“Nous vivons dans une ville où nous observons que nous ne sommes pas en sécurité”.
Cette observation, le Préfet Sanogo Al Assana, Préfet de Région, préfet du département de Bouaflé, l'a faite le mardi 3 février 2009 en présence de ses administrés rassemblés à la préfecture pour lui présenter les vœux du nouvel an.
Une insécurité favorisée par le grand nombre de maisons inachevées, refuges des bandits et autres malfrats. Qui, lorsqu'ils commettent des crimes à Bouaflé, se réfugient à Bonon pour échapper aux poursuites, ou dans les villages.
Il faut, a indiqué le préfet, pour assainir les villes de Bouaflé et de Bonon, entreprendre de mener une lutte vigoureuse contre ces fléaux que sont l'insalubrité et le banditisme qui, hélas dans la Marahoué, vont de pair. Directeurs et chefs de service, autorités coutumières ont été ,pour la circonstance, interpellés par le Préfet : “Si chacun de vous nettoie devant, derrière, autour de sa maison, il y aura la salubrité. Pour ce qui est de la restauration de la quiétude dans la ville de Bouaflé, le Préfet a été formel : “Je vous fais la promesse que dans quelques semaines, nous allons procéder à un ratissage de la ville de Bouaflé pour installer la salubrité. Je voudrais que vous m'aidiez à inviter le premier responsable de l'hygiène, de l'urbanisme et de l'habitat à faire en sorte que les terrains inoccupés, pourtant attribués depuis 20 ans, soient réattribués à des personnes prêtes à les mettre en valeur. Au plus tard au mois d'avril, ce sera chose faite”. Une action similaire pourra être menée à Bonon si cela s'avère indispensable.
Tien Bi Tivoli
Cette observation, le Préfet Sanogo Al Assana, Préfet de Région, préfet du département de Bouaflé, l'a faite le mardi 3 février 2009 en présence de ses administrés rassemblés à la préfecture pour lui présenter les vœux du nouvel an.
Une insécurité favorisée par le grand nombre de maisons inachevées, refuges des bandits et autres malfrats. Qui, lorsqu'ils commettent des crimes à Bouaflé, se réfugient à Bonon pour échapper aux poursuites, ou dans les villages.
Il faut, a indiqué le préfet, pour assainir les villes de Bouaflé et de Bonon, entreprendre de mener une lutte vigoureuse contre ces fléaux que sont l'insalubrité et le banditisme qui, hélas dans la Marahoué, vont de pair. Directeurs et chefs de service, autorités coutumières ont été ,pour la circonstance, interpellés par le Préfet : “Si chacun de vous nettoie devant, derrière, autour de sa maison, il y aura la salubrité. Pour ce qui est de la restauration de la quiétude dans la ville de Bouaflé, le Préfet a été formel : “Je vous fais la promesse que dans quelques semaines, nous allons procéder à un ratissage de la ville de Bouaflé pour installer la salubrité. Je voudrais que vous m'aidiez à inviter le premier responsable de l'hygiène, de l'urbanisme et de l'habitat à faire en sorte que les terrains inoccupés, pourtant attribués depuis 20 ans, soient réattribués à des personnes prêtes à les mettre en valeur. Au plus tard au mois d'avril, ce sera chose faite”. Une action similaire pourra être menée à Bonon si cela s'avère indispensable.
Tien Bi Tivoli
