Yamoussoukro, Les acteurs du suivi indépendant et participatif du contrat de désendettement et de développement (C2D) ont entamé, lundi 25 octobre 2021 à Yamoussoukro, une série d’ateliers de formation et de renforcement de capacités en vue de mieux jouer leur partition.
Ce sont 10 nouvelles coordinations de la société civile mises en place dans le cadre de l’exécution du projet qui ont ouvert le bal avec une formation sur l’utilisation de la tablette biométrique, les techniques de sensibilisation et la participation citoyenne.
« Ensuite, les 23 anciennes coordinations régionales vont venir pour un renforcement de capacités, car les membres ont déjà implémenté la collecte », a ajouté le chef du projet suivi indépendant du C2D, Ouattara Diakalia.
Le suivi indépendant consiste à veiller à ce qu’il y ait la transparence et la gestion rigoureuse dans l’exécution de ces projets et programmes signés dans le cadre du C2D entre la France et la Côte d’Ivoire et s’assurer qu’ils contribuent effectivement à l’amélioration des conditions de vie des populations bénéficiaires.
« Nous sommes déjà à trois ou quatre revues sectorielles pour faire le point sur les projets C2D qui doivent améliorer significativement les conditions de vie des populations. Tout ne se passe pas forcément comme on le veut », a fait remarquer Ouattara Diakalia qui révèle notamment que « l’année passée, on a invalidé le travail de certaines coordinations parce qu’elles n’ont pas bien maitrisé l’outil ».
« Aucune œuvre humaine n’étant parfaite, on essaie de corriger là où il y a des imperfections », d’où l’importance de ces formations et séances régulières de mise à niveau à chaque début d’exercice, a affirmé le chef du projet suivi indépendant du C2D.
(AIP)
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