Un Conseil des ministres s’est tenu le jeudi 14 mai 2009, sous la présidence du chef de l’Etat. Il a planché sur les élections générales. A l’issue de cette importante réunion, le chef du Gouvernement, M. Guillaume Soro Kigbafori, a fait une déclaration pour donner officiellement la date des prochaines élections dans le pays. Ci-dessous la déclaration intégrale du Premier ministre.
« Mesdames et messieurs les journalistes,
Ce jour s’est tenu un Conseil des ministres ordinaire. Comme vous pouvez le constater, je suis avec le président de la Commission Electorale Indépendante. Il a été question au cours du Conseil des ministres de l’analyse d’un projet de décret portant convocation du collège électoral de la République de Côte d’Ivoire, en vue de l’élection du président de la République. Il me faut seulement rappeler que depuis quelques semaines déjà, le président de la Commission Electorale Indépendante a saisi le Gouvernement d’un projet de décret pour fixer la date du premier tour de l’élection présidentielle.
Après plusieurs séances de travail avec la Commission Electorale Indépendante. La dernière séance de travail s’est tenue hier (mercredi) en présence du chef de l’Etat. Ce matin même, le président de la Commission Electorale Indépendante nous a saisis d’un projet de décret, et comme je l’ai dis tantôt, qui a fait l’objet de discussions en Conseil.
Ce décret a donc été adopté et je donne succinctement lecture de l’article 1er de ce décret, qui est libellé comme suit : « Le Collège électoral de la République de Côte d’Ivoire est convoqué le 29 novembre 2009 en vue de procéder à l’élection du président de la République. Le scrutin sera ouvert à 7 heures et clos à 17 heures. »
Voici en partie présenté l’article 1er du décret qui a été adopté en Conseil des ministres ce jour même.
Mesdames et messieurs les journalistes,
Il est simplement important de dire qu’à la différence de la date de l’année dernière, pour le Gouvernement, la date du 29 novembre 2009 est une date réaliste. A ce jour, les opérations d’enrôlement ont permis à plus de 6 millions de citoyens de s’inscrire dans les bureaux de votes et aujourd’hui d’être de potentiels électeurs. Nous pensons que c’est une bonne chose et cela représente 70% des citoyens attendus. Nous pensons que nous avons plus de visibilité sur le processus électoral.
A cela s’ajoute toutes les dispositions que nous sommes en train de prendre pour faire en sorte que le vote se déroule dans la sérénité et dans le calme. Nous avons commencé le redéploiement des forces de sécurité sur l’ensemble du territoire.
Vous avez pu le noter. Cette opération est en cours et est en phase de connaitre une vitesse de croisière pour que, bien entendu, tout le territoire national puisse accueillir ces forces dans l’optique de sécuriser les élections.
Aussi, le Gouvernement s’est engagé à mettre à la disposition de la Commission Electorale Indépendante les moyens financiers pour mener à bien l’opération. Je peux signaler que l’autre opération de reconstitution des registres d’état civil est en phase d’achèvement, et comme je l’ai indiqué dans mes propos liminaires, sera terminé le 20 mai.
Tout ceci pour dire qu’aujourd’hui, le Gouvernement, la Commission Electorale Indépendante, nous sommes tous dans des dispositions pour faire en sorte que l’élection se tienne à la date que je viens d’indiquer ».
« Mesdames et messieurs les journalistes,
Ce jour s’est tenu un Conseil des ministres ordinaire. Comme vous pouvez le constater, je suis avec le président de la Commission Electorale Indépendante. Il a été question au cours du Conseil des ministres de l’analyse d’un projet de décret portant convocation du collège électoral de la République de Côte d’Ivoire, en vue de l’élection du président de la République. Il me faut seulement rappeler que depuis quelques semaines déjà, le président de la Commission Electorale Indépendante a saisi le Gouvernement d’un projet de décret pour fixer la date du premier tour de l’élection présidentielle.
Après plusieurs séances de travail avec la Commission Electorale Indépendante. La dernière séance de travail s’est tenue hier (mercredi) en présence du chef de l’Etat. Ce matin même, le président de la Commission Electorale Indépendante nous a saisis d’un projet de décret, et comme je l’ai dis tantôt, qui a fait l’objet de discussions en Conseil.
Ce décret a donc été adopté et je donne succinctement lecture de l’article 1er de ce décret, qui est libellé comme suit : « Le Collège électoral de la République de Côte d’Ivoire est convoqué le 29 novembre 2009 en vue de procéder à l’élection du président de la République. Le scrutin sera ouvert à 7 heures et clos à 17 heures. »
Voici en partie présenté l’article 1er du décret qui a été adopté en Conseil des ministres ce jour même.
Mesdames et messieurs les journalistes,
Il est simplement important de dire qu’à la différence de la date de l’année dernière, pour le Gouvernement, la date du 29 novembre 2009 est une date réaliste. A ce jour, les opérations d’enrôlement ont permis à plus de 6 millions de citoyens de s’inscrire dans les bureaux de votes et aujourd’hui d’être de potentiels électeurs. Nous pensons que c’est une bonne chose et cela représente 70% des citoyens attendus. Nous pensons que nous avons plus de visibilité sur le processus électoral.
A cela s’ajoute toutes les dispositions que nous sommes en train de prendre pour faire en sorte que le vote se déroule dans la sérénité et dans le calme. Nous avons commencé le redéploiement des forces de sécurité sur l’ensemble du territoire.
Vous avez pu le noter. Cette opération est en cours et est en phase de connaitre une vitesse de croisière pour que, bien entendu, tout le territoire national puisse accueillir ces forces dans l’optique de sécuriser les élections.
Aussi, le Gouvernement s’est engagé à mettre à la disposition de la Commission Electorale Indépendante les moyens financiers pour mener à bien l’opération. Je peux signaler que l’autre opération de reconstitution des registres d’état civil est en phase d’achèvement, et comme je l’ai indiqué dans mes propos liminaires, sera terminé le 20 mai.
Tout ceci pour dire qu’aujourd’hui, le Gouvernement, la Commission Electorale Indépendante, nous sommes tous dans des dispositions pour faire en sorte que l’élection se tienne à la date que je viens d’indiquer ».