Le ministre de l’économie et des finances, Adama Coulibaly, représentant le Premier ministre Patrick Achi a procédé ce lundi 26 avril à l’ouverture de la 8ème édition de la revue générale des activités des projets du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) à l’auditorium de la Primature à Abidjan-Plateau.
Selon le ministre chargé de l’économie et des finances, l’objectif de ces travaux est d’assurer l’atteinte des objectifs sectoriels des projets du C2D.
Pendant 5 jours ( du lundi 26 au vendredi 30 avril 2021) les réflexions qui seront mnenées par secteur consisteront à passer en revue la mise en œuvre des activités effectuées au de l’année 2020 et des années antérieures. De mettre en relief les éventuels écarts par rapport aux attentes et d’actualiser les prévisions de décaissement 2021. Mais également examiner les rapports d’évaluation des projets et, le cas échéant, les conditions d’évaluation à mis parcours des projets qui n’ont pas encore fait l’objet d’attention. Il est en outre prévu lors des travaux de tirer les leçons de la revue sectorielle 2020, pour mieux anticiper les difficultés éventuelles, et faire des propositions, en vue de les surmonter ou d’en atténuer les effets.
Pour le ministre Adama Coulibaly, le C2D est devenu, ces dernières années, l’un des principaux outils opérationnels de l’appui de la France au développement socio-économique de la Côte d’Ivoire. Aux dires du ministre de l’Economie, à cet instrument financier, se sont ajoutés les Prêts Souverains de l’AFD et les Prêts du Trésor français, dont la complémentarité participe au succès des projets initiés à travers le territoire national. À cet égard, Adama a fait noter que ’’ l’approche « masse critique » des opérations promue par le C2D ainsi que les appuis budgétaires sectoriels ont contribué significativement aux progrès structurels réalisés dans différents secteurs tels que la justice et l’Etat de droit, le continuum éducation-formation-emploi, la santé, l’eau potable, l’environnement, l’agriculture, les infrastructures de transports’’. C’est pourquoi il a exhorté donc, dans le cadre des travaux d’analyse de l’état de mise en œuvre des projets du C2D, à examiner de façon détaillée les difficultés antérieures en vue de proposer des solutions pour de meilleures conditions de réalisation des activités
Bien avant, la coordonnatrice du Secrétariat Technique du C2D, Léa Djatti Diaté a salué les parties prenantes pour le travail abattu lors de la mise en œuvre des deux C2D. Selon elle, les résultats escomptés sont satisfaisants à mis parcours car « à ce jour, la quasi-totalité des projets du premier C2D et la majorité des projets du deuxième C2D sont achevés ». Néanmoins elle a invité les principaux acteurs à conjuguer les efforts pour l’atteinte des objectifs.
Rappelons que le Contrat de désendettement et de développement (C2D) est un programme d’annulation et de reconversion de la dette bilatérale octroyée de manière additionnelle par la France, et qui s’inscrit dans le prolongement de l’initiative pays pauvres très endettés (PPTE). Le C2D est conclu lorsque le pays atteint le point d’achèvement de l’initiative PPTE.
Cyprien K.
Selon le ministre chargé de l’économie et des finances, l’objectif de ces travaux est d’assurer l’atteinte des objectifs sectoriels des projets du C2D.
Pendant 5 jours ( du lundi 26 au vendredi 30 avril 2021) les réflexions qui seront mnenées par secteur consisteront à passer en revue la mise en œuvre des activités effectuées au de l’année 2020 et des années antérieures. De mettre en relief les éventuels écarts par rapport aux attentes et d’actualiser les prévisions de décaissement 2021. Mais également examiner les rapports d’évaluation des projets et, le cas échéant, les conditions d’évaluation à mis parcours des projets qui n’ont pas encore fait l’objet d’attention. Il est en outre prévu lors des travaux de tirer les leçons de la revue sectorielle 2020, pour mieux anticiper les difficultés éventuelles, et faire des propositions, en vue de les surmonter ou d’en atténuer les effets.
Pour le ministre Adama Coulibaly, le C2D est devenu, ces dernières années, l’un des principaux outils opérationnels de l’appui de la France au développement socio-économique de la Côte d’Ivoire. Aux dires du ministre de l’Economie, à cet instrument financier, se sont ajoutés les Prêts Souverains de l’AFD et les Prêts du Trésor français, dont la complémentarité participe au succès des projets initiés à travers le territoire national. À cet égard, Adama a fait noter que ’’ l’approche « masse critique » des opérations promue par le C2D ainsi que les appuis budgétaires sectoriels ont contribué significativement aux progrès structurels réalisés dans différents secteurs tels que la justice et l’Etat de droit, le continuum éducation-formation-emploi, la santé, l’eau potable, l’environnement, l’agriculture, les infrastructures de transports’’. C’est pourquoi il a exhorté donc, dans le cadre des travaux d’analyse de l’état de mise en œuvre des projets du C2D, à examiner de façon détaillée les difficultés antérieures en vue de proposer des solutions pour de meilleures conditions de réalisation des activités
Bien avant, la coordonnatrice du Secrétariat Technique du C2D, Léa Djatti Diaté a salué les parties prenantes pour le travail abattu lors de la mise en œuvre des deux C2D. Selon elle, les résultats escomptés sont satisfaisants à mis parcours car « à ce jour, la quasi-totalité des projets du premier C2D et la majorité des projets du deuxième C2D sont achevés ». Néanmoins elle a invité les principaux acteurs à conjuguer les efforts pour l’atteinte des objectifs.
Rappelons que le Contrat de désendettement et de développement (C2D) est un programme d’annulation et de reconversion de la dette bilatérale octroyée de manière additionnelle par la France, et qui s’inscrit dans le prolongement de l’initiative pays pauvres très endettés (PPTE). Le C2D est conclu lorsque le pays atteint le point d’achèvement de l’initiative PPTE.
Cyprien K.