La tenue de l’élection présidentielle ivoirienne, prévue pour le 29 novembre prochain est fortement menacée. Si le report se confirme, la Cote d’Ivoire selon des sources diplomatiques à de fortes chances de connaitre une transition.
Quelle sera la conséquence immédiate du report de la date du 29 novembre arrêté par la commission électorale indépendante en accord avec le gouvernement pour l’organisation du premier tour de l’élection présidentielle en Cote d’Ivoire ? Cette préoccupation est sur toutes les lèvres dans la capitale économique, Abidjan. En effet, vu les retards accumulés dans la conduite du processus électoral, beaucoup d’ivoiriens ont commencé à émettre des réserves quant à l’effectivité de l’échéance électorale. Tout en s’interrogeant sur l’avenir de leur pays en cas de non respect de l’engagement pris par la Cei et le gouvernement. Interrogées sur la question, des sources diplomatiques restent formelles. « Si le 29 novembre n’est pas respecté, l’accord de paix signé à Ouagadougou entre les belligérants ivoiriens consacrera son échec. Dans ce cas la Cote d’Ivoire risque fort de connaitre une transition d’au moins 6 mois, voir un an », nous a confié un diplomate en poste à Abidjan. Très au fait de l’actualité brulante du pays et certainement dans le secret des dieux, le diplomate a ajouté que cette transition pourrait mettre à la touche l’actuel pouvoir exécutif qui aura prouvé son incapacité à sortir le pays de la crise. Pour faire place à une équipe de technocrates qui aura la tache de conduire le peuple ivoirien à des élections le plus rapidement possible. Et il n’est pas seul à avancer cette idée de transition. En outre, dans les états major de certaines formations politiques cette idée circule et faire même son trou. Idem dans l’armée ivoirienne. En effet la grande muette en Cote d’Ivoire est aujourd’hui devenue une grande bouche. Et les rumeurs les plus folles y circulent. Ainsi selon une source proche d’elle cette information de transition fait son chemin dans les casernes. Et dans les zones ex-assiégées ? Elles ne sont pas marge. Comme une drainée cette idée s’est répandue dans tout le pays. Selon un responsable de l’ex-rébellion le schéma fait le tour des esprits dans les zones cno. A la lumière de tout ce qui précède, une transition guette la Cote d’Ivoire. Cependant comment va-t-elle être instaurée ? Mystère
Lacina ouattara
Quelle sera la conséquence immédiate du report de la date du 29 novembre arrêté par la commission électorale indépendante en accord avec le gouvernement pour l’organisation du premier tour de l’élection présidentielle en Cote d’Ivoire ? Cette préoccupation est sur toutes les lèvres dans la capitale économique, Abidjan. En effet, vu les retards accumulés dans la conduite du processus électoral, beaucoup d’ivoiriens ont commencé à émettre des réserves quant à l’effectivité de l’échéance électorale. Tout en s’interrogeant sur l’avenir de leur pays en cas de non respect de l’engagement pris par la Cei et le gouvernement. Interrogées sur la question, des sources diplomatiques restent formelles. « Si le 29 novembre n’est pas respecté, l’accord de paix signé à Ouagadougou entre les belligérants ivoiriens consacrera son échec. Dans ce cas la Cote d’Ivoire risque fort de connaitre une transition d’au moins 6 mois, voir un an », nous a confié un diplomate en poste à Abidjan. Très au fait de l’actualité brulante du pays et certainement dans le secret des dieux, le diplomate a ajouté que cette transition pourrait mettre à la touche l’actuel pouvoir exécutif qui aura prouvé son incapacité à sortir le pays de la crise. Pour faire place à une équipe de technocrates qui aura la tache de conduire le peuple ivoirien à des élections le plus rapidement possible. Et il n’est pas seul à avancer cette idée de transition. En outre, dans les états major de certaines formations politiques cette idée circule et faire même son trou. Idem dans l’armée ivoirienne. En effet la grande muette en Cote d’Ivoire est aujourd’hui devenue une grande bouche. Et les rumeurs les plus folles y circulent. Ainsi selon une source proche d’elle cette information de transition fait son chemin dans les casernes. Et dans les zones ex-assiégées ? Elles ne sont pas marge. Comme une drainée cette idée s’est répandue dans tout le pays. Selon un responsable de l’ex-rébellion le schéma fait le tour des esprits dans les zones cno. A la lumière de tout ce qui précède, une transition guette la Cote d’Ivoire. Cependant comment va-t-elle être instaurée ? Mystère
Lacina ouattara
