Le président du Conseil d’administration de la MATCA (Mutuelle d`assurances des taxis compteurs d`Abidjan), Sidiki Bakayoko a annoncé le mercredi 20 mai 2009 à la presse locale que la structure dont il assure la présidence depuis le décès de feu Kassoum Coulibaly se porte bien. Selon lui, celle-ci se porterait mieux lorsque le Fonds d’Etablissement passera de 300 millions de FCFA à 800 millions de FCFA.
Félicitée pour avoir payé plus de sinistres en 2008, la MTCA (Mutuelle d`assurances des taxis compteurs d`Abidjan) traverse une crise qui, si l’on n’y prend garde, pourrait mettre en péril les acquis de celle-ci. Sidiki Bakayoko, successeur de Kassoum Coulibaly qui a voulu assurer les actionnaires et membres de la MATCA est monté au créneau au cours d’une conférence de presse à l’issue de laquelle il a fait des précisions. Concernant la tête de la structure dont réclame depuis un certain temps la dissidence, le PCA de la MATCA a souligné qu’il est impossible d’évoquer ce fait. Car, selon lui, les textes ont tout prévu en cas de décès ou de vacance au poste de présidence de la MATCA. Ainsi, selon les textes, ne peut être PCA de la MATCA que le vice-président ou le secrétaire général en cas de vacance du poste de la présidence, explique-t-il. A entendre M. Sidiki Bakayoko, il a accédé à ce poste en tant que secrétaire, puis qu’il n’y avait pas de vice-président. Toutefois il a tenu à assurer ses partenaires qu’il demeure à son poste et que la MATCA continuera de travailler. Aussi souligne-t-il, la décision de la dissidence obtenue du tribunal d’Abidjan est nulle et non avenu. En ce sens que ses mandataires n’ont pax la qualité d’administrateurs. Il a par ailleurs annoncé avoir obtenu du même tribunal une autre décision annulant celle de la dissidence qui prévoit la tenue d’une assemblée générale le 25 mai prochain. «Le 25 mai, il n’y aura rien», précise-t-il, indiquant qu’en cas d’émeutes, les auteurs seront matés. S’agissant des perspectives, Sidiki Bakayoko a souhaité que le Fonds d’Etablissement de la MATCA passe de 300 millions à 800 millions de FCFA. Pour lui, c’est un effort qui doit être fait pour une pérennisation du secteur la mutuelle qui est à cours de souffre. Aussi a-t-il déploré la présence des véhicules banalisés qui font de la concurrence déloyale aux véhicules de transport qui paiement des taxes.
H.K
Félicitée pour avoir payé plus de sinistres en 2008, la MTCA (Mutuelle d`assurances des taxis compteurs d`Abidjan) traverse une crise qui, si l’on n’y prend garde, pourrait mettre en péril les acquis de celle-ci. Sidiki Bakayoko, successeur de Kassoum Coulibaly qui a voulu assurer les actionnaires et membres de la MATCA est monté au créneau au cours d’une conférence de presse à l’issue de laquelle il a fait des précisions. Concernant la tête de la structure dont réclame depuis un certain temps la dissidence, le PCA de la MATCA a souligné qu’il est impossible d’évoquer ce fait. Car, selon lui, les textes ont tout prévu en cas de décès ou de vacance au poste de présidence de la MATCA. Ainsi, selon les textes, ne peut être PCA de la MATCA que le vice-président ou le secrétaire général en cas de vacance du poste de la présidence, explique-t-il. A entendre M. Sidiki Bakayoko, il a accédé à ce poste en tant que secrétaire, puis qu’il n’y avait pas de vice-président. Toutefois il a tenu à assurer ses partenaires qu’il demeure à son poste et que la MATCA continuera de travailler. Aussi souligne-t-il, la décision de la dissidence obtenue du tribunal d’Abidjan est nulle et non avenu. En ce sens que ses mandataires n’ont pax la qualité d’administrateurs. Il a par ailleurs annoncé avoir obtenu du même tribunal une autre décision annulant celle de la dissidence qui prévoit la tenue d’une assemblée générale le 25 mai prochain. «Le 25 mai, il n’y aura rien», précise-t-il, indiquant qu’en cas d’émeutes, les auteurs seront matés. S’agissant des perspectives, Sidiki Bakayoko a souhaité que le Fonds d’Etablissement de la MATCA passe de 300 millions à 800 millions de FCFA. Pour lui, c’est un effort qui doit être fait pour une pérennisation du secteur la mutuelle qui est à cours de souffre. Aussi a-t-il déploré la présence des véhicules banalisés qui font de la concurrence déloyale aux véhicules de transport qui paiement des taxes.
H.K