PARIS - Le ministère des Affaires étrangères a demandé mercredi aux acteurs en Côte d`Ivoire de respecter leurs engagements pris dans le cadre des accords de paix afin de rendre possible la tenue d`élections dans ce pays, après un appel à la démission du Premier ministre.
"La France a toujours soutenu les Accords de Ouagadougou en vertu desquels Guillaume Soro a été nommé Premier ministre le 29 mars 2007. Nous nous tenons, avec l`ensemble de la communauté internationale, aux côtés de la Côte d`Ivoire pour soutenir la pleine mise en oeuvre de ces accords issus d`un dialogue direct entre la présidence de la République de Côte d`Ivoire et les Forces nouvelles", a déclaré un porte-parole du ministère, Romain Nadal.
L`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) a demandé mardi au chef du gouvernement, issu de ses rangs, qu`il démissionne. Guillaume Soro est "à son poste", a répondu son porte-parole Sindou Meïté, rejetant implicitement l`appel à la démission.
"Des engagements ont été pris par les parties ivoiriennes dans le cadre de ces accords de paix. Il appartient aujourd`hui à tous les acteurs de mettre en oeuvre ces engagements afin de rendre possible la tenue d`élections libres, transparentes et crédibles", a ajouté Romain Nadal.
Les délégués FN ont accusé le Front populaire ivoirien (FPI, parti
présidentiel) de "mettre tout en oeuvre pour empêcher les élections de se tenir".
La date de l`élection présidentielle, sans cesse reportée depuis 2005, reste inconnue. Lancé en septembre 2008, le recensement électoral est censé s`achever début mai au plus tard.
"La France a toujours soutenu les Accords de Ouagadougou en vertu desquels Guillaume Soro a été nommé Premier ministre le 29 mars 2007. Nous nous tenons, avec l`ensemble de la communauté internationale, aux côtés de la Côte d`Ivoire pour soutenir la pleine mise en oeuvre de ces accords issus d`un dialogue direct entre la présidence de la République de Côte d`Ivoire et les Forces nouvelles", a déclaré un porte-parole du ministère, Romain Nadal.
L`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) a demandé mardi au chef du gouvernement, issu de ses rangs, qu`il démissionne. Guillaume Soro est "à son poste", a répondu son porte-parole Sindou Meïté, rejetant implicitement l`appel à la démission.
"Des engagements ont été pris par les parties ivoiriennes dans le cadre de ces accords de paix. Il appartient aujourd`hui à tous les acteurs de mettre en oeuvre ces engagements afin de rendre possible la tenue d`élections libres, transparentes et crédibles", a ajouté Romain Nadal.
Les délégués FN ont accusé le Front populaire ivoirien (FPI, parti
présidentiel) de "mettre tout en oeuvre pour empêcher les élections de se tenir".
La date de l`élection présidentielle, sans cesse reportée depuis 2005, reste inconnue. Lancé en septembre 2008, le recensement électoral est censé s`achever début mai au plus tard.
