L’Organisation des femmes actives de Côte d’Ivoire (OFACI) a organisé, une conférence sur le thème «Le citoyen et la gouvernance locale», à la salle de mariage de la mairie de Yopougon.
D’entrée, le conférencier, M. Sina Bamba, consultant en management, a défini le citoyen comme une personne qui «détient une part de la souveraineté politique». De ce fait, il a exhorté le public, en majorité féminin, à valoriser ses droits politiques, en l’occurrence, le droit de vote. Car dira-t-il, les femmes ont le pouvoir de faire élire le candidat de leur choix.
En outre, il a présenté l’Etat comme un territoire habité par une population sur laquelle s’exerce un pouvoir politique. Le rôle de l’Etat étant de veiller au bien-être de ses citoyens, il a donc mis en place un système administratif de sorte à se rapprocher plus de ceux-ci. C’est ainsi que les collectivités locales, notamment les mairies et les conseils généraux ont été créés, a-t-il soutenu. Cela relève du principe de la démocratie participative. Il donne donc comme exemple de cette démocratie participative, les enquêtes “de commodo incommodo” que les maires initient pour s’enquérir de l’opinion de la population sur un projet à réaliser. C’est pourquoi, il a invité le public à prendre une part active dans la gestion de la localité, en refusant d’être un citoyen ordinaire qui ne s’intéresse pas à la vie de sa cité. Il demande alors à ces femmes de prendre des initiatives, en parfaite connaissance de leurs droits et devoirs.
La conférence du jour s’inscrit dans le cadre des journées citoyennes initiées par l’OFACI et qui se déroulent concomitamment dans 23 localités de la Côte d’Ivoire.
Ces journées répondent au projet d’éducation civique et de sensibilisation des populations au processus électoral mis en place par l’OFACI, dans les 19 régions de la Côte d’Ivoire.
Anne-Marie E. Stagiaire
D’entrée, le conférencier, M. Sina Bamba, consultant en management, a défini le citoyen comme une personne qui «détient une part de la souveraineté politique». De ce fait, il a exhorté le public, en majorité féminin, à valoriser ses droits politiques, en l’occurrence, le droit de vote. Car dira-t-il, les femmes ont le pouvoir de faire élire le candidat de leur choix.
En outre, il a présenté l’Etat comme un territoire habité par une population sur laquelle s’exerce un pouvoir politique. Le rôle de l’Etat étant de veiller au bien-être de ses citoyens, il a donc mis en place un système administratif de sorte à se rapprocher plus de ceux-ci. C’est ainsi que les collectivités locales, notamment les mairies et les conseils généraux ont été créés, a-t-il soutenu. Cela relève du principe de la démocratie participative. Il donne donc comme exemple de cette démocratie participative, les enquêtes “de commodo incommodo” que les maires initient pour s’enquérir de l’opinion de la population sur un projet à réaliser. C’est pourquoi, il a invité le public à prendre une part active dans la gestion de la localité, en refusant d’être un citoyen ordinaire qui ne s’intéresse pas à la vie de sa cité. Il demande alors à ces femmes de prendre des initiatives, en parfaite connaissance de leurs droits et devoirs.
La conférence du jour s’inscrit dans le cadre des journées citoyennes initiées par l’OFACI et qui se déroulent concomitamment dans 23 localités de la Côte d’Ivoire.
Ces journées répondent au projet d’éducation civique et de sensibilisation des populations au processus électoral mis en place par l’OFACI, dans les 19 régions de la Côte d’Ivoire.
Anne-Marie E. Stagiaire