Ivoire dans le cadre de son programme de développement durable des producteurs de cajou (SCGP), vise à renforcer la résilience de ceux-ci face aux différentes maladies.
« Nous voulons apporter notre pierre à l’amélioration de la santé des producteurs de noix de cajou qui approvisionnent nos usines », a indiqué à l’ouverture des travaux du séminaire le responsable achat-cajou et développement durable d’Olam-Ivoire Cajou.
La mise en œuvre de ce projet se déroule en deux phases. La première, déjà réalisée, a consisté à mener une étude afin d’appréhender les défis majeurs de santé auxquels sont confrontés les communautés paysannes. La seconde phase, qui concerne la formation, a pour objectif d’outiller ces communautés paysannes contre ces problèmes de santé rencontrés.
A l’ouverture des travaux, Les représentants respectifs du conseil coton-anacarde (CCA) et de la direction régionale de l’agriculture et du développement rural de Bouaké, Soro Koutougo et Yvette Bléou, ont félicité les responsables d’Olam-Ivoire pour cette « belle initiative ».
« Sans producteurs en bonne santé pas de produits pour ravitailler les usines. Olam ayant compris cela, c’est une très bonne chose. Félicitations donc à ses responsables pour cette belle initiative », a déclaré Mme Bléou. Cette dernière a exhorté les 24 paysans-relais, qui prennent part au séminaire, à faire preuve d’assiduité afin de bien assimiler le contenu de la formation et faire une bonne restitution à leur retour dans leurs bases respectives.
rkk
« Nous allons permettre aux participants à ce séminaire d’avoir le BA-BA du secourisme pour pouvoir apporter assistance avant de conduire le patient dans un centre de santé. Nous allons également les sensibiliser sur les mesures barrières contre la COVID-19 », a précisé le secrétaire général de la Croix-Rouge de Bouaké et formateur, Traoré Seydou.
Cette session de formation, organisée par Olam-Ivoire en partenariat avec le comité local de la Croix-Rouge de Bouaké, s’inscrit dans le cadre du projet dénommé résilience des communauté paysannes dans le domaine de la santé. Ce projet, initié par Olam-Ivoire dans le cadre de son programme de développement durable des producteurs de cajou (SCGP), vise à renforcer la résilience de ceux-ci face aux différentes maladies.
« Nous voulons apporter notre pierre à l’amélioration de la santé des producteurs de noix de cajou qui approvisionnent nos usines », a indiqué à l’ouverture des travaux du séminaire le responsable achat-cajou et développement durable d’Olam-Ivoire Cajou.
La mise en œuvre de ce projet se déroule en deux phases. La première, déjà réalisée, a consisté à mener une étude afin d’appréhender les défis majeurs de santé auxquels sont confrontés les communautés paysannes. La seconde phase, qui concerne la formation, a pour objectif d’outiller ces communautés paysannes contre ces problèmes de santé rencontrés.
A l’ouverture des travaux, Les représentants respectifs du conseil coton-anacarde (CCA) et de la direction régionale de l’agriculture et du développement rural de Bouaké, Soro Koutougo et Yvette Bléou, ont félicité les responsables d’Olam-Ivoire pour cette « belle initiative ».
« Sans producteurs en bonne santé pas de produits pour ravitailler les usines. Olam ayant compris cela, c’est une très bonne chose. Félicitations donc à ses responsables pour cette belle initiative », a déclaré Mme Bléou. Cette dernière a exhorté les 24 paysans-relais, qui prennent part au séminaire, à faire preuve d’assiduité afin de bien assimiler le contenu de la formation et faire une bonne restitution à leur retour dans leurs bases respectives.
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