Je voudrais, d’entrée de jeu, commencer à vous saluer. On aurait dû être en vacances, mais, je sais que l’importance des enjeux nous impose que nous restions disponibles pour travailler, de faire en sorte que le processus électoral puisse se dérouler normalement. Nous nous trouvons aujourd’hui dans le droit fil de séances de travail que nous avons eues par le passé aussi bien, avec le président de la CEI, qu’avec le chef de l’Etat, pour essayer de faire le point de la sortie de crise et plus particulièrement sur les élections.
Je voudrais que dans la sérénité, nous puissions faire le point sur le chronogramme mais aussi un état des lieux précis.
Avant de venir à cette rencontre, j’ai eu plusieurs réunions, plusieurs séances de travail. Le tout étant que notre responsabilité se situe dans notre capacité à tenir des engagements que nous avons pris. L’élection doit se tenir le 29 novembre. C’est cette date qui m’apparaît la plus importante. Etant entendu que vous avez la possibilité et la flexibilité nécessaire pour faire les aménagements internes dans le chronogramme mais qui sauvegardent la tenue des élections le 29 novembre 2009. Je voudrais faire confiance à tous, et compter sur la détermination de tous pour que les élections puissent se tenir. Maintenant, il s’agit de regarder l’objectif immédiat qui est la liste provisoire. Vous m’avez informé que les travaux vont bon train. C’est vrai, il y a certainement quelques difficultés. La réunion d’aujourd’hui est de régler définitivement ces problèmes d’ordre matériels, sécuritaires. C’est pourquoi le CCI est là. Il faut qu’on garde la sérénité. J’ai lu ça et là comme une vague de panique. Il n’y a pas de feu. Ce sont nous, les Ivoiriens, qui avons décidé qu’on ferait les élections le 29 novembre 2009, c’est encore nous les Ivoiriens qui sommes assis ici pour dire que cette élection doit se tenir le 29 novembre. Il faut que les uns et les autres jouent leur rôle pour que les élections se tiennent. Ce que nous demanderons à tous, c’est le soutien des Ivoiriens et de la communauté internationale pour que nous puissions aller à la réalisation satisfaisante de cet objectif.
Cette réunion est très importante en ce sens que le gouvernement est déterminé à trouver les solutions aux problèmes que vous nous évoquerez. Nous savons que les problèmes existent dans tous les domaines. A l’heure où nous parlons, les militaires sont à Bassam en train de régler d’autres problèmes. Plusieurs chantiers sont ouverts.
Voici les premiers mots qui sont les miens. Une invitation à la sérénité, au calme, surtout une invitation à rester déterminés pour organiser les élections. Ce qui est fondamental, c’est une élection transparente dans le calme, une élection qui participe de la réconciliation.
Propos recueillis par IBK
Je voudrais que dans la sérénité, nous puissions faire le point sur le chronogramme mais aussi un état des lieux précis.
Avant de venir à cette rencontre, j’ai eu plusieurs réunions, plusieurs séances de travail. Le tout étant que notre responsabilité se situe dans notre capacité à tenir des engagements que nous avons pris. L’élection doit se tenir le 29 novembre. C’est cette date qui m’apparaît la plus importante. Etant entendu que vous avez la possibilité et la flexibilité nécessaire pour faire les aménagements internes dans le chronogramme mais qui sauvegardent la tenue des élections le 29 novembre 2009. Je voudrais faire confiance à tous, et compter sur la détermination de tous pour que les élections puissent se tenir. Maintenant, il s’agit de regarder l’objectif immédiat qui est la liste provisoire. Vous m’avez informé que les travaux vont bon train. C’est vrai, il y a certainement quelques difficultés. La réunion d’aujourd’hui est de régler définitivement ces problèmes d’ordre matériels, sécuritaires. C’est pourquoi le CCI est là. Il faut qu’on garde la sérénité. J’ai lu ça et là comme une vague de panique. Il n’y a pas de feu. Ce sont nous, les Ivoiriens, qui avons décidé qu’on ferait les élections le 29 novembre 2009, c’est encore nous les Ivoiriens qui sommes assis ici pour dire que cette élection doit se tenir le 29 novembre. Il faut que les uns et les autres jouent leur rôle pour que les élections se tiennent. Ce que nous demanderons à tous, c’est le soutien des Ivoiriens et de la communauté internationale pour que nous puissions aller à la réalisation satisfaisante de cet objectif.
Cette réunion est très importante en ce sens que le gouvernement est déterminé à trouver les solutions aux problèmes que vous nous évoquerez. Nous savons que les problèmes existent dans tous les domaines. A l’heure où nous parlons, les militaires sont à Bassam en train de régler d’autres problèmes. Plusieurs chantiers sont ouverts.
Voici les premiers mots qui sont les miens. Une invitation à la sérénité, au calme, surtout une invitation à rester déterminés pour organiser les élections. Ce qui est fondamental, c’est une élection transparente dans le calme, une élection qui participe de la réconciliation.
Propos recueillis par IBK
