Une tendance du syndicat national des assistants sosciaux de Côte d'Ivoir (SYNASCI) ne veut plus voir Adou Monsan Bernadin, le direteur généal de la MUGEFCI, diriger cette mutuelle.
La MUGEFCI étant la Mutuelle générale des fosnctionnaires et agents de l'Etat de Côte d'Ivoire.
Cette tendance reproche au DG de rendre la vie dure aux mutualistes en les privant de carnets, de stickers en ne faisant rien pour ouvrir les portes du service chargé de remettre les cartes et carnets aux mutualistes.
Zadi Doméné Daniel dit Samco, secrétaire général de l'une des tendances du Synasci qui a animé hier une une conférence de presse à Abidjan, soutient que des mutualistes bien que détenteurs de carnets n'ont pas souvent accès aux prestations.
Il poursuit pour dire que les ruptures de stickers et de vignette de validation de bons de produits pharmaceutiques sont inacceptables et anormales. Il a appelé le conseil d'administration de la MUGEFCI à prendre ses responsabilités.
Face à la presse, Zadi Doméné Daniel affirme qu'il est inconcevable que le quota journalier par pharmacie est d'au plus dix mutualistes.
“L'argent qu'on nous prélève va où ? La grosse plaie de la MUGEFCI, c'est le directeur général.
Pour le moment, on ne nous dit pas qu'il y a une crise financière à la MUGEFCI. La prestation élémentaire que doit fournir cette mutuelle, c'est de délivrer un bon à un mutualiste pour qu'il paie ses médicaments, or ce n'est pas le cas. C'est très grave. C'est un drame. Faute d'être soigné, des mutualistes sont morts”, a-t-il lancé.
Le conférencier a encouragé et félicité le conseil d'administration pour avoir posé de bonnes et nombreuses actions au profit des mutualistes. Entre autres selon lui, le maintien de l'équilibre financier et fonctionnel, de l'accès des mutualistes aux prestations de la MUGEF-CI à un niveau acceptable, l'initiation et l'intersification d'échanges permanents avec les médecins, les pharmaciens et les cliniques partenaires de la MUGEF-CI pour les sensibiliser contre la fraude et les abus commis au détriment de cette mutuelle, l'augmentation du nombre de médicaments remboursables par l'emploi de médicaments génériques et de spécialités, la construction et l'équipement du centre médical des fonctionnaires qui était en souffrance depuis de longues années pour permettre aux fonctionnaires mutualistes de se soigner à un coût raisonnable.
Charles Bédé
La MUGEFCI étant la Mutuelle générale des fosnctionnaires et agents de l'Etat de Côte d'Ivoire.
Cette tendance reproche au DG de rendre la vie dure aux mutualistes en les privant de carnets, de stickers en ne faisant rien pour ouvrir les portes du service chargé de remettre les cartes et carnets aux mutualistes.
Zadi Doméné Daniel dit Samco, secrétaire général de l'une des tendances du Synasci qui a animé hier une une conférence de presse à Abidjan, soutient que des mutualistes bien que détenteurs de carnets n'ont pas souvent accès aux prestations.
Il poursuit pour dire que les ruptures de stickers et de vignette de validation de bons de produits pharmaceutiques sont inacceptables et anormales. Il a appelé le conseil d'administration de la MUGEFCI à prendre ses responsabilités.
Face à la presse, Zadi Doméné Daniel affirme qu'il est inconcevable que le quota journalier par pharmacie est d'au plus dix mutualistes.
“L'argent qu'on nous prélève va où ? La grosse plaie de la MUGEFCI, c'est le directeur général.
Pour le moment, on ne nous dit pas qu'il y a une crise financière à la MUGEFCI. La prestation élémentaire que doit fournir cette mutuelle, c'est de délivrer un bon à un mutualiste pour qu'il paie ses médicaments, or ce n'est pas le cas. C'est très grave. C'est un drame. Faute d'être soigné, des mutualistes sont morts”, a-t-il lancé.
Le conférencier a encouragé et félicité le conseil d'administration pour avoir posé de bonnes et nombreuses actions au profit des mutualistes. Entre autres selon lui, le maintien de l'équilibre financier et fonctionnel, de l'accès des mutualistes aux prestations de la MUGEF-CI à un niveau acceptable, l'initiation et l'intersification d'échanges permanents avec les médecins, les pharmaciens et les cliniques partenaires de la MUGEF-CI pour les sensibiliser contre la fraude et les abus commis au détriment de cette mutuelle, l'augmentation du nombre de médicaments remboursables par l'emploi de médicaments génériques et de spécialités, la construction et l'équipement du centre médical des fonctionnaires qui était en souffrance depuis de longues années pour permettre aux fonctionnaires mutualistes de se soigner à un coût raisonnable.
Charles Bédé