3000ème numero du Patriote : Propos des acteurs économiques

Avec sa ligne éditoriale bien conforme à sa perception de la scène politique ivoirienne, le quotidien ‘‘Le Patriote’’ participe de façon dynamique au pluralisme de la presse nationale. La presse ivoirienne notons le, vis encore sa crise d’adolescence presque vingt ans après son émergence. ‘‘Le Patriote’’ qui est rédigé par une équipe professionnelle et désormais aguerrie, est bien présenté et agréable à lire. Je souhaite que ‘‘Le Patriote’’ qui a fait du chemin et qui célèbre son 3000ème numéro, poursuive ses efforts pour devenir une entreprise viable, fiable et pérenne. Que ce quotidien continue de rester parmi les meilleurs et face de l’étique et de la déontologie ses chevaux de bataille pour faire de la presse ivoirienne un levier essentiel de la démocratie encore en construction dans notre pays.

Diaby Ibrahim, Secrétaire général du Syndicat National des Transporteurs de Marchandises et Voyageurs de Côte d’Ivoire (SNTMVCI): « Que la ligne éditoriale continue à apaiser le climat social »

On est satisfait d’avoir comme organe « Le Patriote » qui apporté beaucoup à notre secteur d’activité. Il a su répondre fidèlement à nos préoccupations. « Le Patriote a permis aux autorités compétentes de se pencher sur nos préoccupations. Félicitations à « Le Patriote » pour son 3000ème numéro et que les journalistes continuent de couvrir les événements comme ils le font. Surtout que la ligne éditoriale continue à apaiser le climat social.

M. Djibo Nicolas: premier-vice président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI): « Le journal est trop politique »

C’est bien et félicitation pour le 3000ème numéro. « Le Patriote » est un journal indispensable sur l’échiquier national. La seule critique que je peux faire est que le journal est trop politique. Il a délaissé sa grande passion pour le journalisme d’investigation, où il était amené à analyser les faits de la société, au profit de la politique. Ce n’est pas mauvais, mais « Le Patriote » devrait pouvoir concilier les deux pour un bon journal.


Propos des acteurs sociaux

Dr Boka Ernest Atté (SG du SYNACASS-CI): “C’est un journal de combat”
« Je vous remercie pour cette opportunité que vous m’offrez. Ce que je voudrais d’embler dire, c’est que Le Patriote est un journal de combat qui informe l’opinion publique sur ce qui se passe au cœur du gouvernement et qu’on n’ose pas nous dire. D’autant plus que c’est un journal proche de l’opposition, je pense que ses critiques servent vraiment la population. Surtout par rapport à tout ce que le pouvoir veut cacher. Il faut dire le journal parfois pousse très loin ses analyses, à tel point que cela donne des frayeurs à la population. Lorsqu’on lit parfois vos articles, on a l’impression que d’ici peu la Côte d’Ivoire va s’embraser, va partir à vaux l’eau et qu’on ne va plus exister. Je souhaite que les journalistes soient encore plus professionnels et qu’ils s’éloignent un peu des hommes politiques. On a l’impression que la ligne éditoriale est presque sortie des réunions des hommes politiques. Je souhaite donc que les journalistes se mettent au dessus d’un certain nombre de chose et qu’ils fassent leurs analyses et critiques sans qu’on sente que cela vient des réunions des partis politiques. Dans cette période de crise, il faut qu’il y’ait un peu de mesure pour ne pas affoler la population. Le journal a beaucoup aidé les syndicats en portant l’information au cœur de la population. Avec les reportages, les analyses et les citriques qu’il fait, cela montre qu’il y’a du professionnalisme dans ce journal.


Labé Augustin Obrou, chargé de communication et des affaires intérieurs à l’archidiocèse d’Abidjan : « Le Patriote a beaucoup évolué »

« Je suis en tant que communicateur appelé à lire beaucoup de journaux. Et ma fonction fait que j’achète 9 à 10 journaux par jour. Je voudrais féliciter Le Patriote, premièrement pour sa permanence. Parce que certains journaux sont nés et sont morts quelques temps après. Je félicite Le Patriote pour ses articles pointus et pour la qualité du journal, notamment la qualité du papier et des couleurs qui sont toujours bien tenues et donc agréable à lire. J’invite le journal à poursuivre sur cette lancée. Aujourd’hui où le journal fête sont 3000ième numéros, je voudrais féliciter le promoteur et les journalistes qui ont travaillé et y’qui travaillent encore pour le travail accompli. Je souhaite que les journalistes respectent la déontologie des medias. Dans cette période électoral, je voudrais demander aux journalistes de donner les informations justes et ne pas prêter le flan à la polémique, de ne pas attiser les tensions, de ne pas mettre de l’huile sur le feu. Je crois en que Le Patriote pourra aider à l’épanouissement des ivoiriens et surtout à une sortie de crise positive. Je voudrais noter que Le Patriote a beaucoup évolué. A son temps on avait l’impression que c’était un journal qui attisait les tensions. Aujourd’hui par contre même si on peut le classer comme un journal qui est proche d’un parti politique, on peut dire que Le Patriote dans ses publications essai d’être objectif. Ce que je reproche au journal, c’est de lancer souvent des informations sans les vérifier. Ce qui porte préjudice à la population, notamment au plan international. C’est pourquoi je souhaite que les responsables du journal sensibilisent les journalistes sur la vérification des informations. Surtout en cette période électoral. Je voudrais donc féliciter le journal pour ce qu’il fera ».

M. Dohia Traoré (Secrétaire général de la Fesaci):“Pensez à des pages
spécialisées”
«17 ans d’existence. Le journal le Patriote a fait du chemin. Je suis de ce journal. C’est un journal de combat qui a connu des difficultés .La qualité du papier et de l’impression n’y était pas. Toute chose que les lecteurs ont sérieusement critiqué. Certes, c’est un quotidien proche du Rassemblement des Républicains (RDR) et il n’y a pas meilleur journal pour défendre les idéologies du Rdr. Toutefois le Patriote gagnerait plus à s’intéresser aux sujets d’ordre général. Ce journal doit penser par exemple à des pages spécialisées en Economie. Ces pages spécialisées en économie peuvent être programmées une fois dans la semaine. Cela attirera encore plus de lecteurs. Le Patriote doit faire la différence avec les autres organes de presse .En tout cas je me réjouis que le journal existe encore. Car beaucoup de journaux ont disparu pour mauvaise gestion. »


Pr Flavien Traoré Porte parole de la Coordination Nationale des Enseignants du supérieur et chercheurs de Cote d’Ivoire (CNEC): «C’est un journal de référence »
«Le Patriote est un quotidien de référence en Côte d’Ivoire. Ce quotidien nous a accompagnés dans notre lutte pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants et chercheurs Ivoiriens, ce, en donnant des informations justes. Ce qui n’est pas le cas dans d’autres organes de presse. Nous souhaitons longue vie au quotidien le Patriote ».


Anangaman Olivier (SG de l’Unesci): “Départissez –vous un peu
de la politique”
« Pour l’Union Nationale Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (UNESCI) le Patriote est bon journal. Il a contribué à notre structure d’être connue .C’est un quotidien qui est au service de la population Ivoirienne. Les informations sont bien traitées et bien rendues. Mais ce que nous reprochons à ce journal, c’est qu’il est devenu trop politique. Que le Patriote se départisse un peu de la politique. Nous souhaitons bon vent à ce journal ».


L’Imam Sékou Sylla: (Responsable communication au Cosim): “J’apprécie l’amélioration du design de ce journal »
«J’apprécie l’amélioration du design du quotidien le Patriote et le traitement d’information. J’invite par conséquent les journalistes de quotidien à s’inscrire dans le processus de sortie de crise. Avec l’amélioration de ce design, la lecture ce journal est devenu facile .Je souhaite bonne chance à ce quotidien ».

Mian Augustin (Sg de la FESCI): « Que le Patriote continue de restituer la vérité »
«Le Patriote travaille avec la Fesci bien avant que je ne soit le secrétaire général national de cette Fédération. Ce quotidien couvre toutes nos cérémonies. Ce canard rend la vérité, il dit ce qu’il est. Se référant au 3000 ème numéro, nous disons que ce journal existe il y a longtemps et vit bien. Il ya des journaux qui naissent et meurs quelques mois après. Nous souhaitons longue vie à le Patriote et qu’il continue toujours à restituer la vérité. Nous sommes dans une dynamique de sortie de crise, il est important que les journalistes du Patriote s’inscrivent dans cette dynamique. Ce, pour le grand bonheur des Ivoiriens »


Paul Gnelou (Sg du Sneppci): « Le Patriote est un organe crédible »

« Le Patriote est un organe crédible. Nous apprécions sa ligne éditoriale. En plus, c’est un journal qui donne des informations justes, un organe à la pointe de l’information. Les journalistes prennent les soins de recouper les informations avant de les publier Ce quotidien nous a accompagné dans notre lutte pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants du primaire public. Nous apprécions beaucoup ce journal et nous lui souhaitons plein succès. »


Soro Mamadou (Sg du SYNESCI) : « Nous témoignons notre reconnaissance au Patriote »

« Le Patriote est un bon journal .Il participe à l’éveil de conscience du peuple Ivoirien. Ce quotidien nous soutenu dans nos combat pour la revalorisation de la grille indiciaire des enseignants du secondaire. A titre nous l’encourageons. Le synesci témoigne toute sa reconnaissance à le Patriote nous lui souhaitons bon vent »


Rachelle Gogoua, Présidente de l’ONEF (société civile): “Que le journal pense aux ONG”

« Pour nous Le Patriote est un media partenaire. Chaque fois que nous l’avons sollicités, il a toujours répondu présent. Nous souhaitons longue vie au journal et nous l’encourageons à continuer de paraître et de soutenir les ONG que nous sommes et de porter haut nos préoccupations. Nous souhaitons que le journal nos fassent des facilités. Parce que, quand nous voulons faires des communiqués où des annonces, les montants qu’on nous donne sont tels qu’on ne peut pas. Nous souhaitons donc qu’il y’ait des facilités pour les ONG de développement que nous sommes ».

Par AC & DM