Célébrer les pionnières dont le dévouement et les actions courageuses ont permis au RDR d’être aujourd’hui un parti incontournable sur l’échiquier national d’une part, et d’autre part, solliciter des bénédictions de celles-ci avant l’entame de sa campagne. C’est le sens de la cérémonie d’hommages organisée hier, à la Rue Lepic, par le Dr. Alassane Dramane Ouattara pour féliciter les militantes de première heure de son parti. Pour l’occasion, plusieurs centaines de femmes ont fait le déplacement au siège du parti. L’ambiance était à la fête. En attendant l’arrivée de leur président, des militantes devisaient et d’autres égayaient le public par des chants à l’honneur d’ADO.
A 16 h 00 : ADO fait son entrée dans la salle archicomble du Bureau politique. Accompagné de son épouse Dominique Ouattara, la secrétaire générale, Henriette Diabaté, le président du RDR est happé par des militantes qui laissent éclater leur joie au son du «single» «ADO c’est la solution». Un instant de communion totale entre les militantes et leur leader.
Mme Kandia Camara, cheville ouvrière de cette cérémonie de reconnaissance à ces vaillantes combattantes de la démocratie, est la première à prendre la parole. Dans son adresse, elle s’est félicitée de la place de choix qu’ADO accorde aux femmes dans son projet de société. Ainsi, selon la directrice centrale de campagne chargée de la mobilisation des femmes, autant le président du RDR se préoccupe du sort des femmes, autant celles-ci placent en lui un grand espoir. «Vous êtes l’espoir des femmes de Côte d’Ivoire», lâche Kandia Camara à la grande joie des femmes qui applaudissent à tout rompre. Prenant la parole à son tour, le candidat du RDR à l’élection présidentielle, a dit compter sur les femmes : «j’ai besoin de vous. Grâce à votre implication dans la campagne, le monde entier saura que la Côte d’Ivoire est une et rassemblée» dira-t-il, prêt pour la conquête du pouvoir par la voie démocratique. En conséquence, il a chargé ses militantes à réclamer les élections pour cette année aux autorités étatiques. «Allons-y dire à notre frère Laurent Gbagbo que nous voulons des élections maintenant, maintenant, maintenant», a-t-il martelé avec vigueur.
Pourquoi des élections absolument cette année 2009 ? S’est-il interrogé : «Tout simplement parce que la Côte d’Ivoire ne peut pas rester dans cette situation d’obscurité», devait-il répondre. En conséquence, a ajouté Ouattara, «Il faut sortir de ces ténèbres de pauvreté et de misère» par Après sa victoire, a-t-il répété, il tendra la main à tous les candidats pour construire la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, il a demandé à toutes et à tous de pardonner. «Acceptez de pardonner», a recommandé ADO. Il est clair que, selon lui, sans le pardon, aucune œuvre de réconciliation nationale ne sera possible. Or, on sait qu’ il nourrit de grandes ambitions pour son pays, la Côte d’Ivoire. «Nous allons construire de nouvelles universités», a promis l’ancien Premier ministre d’Houphouët, tout en rappelant qu’il est l’artisan des universités d’Abobo et de Bouaké. Il a réitéré ses propos tenus à Abobo. «Je demande seulement cinq ans et vous verrez. Je ne prends pas d’engagement sans lendemain», a-t-il lâché. Enfin, le candidat Ouattara n’a pas manqué d’exhorter les femmes du RDR à doubler d’effort pendant les séances de rattrapage de l’opération d’identification qui s’ouvriront bientôt. «Je demande votre bénédiction. Grâce à vous, la victoire est à nous en octobre 2009», a conclu le président Ouattara.
Avant l’intervention d’ADO, Mme Diabaté s’est adressé à lui au nom des pionnières du parti. En leur nom, la secrétaire générale du RDR a rassuré ADO de leur attachement indéfectible à sa cause. « Soyez tranquille ! Nous sommes prêtes à servir sans calcul ni regret, une cause que nous savons juste », a promis la numéro 2 du RDR. Et d’ajouter que, « Avec la confiance que vous placez en nous, rien ne peut nous arrêter, ni les difficultés de parcours, ni même le temps ». Ensemble, a-t-elle dit, les pionnières se battront aux côtés de leur leader pour aussi gagner ensemble. En l’absence de la présidente nationale du RFR, c’est Mme Koné Bintou qui a exprimé la gratitude des femmes au président du RDR en ces termes : « N’ayez aucune crainte ! Nous sommes convaincues que vous serez élu pour réaliser votre grande ambition pour la Côte d’Ivoire ». On le voit, les pionnières du RDR ont encore suffisamment d’énergie et de volonté pour accompagner leur leader au palais prtésidentiel.
Ibrahima B. Kamagaté
A 16 h 00 : ADO fait son entrée dans la salle archicomble du Bureau politique. Accompagné de son épouse Dominique Ouattara, la secrétaire générale, Henriette Diabaté, le président du RDR est happé par des militantes qui laissent éclater leur joie au son du «single» «ADO c’est la solution». Un instant de communion totale entre les militantes et leur leader.
Mme Kandia Camara, cheville ouvrière de cette cérémonie de reconnaissance à ces vaillantes combattantes de la démocratie, est la première à prendre la parole. Dans son adresse, elle s’est félicitée de la place de choix qu’ADO accorde aux femmes dans son projet de société. Ainsi, selon la directrice centrale de campagne chargée de la mobilisation des femmes, autant le président du RDR se préoccupe du sort des femmes, autant celles-ci placent en lui un grand espoir. «Vous êtes l’espoir des femmes de Côte d’Ivoire», lâche Kandia Camara à la grande joie des femmes qui applaudissent à tout rompre. Prenant la parole à son tour, le candidat du RDR à l’élection présidentielle, a dit compter sur les femmes : «j’ai besoin de vous. Grâce à votre implication dans la campagne, le monde entier saura que la Côte d’Ivoire est une et rassemblée» dira-t-il, prêt pour la conquête du pouvoir par la voie démocratique. En conséquence, il a chargé ses militantes à réclamer les élections pour cette année aux autorités étatiques. «Allons-y dire à notre frère Laurent Gbagbo que nous voulons des élections maintenant, maintenant, maintenant», a-t-il martelé avec vigueur.
Pourquoi des élections absolument cette année 2009 ? S’est-il interrogé : «Tout simplement parce que la Côte d’Ivoire ne peut pas rester dans cette situation d’obscurité», devait-il répondre. En conséquence, a ajouté Ouattara, «Il faut sortir de ces ténèbres de pauvreté et de misère» par Après sa victoire, a-t-il répété, il tendra la main à tous les candidats pour construire la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, il a demandé à toutes et à tous de pardonner. «Acceptez de pardonner», a recommandé ADO. Il est clair que, selon lui, sans le pardon, aucune œuvre de réconciliation nationale ne sera possible. Or, on sait qu’ il nourrit de grandes ambitions pour son pays, la Côte d’Ivoire. «Nous allons construire de nouvelles universités», a promis l’ancien Premier ministre d’Houphouët, tout en rappelant qu’il est l’artisan des universités d’Abobo et de Bouaké. Il a réitéré ses propos tenus à Abobo. «Je demande seulement cinq ans et vous verrez. Je ne prends pas d’engagement sans lendemain», a-t-il lâché. Enfin, le candidat Ouattara n’a pas manqué d’exhorter les femmes du RDR à doubler d’effort pendant les séances de rattrapage de l’opération d’identification qui s’ouvriront bientôt. «Je demande votre bénédiction. Grâce à vous, la victoire est à nous en octobre 2009», a conclu le président Ouattara.
Avant l’intervention d’ADO, Mme Diabaté s’est adressé à lui au nom des pionnières du parti. En leur nom, la secrétaire générale du RDR a rassuré ADO de leur attachement indéfectible à sa cause. « Soyez tranquille ! Nous sommes prêtes à servir sans calcul ni regret, une cause que nous savons juste », a promis la numéro 2 du RDR. Et d’ajouter que, « Avec la confiance que vous placez en nous, rien ne peut nous arrêter, ni les difficultés de parcours, ni même le temps ». Ensemble, a-t-elle dit, les pionnières se battront aux côtés de leur leader pour aussi gagner ensemble. En l’absence de la présidente nationale du RFR, c’est Mme Koné Bintou qui a exprimé la gratitude des femmes au président du RDR en ces termes : « N’ayez aucune crainte ! Nous sommes convaincues que vous serez élu pour réaliser votre grande ambition pour la Côte d’Ivoire ». On le voit, les pionnières du RDR ont encore suffisamment d’énergie et de volonté pour accompagner leur leader au palais prtésidentiel.
Ibrahima B. Kamagaté