Cette journée offre à chacun de nous l'occasion de sensibiliser le public aux droits de l'enfant, de promouvoir et mettre en lumière ceux-ci. Elle vise à rappeler l'importance de garantir et de respecter les droits de chaque enfant (...) Mais depuis deux ans, la crise sanitaire de la COVID-19 fait peser des menaces considérables sur les enfants. Ils sont les victimes invisibles de la pandémie. Soyons donc plus que jamais solidaires et mobilisons-nous pour remettre les enfants au cœur de toutes nos priorités. » Tels étaient les propos de Mme Trazié Gérardo Lucie, préfet du département d'Adiaké lors de la première édition de la journée internationale des droits de l'enfant à Adiaké. C'était le weekend dernier au groupe scolaire 3 de la ville. A l'occasion, les enfants d'Adiaké, par la voix de Mlle Boya Leati, élève en 3e 1 au collège Alaba d'Adiaké, présidente du parlement des enfants du département d'Adiaké, ont exprimé leur désir légitime de voir tous droits respectés sans discrimination.
Pari réussi pour Mme Métoua Justine, directrice du centre social d'Adiaké, organisatrice principale de la journée, qui a traduit sa gratitude à tous les responsables, Mme le préfet en tête, pour leur implication et leur soutien pour la réussite de cette cérémonie. Pour rappel, la journée internationale des droits de l'enfant a été instituée en 1954. Elle consacre aussi l'adoption par l'assemblée générale de l'ONU de la déclaration des droits de l'enfant et de la convention relative aux droits de l'enfant signée 1989. Elle est célébrée le 20 novembre de chaque année.
FRANCK DESTINEE
