Fin de parcour pour Ahiwa Kpangni David, âgé de 52 ans, passeur de véhicules braqués. Il a été épinglé le samedi aux environs de 8 h, au poste de police de Noé, par les forces de l’ordre. Il tentait de faire passer au Ghana un véhicule volé la veille à Marcory.
Les faits. Selon des sources policières, le 31 juillet vers 20 h, Dame Behibro Sidonie est braquée à Marcory par Peter et Ismaël et ses acolytes, qui lui arrachent son véhicule de marque Peugeot 407, immatriculé 5795 EP 01. Les bandits prennent attache avec Ahiwa Kpangni David, à qui ils donnent rendez-vous à la gare Sta d’Aboisso pour les aider à traverser la frontière ghanéenne. Affaire conclue. Entre temps, Dame Behibro toute désemparée et déboussolée confie l’affaire aux forces de l’ordre. L’alerte est donnée. Médard Ouakoubé commissaire de police de Noé, donne des instructions fermes à ses agents. Il est leur demande de ne laisser passer que des véhicules personnels conduits par leur propriétaire où des détenteurs de procuration.
Ahiwa Kpangni David qui ne se doute de rien prend le véhicule et arrive au poste de police de Noé samedi, aux environs de 8h, accompagné d’un militaire des Fanci du nom d’Eliamon. Il est soumis à un contrôle strict. Pendant ce temps, son acolyte qui a compris que les choses allaient tourner au vinaigre prend la tangente, prétextant qu’il allait satisfaire à un besoin. Le trafiquant essaie de tromper la vigilance des policiers en soutenant qu’il a été envoyé par sa patronne pour des courses à Noé. Les agents lui demandent de garer le véhicule et d ‘aller faire ses courses. Il s’exécute juste pour distraire les forces de l’ordre. Coincé, il revient quelques temps après, en essayant de trouver un arrangement à l’amiable. Cette fois, il dit être un trafiquant de drogue et qu’il allait en chercher à Elibu pour un réseau à Abidjan. L’un des policiers déclare alors que le véhicule avait été volé. Voyant l’étau se resserrer autour de lui, Ahiwa Kpangni David prend ses jambes à son cou. Il est rattrapé dans un ravin par les forces de l’ordre et passe aux aveux. Soulignons que les policiers de Noé n’ont pas de portatif. L’émetteur est hors d’usage depuis 1 an.
Emmanuelle Kanga
Correspondante régionale
Les faits. Selon des sources policières, le 31 juillet vers 20 h, Dame Behibro Sidonie est braquée à Marcory par Peter et Ismaël et ses acolytes, qui lui arrachent son véhicule de marque Peugeot 407, immatriculé 5795 EP 01. Les bandits prennent attache avec Ahiwa Kpangni David, à qui ils donnent rendez-vous à la gare Sta d’Aboisso pour les aider à traverser la frontière ghanéenne. Affaire conclue. Entre temps, Dame Behibro toute désemparée et déboussolée confie l’affaire aux forces de l’ordre. L’alerte est donnée. Médard Ouakoubé commissaire de police de Noé, donne des instructions fermes à ses agents. Il est leur demande de ne laisser passer que des véhicules personnels conduits par leur propriétaire où des détenteurs de procuration.
Ahiwa Kpangni David qui ne se doute de rien prend le véhicule et arrive au poste de police de Noé samedi, aux environs de 8h, accompagné d’un militaire des Fanci du nom d’Eliamon. Il est soumis à un contrôle strict. Pendant ce temps, son acolyte qui a compris que les choses allaient tourner au vinaigre prend la tangente, prétextant qu’il allait satisfaire à un besoin. Le trafiquant essaie de tromper la vigilance des policiers en soutenant qu’il a été envoyé par sa patronne pour des courses à Noé. Les agents lui demandent de garer le véhicule et d ‘aller faire ses courses. Il s’exécute juste pour distraire les forces de l’ordre. Coincé, il revient quelques temps après, en essayant de trouver un arrangement à l’amiable. Cette fois, il dit être un trafiquant de drogue et qu’il allait en chercher à Elibu pour un réseau à Abidjan. L’un des policiers déclare alors que le véhicule avait été volé. Voyant l’étau se resserrer autour de lui, Ahiwa Kpangni David prend ses jambes à son cou. Il est rattrapé dans un ravin par les forces de l’ordre et passe aux aveux. Soulignons que les policiers de Noé n’ont pas de portatif. L’émetteur est hors d’usage depuis 1 an.
Emmanuelle Kanga
Correspondante régionale
