x Télécharger l'application mobile Abidjan.net Abidjan.net partout avec vous
Télécharger l'application
INSTALLER
PUBLICITÉ

Société Publié le jeudi 4 novembre 2021 | AIP

La convention de la société civile invite ses représentants régionaux à être des outils du contrôle citoyen de l’action publique

Yamoussoukro – Les membres en région de la convention de la société civile ivoirienne (CSCI), acteurs du suivi indépendant et participatif du contrat de désendettement et de développement (C2D), doivent pérenniser les acquis de ce programme, a expliqué mercredi 3 novembre 2021 le chef du projet suivi indépendant du C2D, Ouattara Diakalia.


« Ils doivent être de véritables agents de développement, établir une collaboration étroite avec les autorités administratives et politiques, être les porte-voix des populations », a soutenu Ouattara Diakalia qui souhaite ainsi le rayonnement de l’image et la crédibilité de la CSCI en région.


Les acteurs du suivi indépendant et participatif du contrat de désendettement et de développement (C2D) ont achevé le dimanche 31 octobre 2021 à Yamoussoukro une série d’ateliers de formation et de renforcement de capacités en vue de mieux jouer leur partition.


Au total 10 nouvelles coordinations de la société civile mises en place dans le cadre de l’exécution du projet ainsi que 23 anciennes structures ont bénéficié de cette formation qui vont leur permettre de « veiller à la visibilité des projets C2D, remonter les préoccupations des populations aux décideurs afin que les projets répondent au mieux aux aspirations et aux attentes des populations ».


Le suivi indépendant consiste à veiller à ce qu’il y ait la transparence et la gestion rigoureuse dans l’exécution de ces projets et programmes signés dans le cadre du C2D entre la France et la Côte d’Ivoire et s’assurer qu’ils contribuent effectivement à l’amélioration des conditions de vie des populations bénéficiaires.


« Nous sommes déjà à trois ou quatre revues sectorielles pour faire le point sur les projets C2D qui doivent améliorer significativement les conditions de vie des populations. Tout ne se passe pas forcément comme on le veut », a fait remarquer Ouattara Diakalia qui révèle notamment que « l’année passée, on a invalidé le travail de certaines coordinations parce qu’elles n’ont pas bien maitrisé l’outil ».






(AIP)


gso/tm

PUBLICITÉ
PUBLICITÉ

Playlist Société

Toutes les vidéos Société à ne pas rater, spécialement sélectionnées pour vous

PUBLICITÉ