Créée le 23 septembre dernier, la Coalition pour le changement veut donner à la Côte d`Ivoire une nouvelle façon de gestion. Son président Touré Mamadou appelle pour cela à des élections et dénonce les transitions sans fin.
Une coalition pour le changement, quel changement voulez-vous voir?
Nous voulons le changement à tous les niveaux. Lorsqu`on regarde la situation de notre pays aujourd`hui, où les fondamentaux sont en train d`être cassés à tous les niveaux, nous estimons que le pays a besoin d`un changement en profondeur. C`est-à-dire au niveau de nos institutions, de l`école, du système sanitaire, en terme repère moral, au niveau des valeurs. Pour nous, les élections à venir doivent permettre d`opérer des choix qui permettent à la Côte d`Ivoire d`amorcer un véritable changement.
Y a-t-il des secteurs sur lesquels vous allez insister particulièrement ?
Après notre rencontre avec les jeunes, ils veulent que leurs situations changent. Ils veulent aller à l`école, ils sont fatigués d`un système éducatif qui marchent clopin-clopant. Les jeunes veulent pouvoir se soigner, ils veulent travailler, et ils veulent des politiques qui se préoccupent de leur vécu quotidien. Notre seule chance alors c`est l`élection présidentielle, nous allons nous saisir de l`occasion pour appeler à un changement. Nous attendons des gens qui peuvent nous proposer des reformes pour que des solutions soient trouvées aux problèmes des jeunes. Je ne vais pas anticiper sur les assises que nous organisons les 25, 26 et 27 octobre 2009. A cette cérémonie, l`ensemble des jeunes que nous allons appeler va se retrouver et faire une sorte de bilan de tout ce qui a été fait en faveur des jeunes. Ce sera pour nous l`occasion de situer la responsabilité des hommes politiques dans la situation actuelle et dégager les meilleures perspectives pour les jeunes.
Dje k. M
Une coalition pour le changement, quel changement voulez-vous voir?
Nous voulons le changement à tous les niveaux. Lorsqu`on regarde la situation de notre pays aujourd`hui, où les fondamentaux sont en train d`être cassés à tous les niveaux, nous estimons que le pays a besoin d`un changement en profondeur. C`est-à-dire au niveau de nos institutions, de l`école, du système sanitaire, en terme repère moral, au niveau des valeurs. Pour nous, les élections à venir doivent permettre d`opérer des choix qui permettent à la Côte d`Ivoire d`amorcer un véritable changement.
Y a-t-il des secteurs sur lesquels vous allez insister particulièrement ?
Après notre rencontre avec les jeunes, ils veulent que leurs situations changent. Ils veulent aller à l`école, ils sont fatigués d`un système éducatif qui marchent clopin-clopant. Les jeunes veulent pouvoir se soigner, ils veulent travailler, et ils veulent des politiques qui se préoccupent de leur vécu quotidien. Notre seule chance alors c`est l`élection présidentielle, nous allons nous saisir de l`occasion pour appeler à un changement. Nous attendons des gens qui peuvent nous proposer des reformes pour que des solutions soient trouvées aux problèmes des jeunes. Je ne vais pas anticiper sur les assises que nous organisons les 25, 26 et 27 octobre 2009. A cette cérémonie, l`ensemble des jeunes que nous allons appeler va se retrouver et faire une sorte de bilan de tout ce qui a été fait en faveur des jeunes. Ce sera pour nous l`occasion de situer la responsabilité des hommes politiques dans la situation actuelle et dégager les meilleures perspectives pour les jeunes.
Dje k. M