Gueu Michel, le conseiller militaire du Premier ministre, a insisté sur la nécessité des signatures des décrets et arrêtés relatifs aux grades des Forces nouvelles. Faute de quoi, les Ivoiriens n’iront pas aux urnes le 29 novembre 2009. C’était le mercredi 29 juillet sur Onuci-Fm.
Le respect des ‘‘grades Soro’’ continue d’alimenter la chronique. Le conseiller militaire a dénoncé le fait que les décrets et arrêtés ne soient pas jusqu’à présent signés par le Président de la République. Mieux, il a indiqué que ce fait pourrait annuler le scrutin présidentiel du 29 novembre 2009. « Ce qui bloque, c’est que les décrets qui devaient être signés ne l’ont pas encore été. Les arrêtés qui devaient être pris ne l’ont pas été . Moi-même qui vous parle, je suis général, désigné dans la bouche. Aucun texte n’atteste que je suis général. Aucun décret n’a été signé par qui de droit pour que le général Bakayoko et moi soyons effectivement des généraux. Et donc ces textes sont en souffrance et je demanderai avec toute la courtoisie qui me caractérise à qui revient le droit de signer ces textes-là, de le faire afin que nous ayons une visibilité pour avancer. Je dirai en toute sincérité que pour l’instant, je n’ai pas une bonne visibilité sur les élections. Tant que les textes n’ont pas été signés, tant que chacun ne sait pas où il va, on sera en train de naviguer à vue et on sera surpris par le 29 novembre. Il n’ y a donc par d’élection si ces conditions ne sont pas remplies », a menacé le conseiller militaire du Premier ministre en marge de la cérémonie de lancement de collecte de fonds destinés aux Forces de réunification initié par le Comité national de soutien aux Forces de Réunification (Conasfor).
T.A.B
Le respect des ‘‘grades Soro’’ continue d’alimenter la chronique. Le conseiller militaire a dénoncé le fait que les décrets et arrêtés ne soient pas jusqu’à présent signés par le Président de la République. Mieux, il a indiqué que ce fait pourrait annuler le scrutin présidentiel du 29 novembre 2009. « Ce qui bloque, c’est que les décrets qui devaient être signés ne l’ont pas encore été. Les arrêtés qui devaient être pris ne l’ont pas été . Moi-même qui vous parle, je suis général, désigné dans la bouche. Aucun texte n’atteste que je suis général. Aucun décret n’a été signé par qui de droit pour que le général Bakayoko et moi soyons effectivement des généraux. Et donc ces textes sont en souffrance et je demanderai avec toute la courtoisie qui me caractérise à qui revient le droit de signer ces textes-là, de le faire afin que nous ayons une visibilité pour avancer. Je dirai en toute sincérité que pour l’instant, je n’ai pas une bonne visibilité sur les élections. Tant que les textes n’ont pas été signés, tant que chacun ne sait pas où il va, on sera en train de naviguer à vue et on sera surpris par le 29 novembre. Il n’ y a donc par d’élection si ces conditions ne sont pas remplies », a menacé le conseiller militaire du Premier ministre en marge de la cérémonie de lancement de collecte de fonds destinés aux Forces de réunification initié par le Comité national de soutien aux Forces de Réunification (Conasfor).
T.A.B