Candidat indépendant à l'élection présidentielle censée se tenir le 29 novembre prochain, le Révérend Tagoua N. Pascal a décidé de présenter, à grands traits, aux Ivoiriens les lignes de force de son programme de gouvernement.
La politique d'intégration
L'une des innovations politiques du Révérend Tagoua, candidat à la présidentielle de novembre 2009 concerne la représentation internationale. Aussi propose-t-il que des ''députés transatlantiques'' soient élus pour représenter les Ivoiriens de l'Etranger. Aussi bien ceux qui sont en Europe, en Asie, en Amérique, en Océanie qu'en Afrique. Dans chaque continent, sera élu un seul député représentatif des Ivoiriens de ce continent. Ce député pourra prendre part au débat politique qui se déroule à l'Assemblée nationale.
Il fera ainsi connaître à l'hémicycle, les préoccupations des Ivoiriens qu'il représente. De sorte que l'Etat de Côte d'Ivoire puisse participer à l'amélioration des conditions de vie de ses ressortissants à l'Etranger et, au besoin, les assister.
Ces députés seront également chargés d'étudier et savoir les textes de loi des pays où ils résident afin de les faire connaître tant aux Ivoiriens de la diaspora qu'à l'Assemblée nationale ivoirienne.
Le Révérend Tagoua pense aussi qu'il ne serait pas inutile qu'à côté des cabinets des attachés militaires, il y ait, dans nos ambassades, des cabinets de presse. Ceci, pour rendre plus toniques et dynamiques les échanges d'informations entre Abidjan et les autres capitales où la Côte d'Ivoire compte une représentation diplomatique.
Cela répond à un souci majeur, la vitesse de l'information là où se prennent les décisions va se relayer le plus rapidement et clairement possible sans transiter par quelques corridors susceptibles de corrompre ces informations.
Le Révérend-candidat Tagoua a pour ambition de faire participer de façon efficace les Ivoiriens de l'Etranger au débat politique national. Et comme il attache un plus grand prix au bien-être de ces Ivoiriens, il souhaiterait que les autorités ivoiriennes interviennent chaque fois que l'un d'eux a maille à partir avec la justice du pays d'accueil ou même s'il est jeté en prison. Comme le font celles des pays développés lorsque leurs ressortissants sont emprisonnés. A l'exemple du président français Nicolas Sarkozy qui s'est déplacé en personne à N'djamena, au Tchad pour négocier la libération des Français arrêtés dans le cadre de l'affaire de l'Arche de Zoé.
L'homme de Dieu rêve d'une force politique et administrative qui sera capable de défendre les intérêts des Ivoiriens partout où ils se trouvent.
Santé : La politique de gratuité des premiers soins
Au niveau de la Santé, le Révérend Tagoua veut apporter de grandes innovations qui pourraient changer le rapport des Ivoiriens à leur Santé. Dans un premier temps, le candidat Tagoua voudrait instituer une politique de gratuité des premiers soins. Puisqu'il a remarqué que si de nombreux Ivoiriens refusent de se rendre dans les hôpitaux, les cliniques et autres centres de santé, c'est moins parce qu'ils ne veulent pas que parce qu'ils ne peuvent pas. Ils n'ont pas le minimum pour payer les premiers soins. A commencer par la première ordonnance. Il propose donc la construction de centres de premiers secours. Dans ces centres, les premiers soins seront gratuits. A charge pour ces centres d'établir, aux fins de la communiquer à la population, la liste des premiers soins gratuits qui lui sont offerts par l'Etat.
Un autre problème concerne la responsabilité du praticien ou du médecin traitant. Le candidat Tagoua a constaté que des hommes et des femmes meurent dans des conditions troubles entre les mains des docteurs et autres médecins. Sans que jamais la question de leurs responsabilités ne soit évoquée. Il trouve cela inadmissible.
Pour lui, cette situation fait que les patients sont à la merci de certains médecins qui, sachant qu'ils n'encourent aucune sanction en cas de faute, se comportent comme bon leur semble. Il faut y mettre un terme. Dans les pays développés, un médecin est un justiciable comme un autre et peut être poursuivi. En l'occurrence, pour ''mauvaises pratiques''. Il faut donc que les députés pensent à protéger le droit des patients à des soins de qualité.
En un mot, il faut faire en sorte que les malades aient un recours en cas de ''maltraitance''. Le médecin ne doit plus être ''tout-puissant''.
Sécurité sociale
La Sécurité sociale, comme son nom l'indique, est indispensable à la bonne marche de la société. Et dans un pays essentiellement agricole comme la Côte d'Ivoire, il est essentiel que la Sécurité sociale commence par les agriculteurs et les planteurs. Surtout avec la transformation de nos produits agricoles. La plus-value dégagée par cette transformation, notamment celle du café et du cacao dont la Côte d'Ivoire est un grand producteur pour l'un et le premier pour l'autre, permettra à la politique de la Sécurité sociale d'atteindre ses objectifs. Cette sécurité sociale pourrait garantir une rémunération minimale aux paysans pendant les mois d'inactivité. Elle pourrait aussi assurer un minimum aux Ivoiriens les plus nécessiteux. Ceux qui mangent à peine un repas par jour. On pourrait, par exemple, leur donner un sac de riz ou la valeur équivalente en numéraire. Cela demande que l'on puisse aller en profondeur avec l'agriculture pour atteindre l'autosuffisance alimentaire. L'agriculture vivrière devrait donc être l'affaire de tous.
C'est pourquoi, le Révérend Tagoua veut encourager l'Etat à soutenir les producteurs du vivrier et surtout du riz. De sorte que l'Etat soit le garant de l'achat de cette production. C'est une bonne chose que tout le monde court au café, au cacao, à l'hévéa, au palmier à huile, à l'ananas, etc. mais il serait mieux que le riz dont on est tous des consommateurs soit produit en quantité suffisante. L'Etat s'engagera à acheter la quantité excédentaire qu'elle pourrait vendre à l'extérieur ou sur le marché intérieur à moindre coût. L'objectif étant de rendre la consommation du (bon) riz aussi démocratique que celle de l'Attiéké que l'on trouve à tous les coins de rue et que consomment les Ivoiriens, toutes classes sociales confondues.
Il faut ajouter aux agriculteurs et planteurs tous ceux qui interviennent dans le secteur informel et qui ne sont pas pris en compte par la Cnps. Ils sont également concernés par la sécurité sociale. Cependant à leur niveau, il faut un recensement préalable de ces couches en commençant par le commerçant de cola jusqu'aux professionnels des Pme et Pmi. Cette prise en charge est temporaire.
L'un des volets de la sécurité sociale concerne les femmes et les enfants. Autant il ne doit pas exister d'enfants non scolarisés autant il ne doit y avoir de femmes oisives. La femme, à cause de son genre ne doit pas être jetée hors du domicile conjugal par son conjoint à moins qu'elle n'ait commis un crime.
Administration
"On s'est tellement habitué à la lourdeur de l'administration que c'est devenu une coutume chez nous" déclare le Révérend-candidat Tagoua N. Pascal qui refuse de cautionner cette ''fatalité'' que subissent ses compatriotes. Pour lui, l'administration a le devoir d'être efficace, rapide et transparente. Une telle exigence participe au développement du pays. Car pour lui, au niveau de l'administration, la norme supérieure demeure la transparence. Sans oublier la célérité. Il propose là aussi, quelques innovations. Notamment, le système de la traçabilité des documents.
Ainsi, l'on pourra situer les responsabilités en cas d'irrégularités. Cela est possible. Il suffit que la volonté politique impulse le mouvement. Le Révérend Tagoua le dit à qui veut l'entendre : une administration crédible est le gage du développement d'un pays. C'est pourquoi, dans son désir de la rendre efficace et transparente, il propose qu'il y ait des personnes chargées de superviser ou de contrôler l'administration. A l'image de ce qui se fait ailleurs. Notamment, aux Usa où le Fbi veille au grain, ou, tout près de nous, en Afrique du Sud, où un service dénommé Scorpion est chargé de faire la guerre aux maux qui minent l'administration du pays. Aussi, l'absentéisme, la corruption et autres mauvais comportements seront-ils combattus chaque jour par des personnes désignées ès qualité.
Le Révérend Tagoua voudrait donc que l'Etat forme à cette noble fonction de nombreux jeunes parmi les diplômés sans emplois qui sont aujourd'hui, réduits à être des gérants de cabines téléphoniques. Ce qui constitue une aberration. Ils seront les yeux et les oreilles de l'Etat à travers toute l'administration. Ils peuvent aider à combattre le racket qui a gangrené toutes les couches socio-professionnelles. Car, pour le Révérend-candidat, on ne peut pas attendre d'un policier qu'il contrôle un autre policier. Dans la lutte contre le racket, il milite pour la tolérance zéro. C'est dans ce même ordre d'idées qu'il préconise d'affiner la surveillance satellitaire sur toute l'étendue du territoire national. Afin de juguler l'insécurité qui a atteint le seuil du tolérable. Ainsi, dès qu'un malfrat aura sévi, le système satellitaire pourra le détecter et, au besoin immobiliser le véhicule dans lequel il se trouve.
Il n'oublie pas la cyber-délinquance. Aujourd'hui, de plus en plus de jeunes garçons et filles se rendent dans les cybercafés, où ils sont sans surveillance. Il faut désormais que les gérants de cybers sachent ce que regardent les jeunes qui vont dans leurs établissements. Il s'agit de les interpeller de sorte qu'ils soient en partie responsables des délits commis dans leurs cybers.
TBT.
La politique d'intégration
L'une des innovations politiques du Révérend Tagoua, candidat à la présidentielle de novembre 2009 concerne la représentation internationale. Aussi propose-t-il que des ''députés transatlantiques'' soient élus pour représenter les Ivoiriens de l'Etranger. Aussi bien ceux qui sont en Europe, en Asie, en Amérique, en Océanie qu'en Afrique. Dans chaque continent, sera élu un seul député représentatif des Ivoiriens de ce continent. Ce député pourra prendre part au débat politique qui se déroule à l'Assemblée nationale.
Il fera ainsi connaître à l'hémicycle, les préoccupations des Ivoiriens qu'il représente. De sorte que l'Etat de Côte d'Ivoire puisse participer à l'amélioration des conditions de vie de ses ressortissants à l'Etranger et, au besoin, les assister.
Ces députés seront également chargés d'étudier et savoir les textes de loi des pays où ils résident afin de les faire connaître tant aux Ivoiriens de la diaspora qu'à l'Assemblée nationale ivoirienne.
Le Révérend Tagoua pense aussi qu'il ne serait pas inutile qu'à côté des cabinets des attachés militaires, il y ait, dans nos ambassades, des cabinets de presse. Ceci, pour rendre plus toniques et dynamiques les échanges d'informations entre Abidjan et les autres capitales où la Côte d'Ivoire compte une représentation diplomatique.
Cela répond à un souci majeur, la vitesse de l'information là où se prennent les décisions va se relayer le plus rapidement et clairement possible sans transiter par quelques corridors susceptibles de corrompre ces informations.
Le Révérend-candidat Tagoua a pour ambition de faire participer de façon efficace les Ivoiriens de l'Etranger au débat politique national. Et comme il attache un plus grand prix au bien-être de ces Ivoiriens, il souhaiterait que les autorités ivoiriennes interviennent chaque fois que l'un d'eux a maille à partir avec la justice du pays d'accueil ou même s'il est jeté en prison. Comme le font celles des pays développés lorsque leurs ressortissants sont emprisonnés. A l'exemple du président français Nicolas Sarkozy qui s'est déplacé en personne à N'djamena, au Tchad pour négocier la libération des Français arrêtés dans le cadre de l'affaire de l'Arche de Zoé.
L'homme de Dieu rêve d'une force politique et administrative qui sera capable de défendre les intérêts des Ivoiriens partout où ils se trouvent.
Santé : La politique de gratuité des premiers soins
Au niveau de la Santé, le Révérend Tagoua veut apporter de grandes innovations qui pourraient changer le rapport des Ivoiriens à leur Santé. Dans un premier temps, le candidat Tagoua voudrait instituer une politique de gratuité des premiers soins. Puisqu'il a remarqué que si de nombreux Ivoiriens refusent de se rendre dans les hôpitaux, les cliniques et autres centres de santé, c'est moins parce qu'ils ne veulent pas que parce qu'ils ne peuvent pas. Ils n'ont pas le minimum pour payer les premiers soins. A commencer par la première ordonnance. Il propose donc la construction de centres de premiers secours. Dans ces centres, les premiers soins seront gratuits. A charge pour ces centres d'établir, aux fins de la communiquer à la population, la liste des premiers soins gratuits qui lui sont offerts par l'Etat.
Un autre problème concerne la responsabilité du praticien ou du médecin traitant. Le candidat Tagoua a constaté que des hommes et des femmes meurent dans des conditions troubles entre les mains des docteurs et autres médecins. Sans que jamais la question de leurs responsabilités ne soit évoquée. Il trouve cela inadmissible.
Pour lui, cette situation fait que les patients sont à la merci de certains médecins qui, sachant qu'ils n'encourent aucune sanction en cas de faute, se comportent comme bon leur semble. Il faut y mettre un terme. Dans les pays développés, un médecin est un justiciable comme un autre et peut être poursuivi. En l'occurrence, pour ''mauvaises pratiques''. Il faut donc que les députés pensent à protéger le droit des patients à des soins de qualité.
En un mot, il faut faire en sorte que les malades aient un recours en cas de ''maltraitance''. Le médecin ne doit plus être ''tout-puissant''.
Sécurité sociale
La Sécurité sociale, comme son nom l'indique, est indispensable à la bonne marche de la société. Et dans un pays essentiellement agricole comme la Côte d'Ivoire, il est essentiel que la Sécurité sociale commence par les agriculteurs et les planteurs. Surtout avec la transformation de nos produits agricoles. La plus-value dégagée par cette transformation, notamment celle du café et du cacao dont la Côte d'Ivoire est un grand producteur pour l'un et le premier pour l'autre, permettra à la politique de la Sécurité sociale d'atteindre ses objectifs. Cette sécurité sociale pourrait garantir une rémunération minimale aux paysans pendant les mois d'inactivité. Elle pourrait aussi assurer un minimum aux Ivoiriens les plus nécessiteux. Ceux qui mangent à peine un repas par jour. On pourrait, par exemple, leur donner un sac de riz ou la valeur équivalente en numéraire. Cela demande que l'on puisse aller en profondeur avec l'agriculture pour atteindre l'autosuffisance alimentaire. L'agriculture vivrière devrait donc être l'affaire de tous.
C'est pourquoi, le Révérend Tagoua veut encourager l'Etat à soutenir les producteurs du vivrier et surtout du riz. De sorte que l'Etat soit le garant de l'achat de cette production. C'est une bonne chose que tout le monde court au café, au cacao, à l'hévéa, au palmier à huile, à l'ananas, etc. mais il serait mieux que le riz dont on est tous des consommateurs soit produit en quantité suffisante. L'Etat s'engagera à acheter la quantité excédentaire qu'elle pourrait vendre à l'extérieur ou sur le marché intérieur à moindre coût. L'objectif étant de rendre la consommation du (bon) riz aussi démocratique que celle de l'Attiéké que l'on trouve à tous les coins de rue et que consomment les Ivoiriens, toutes classes sociales confondues.
Il faut ajouter aux agriculteurs et planteurs tous ceux qui interviennent dans le secteur informel et qui ne sont pas pris en compte par la Cnps. Ils sont également concernés par la sécurité sociale. Cependant à leur niveau, il faut un recensement préalable de ces couches en commençant par le commerçant de cola jusqu'aux professionnels des Pme et Pmi. Cette prise en charge est temporaire.
L'un des volets de la sécurité sociale concerne les femmes et les enfants. Autant il ne doit pas exister d'enfants non scolarisés autant il ne doit y avoir de femmes oisives. La femme, à cause de son genre ne doit pas être jetée hors du domicile conjugal par son conjoint à moins qu'elle n'ait commis un crime.
Administration
"On s'est tellement habitué à la lourdeur de l'administration que c'est devenu une coutume chez nous" déclare le Révérend-candidat Tagoua N. Pascal qui refuse de cautionner cette ''fatalité'' que subissent ses compatriotes. Pour lui, l'administration a le devoir d'être efficace, rapide et transparente. Une telle exigence participe au développement du pays. Car pour lui, au niveau de l'administration, la norme supérieure demeure la transparence. Sans oublier la célérité. Il propose là aussi, quelques innovations. Notamment, le système de la traçabilité des documents.
Ainsi, l'on pourra situer les responsabilités en cas d'irrégularités. Cela est possible. Il suffit que la volonté politique impulse le mouvement. Le Révérend Tagoua le dit à qui veut l'entendre : une administration crédible est le gage du développement d'un pays. C'est pourquoi, dans son désir de la rendre efficace et transparente, il propose qu'il y ait des personnes chargées de superviser ou de contrôler l'administration. A l'image de ce qui se fait ailleurs. Notamment, aux Usa où le Fbi veille au grain, ou, tout près de nous, en Afrique du Sud, où un service dénommé Scorpion est chargé de faire la guerre aux maux qui minent l'administration du pays. Aussi, l'absentéisme, la corruption et autres mauvais comportements seront-ils combattus chaque jour par des personnes désignées ès qualité.
Le Révérend Tagoua voudrait donc que l'Etat forme à cette noble fonction de nombreux jeunes parmi les diplômés sans emplois qui sont aujourd'hui, réduits à être des gérants de cabines téléphoniques. Ce qui constitue une aberration. Ils seront les yeux et les oreilles de l'Etat à travers toute l'administration. Ils peuvent aider à combattre le racket qui a gangrené toutes les couches socio-professionnelles. Car, pour le Révérend-candidat, on ne peut pas attendre d'un policier qu'il contrôle un autre policier. Dans la lutte contre le racket, il milite pour la tolérance zéro. C'est dans ce même ordre d'idées qu'il préconise d'affiner la surveillance satellitaire sur toute l'étendue du territoire national. Afin de juguler l'insécurité qui a atteint le seuil du tolérable. Ainsi, dès qu'un malfrat aura sévi, le système satellitaire pourra le détecter et, au besoin immobiliser le véhicule dans lequel il se trouve.
Il n'oublie pas la cyber-délinquance. Aujourd'hui, de plus en plus de jeunes garçons et filles se rendent dans les cybercafés, où ils sont sans surveillance. Il faut désormais que les gérants de cybers sachent ce que regardent les jeunes qui vont dans leurs établissements. Il s'agit de les interpeller de sorte qu'ils soient en partie responsables des délits commis dans leurs cybers.
TBT.