La finance islamique, un outil de financement alternatif, auprès des Établissements de crédit et des Systèmes financiers décentralisés. Tel est l’objectif de l’atelier organisé par le ministère de l’Économie et des Finances, à travers le Programme de Développement du Secteur Financier (Pdsfi ) ce jeudi 17 décembre 2020 à Abidjan-Plateau.
Cette journée a été lieu pour les initiateurs d’instruire les participants autour de la problématique de la finance islamique. La Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) a publié, en 2018, des textes règlementaires pour encadrer l’activité de finances islamiques dans la zone Uemoa.
Pour Fanny Siaka, Secrétaire Exécutif du PDESFI, ces textes réglementaires sur la finance islamique n’ont pas encore été suffisamment vulgarisés auprès des Établissements de Crédit et des Systèmes Financiers Décentralisés, "quoique la première institution financière traitant de la finance islamique a été mise en place depuis 2009" précise-t-il.
Le directeur de Cabinet Adjoint, Représentant le ministre de l’Économie et des Finances, Bamba Vassogo a indiqué à l’ouverture de cet atelier que jusqu’à ce jour, l’État a plutôt fait appel à des financements islamiques pour répondre aux besoins du secteur public.
Mais en ce qui concerne le secteur privé, plusieurs opportunités de financement leur sont offerte. À en croire le collaborateur du ministre Adama Coulibaly, la finance islamique est une finance éthique et est pratiquée à travers le monde avec un taux de croissance important. "La finance islamique connaît une forte progression depuis plusieurs années et représente aujourd’hui plus de 2.000 milliards de Dollars d’actifs financiers" a-t-il révélé.
Patiquée en Afrique subsaharienne, en particulier dans l’UEMOA la Banque islamique participe fortement aux économies intérieures.
L’atelier entend également permettre aux participants de définir la finance islamique et d’en expliquer les principes généraux, de comprendre l’introduction aux transactions financières islamiques, de maîtriser les instructions de la Bceao relatives à la finance islamique, et de mieux connaître les avantages de recourir à la finance islamique.
Cyprien K
Cette journée a été lieu pour les initiateurs d’instruire les participants autour de la problématique de la finance islamique. La Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) a publié, en 2018, des textes règlementaires pour encadrer l’activité de finances islamiques dans la zone Uemoa.
Pour Fanny Siaka, Secrétaire Exécutif du PDESFI, ces textes réglementaires sur la finance islamique n’ont pas encore été suffisamment vulgarisés auprès des Établissements de Crédit et des Systèmes Financiers Décentralisés, "quoique la première institution financière traitant de la finance islamique a été mise en place depuis 2009" précise-t-il.
Le directeur de Cabinet Adjoint, Représentant le ministre de l’Économie et des Finances, Bamba Vassogo a indiqué à l’ouverture de cet atelier que jusqu’à ce jour, l’État a plutôt fait appel à des financements islamiques pour répondre aux besoins du secteur public.
Mais en ce qui concerne le secteur privé, plusieurs opportunités de financement leur sont offerte. À en croire le collaborateur du ministre Adama Coulibaly, la finance islamique est une finance éthique et est pratiquée à travers le monde avec un taux de croissance important. "La finance islamique connaît une forte progression depuis plusieurs années et représente aujourd’hui plus de 2.000 milliards de Dollars d’actifs financiers" a-t-il révélé.
Patiquée en Afrique subsaharienne, en particulier dans l’UEMOA la Banque islamique participe fortement aux économies intérieures.
L’atelier entend également permettre aux participants de définir la finance islamique et d’en expliquer les principes généraux, de comprendre l’introduction aux transactions financières islamiques, de maîtriser les instructions de la Bceao relatives à la finance islamique, et de mieux connaître les avantages de recourir à la finance islamique.
Cyprien K