Le centre Fatoumata Zahara de Marcory a accueilli, samedi dernier, la projection de la première œuvre islamique dans le cadre de la promotion de cette religion.
Promouvoir la religion musulmane par des voies nouvelles dans un monde de plus en plus hétéroclite. C'est le dessein qui a guidé Cissé Moctar et Koné Sombaga à la réalisation de « La part de l'homme », premier long métrage musulman ivoirien dont l'avant première a été projetée samedi au centre islamique Fatoumata Zahara de Marcory. Ce film a montré que le message de l'Islam pouvait être véhiculé autrement. Selon le producteur, Cissé Moctar, « c'est une nouvelle forme de jihad. Même si elle a couté très cher ». Ce long métrage, retransmet les enseignements de tolérance que prônent le Coran et les vertus de l'Islam. La représentation était placée sous l'autorité spirituelle du Cheick Aima Boikary Fofana, président du Conseil supérieur des imams (Cosim). Celui-ci a félicité et encouragé les auteurs de l'œuvre. La communauté musulmane qui s'est massivement déplacée a également salué et encouragé ces deux pionniers de ce chantier qu'ils espèrent voir prospérer. « Je félicite sincèrement le frère d'avoir mis sa créativité, avec brio au service de l'Islam », a confié un invité. Selon le réalisateur Koné Sombaga qui enregistre un répertoire varié, il prépare un deuxième film qui s'intitule « Une mosquée à vendre». Cette œuvre fait déjà l'objet d'une pièce de théâtre grâce au comédien Kébé Mamadou. Il faut attendre La part de l'homme dans les salles ivoiriennes à partir de la deuxième quinzaine de mai.
M.K
Promouvoir la religion musulmane par des voies nouvelles dans un monde de plus en plus hétéroclite. C'est le dessein qui a guidé Cissé Moctar et Koné Sombaga à la réalisation de « La part de l'homme », premier long métrage musulman ivoirien dont l'avant première a été projetée samedi au centre islamique Fatoumata Zahara de Marcory. Ce film a montré que le message de l'Islam pouvait être véhiculé autrement. Selon le producteur, Cissé Moctar, « c'est une nouvelle forme de jihad. Même si elle a couté très cher ». Ce long métrage, retransmet les enseignements de tolérance que prônent le Coran et les vertus de l'Islam. La représentation était placée sous l'autorité spirituelle du Cheick Aima Boikary Fofana, président du Conseil supérieur des imams (Cosim). Celui-ci a félicité et encouragé les auteurs de l'œuvre. La communauté musulmane qui s'est massivement déplacée a également salué et encouragé ces deux pionniers de ce chantier qu'ils espèrent voir prospérer. « Je félicite sincèrement le frère d'avoir mis sa créativité, avec brio au service de l'Islam », a confié un invité. Selon le réalisateur Koné Sombaga qui enregistre un répertoire varié, il prépare un deuxième film qui s'intitule « Une mosquée à vendre». Cette œuvre fait déjà l'objet d'une pièce de théâtre grâce au comédien Kébé Mamadou. Il faut attendre La part de l'homme dans les salles ivoiriennes à partir de la deuxième quinzaine de mai.
M.K
