ABIDJAN - Le Front populaire ivoirien (FPI, parti présidentiel) a qualifié de "pipeau" mercredi l'appel à la démission lancé par l'ex-rébellion au Premier ministre issu de ses rangs et a appelé au respect des accords de paix.
"Tout ce qui se trame est ridicule. C'est du pipeau", a affirmé à l'AFP Martin Sokouri Bohui, secrétaire général du FPI chargé des élections, évoquant un "montage de toutes pièces", sans précision.
"La seule chose qui vaille est le respect des engagements pris dans le cadre des accords de paix", a ajouté ce responsable du parti du chef de l'Etat Laurent Gbagbo.
Selon lui, "le désarmement et l'unification du pays" prévus par le dernier accord signé fin 2008 constituent les obstacles à surmonter pour aller aux élections, reportées depuis 2005.
L'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) a demandé mardi à son chef Guillaume Soro de démissionner pour qu'il ne soit pas "comptable" de la "manoeuvre" menée selon elle par le FPI pour "empêcher les élections".
Le Premier ministre est "à son poste", a répondu son porte-parole Sindou Meïté, rejetant implicitement l'appel à la démission.
Le ministère français des Affaires étrangères a demandé aux acteurs en Côte d'Ivoire de respecter leurs engagements pris dans le cadre des accords de paix afin de rendre possible la tenue d'élections.
"Tout ce qui se trame est ridicule. C'est du pipeau", a affirmé à l'AFP Martin Sokouri Bohui, secrétaire général du FPI chargé des élections, évoquant un "montage de toutes pièces", sans précision.
"La seule chose qui vaille est le respect des engagements pris dans le cadre des accords de paix", a ajouté ce responsable du parti du chef de l'Etat Laurent Gbagbo.
Selon lui, "le désarmement et l'unification du pays" prévus par le dernier accord signé fin 2008 constituent les obstacles à surmonter pour aller aux élections, reportées depuis 2005.
L'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) a demandé mardi à son chef Guillaume Soro de démissionner pour qu'il ne soit pas "comptable" de la "manoeuvre" menée selon elle par le FPI pour "empêcher les élections".
Le Premier ministre est "à son poste", a répondu son porte-parole Sindou Meïté, rejetant implicitement l'appel à la démission.
Le ministère français des Affaires étrangères a demandé aux acteurs en Côte d'Ivoire de respecter leurs engagements pris dans le cadre des accords de paix afin de rendre possible la tenue d'élections.