Le président de la Côte d`Ivoire, Laurent Gbagbo, s`est dit vendredi déterminé à poursuivre le processus de paix dans son pays grâce notamment à la tenue d`élections d`ici à la fin de l`année, lors d`un discours à l`Assemblée générale de l`ONU.
« Grâce aux efforts de tous, grâce en particulier au travail et à la volonté de paix des Ivoiriens, le processus est entré dans une phase irréversible. La date de l`élection présidentielle est fixée au 29 novembre 2009. Il n`y a plus aucun obstacle politique à la tenue du scrutin », a dit M. Gbagbo. « Je voudrais dire enfin notre volonté à tout mettre en œuvre pour sortir définitivement de la crise par les élections », a-t-il ajouté, remerciant en particulier les Nations Unies pour son implication dans le rétablissement de la paix en Côte d`Ivoire. Concernant la crise économique mondiale, il a observé que « la mobilisation en Afrique, et autour de l`Afrique a été timide ». « Tout s`est passé comme si la crise financière n`était pas aussi une crise africaine ou, comme si le secteur financier africain n`était pas suffisamment intégré au système financier international », a dit le président ivoirien. « Peut-être que notre continent n`a pas pris la pleine mesure de ces crises. Et pourtant la crise financière a des conséquences sur le continent africain. En effet, ici sans doute plus vite qu`ailleurs, la crise financière s`est transformée en une crise économique, accentuant la fragilité économique et sociale », a-t-il ajouté.
Source ONU
« Grâce aux efforts de tous, grâce en particulier au travail et à la volonté de paix des Ivoiriens, le processus est entré dans une phase irréversible. La date de l`élection présidentielle est fixée au 29 novembre 2009. Il n`y a plus aucun obstacle politique à la tenue du scrutin », a dit M. Gbagbo. « Je voudrais dire enfin notre volonté à tout mettre en œuvre pour sortir définitivement de la crise par les élections », a-t-il ajouté, remerciant en particulier les Nations Unies pour son implication dans le rétablissement de la paix en Côte d`Ivoire. Concernant la crise économique mondiale, il a observé que « la mobilisation en Afrique, et autour de l`Afrique a été timide ». « Tout s`est passé comme si la crise financière n`était pas aussi une crise africaine ou, comme si le secteur financier africain n`était pas suffisamment intégré au système financier international », a dit le président ivoirien. « Peut-être que notre continent n`a pas pris la pleine mesure de ces crises. Et pourtant la crise financière a des conséquences sur le continent africain. En effet, ici sans doute plus vite qu`ailleurs, la crise financière s`est transformée en une crise économique, accentuant la fragilité économique et sociale », a-t-il ajouté.
Source ONU