Les élèves des écoles primaires s’affronteront bientôt dans le cadre du théâtre. Une occasion pour eux de démontrer leurs talents.
Les enfants racontent leurs douleurs. C’est l’ ingénieuse idée qui sera au cœur du Festival national de théâtre scolaire édition 2009-2010 dont le lancement a été fait hier, au théâtre Madeleine Daniélou du collège Sainte Marie à Cocody. Conduite par Julien Dadié, la Direction de l’extra scolaire et des activités coopératives (Desac), structure chargée d’organiser le concours, a choisi pour thème: « La violence contre les enfants facteur de non-scolarisation et de déperdition ». Pour la représentante du bureau Côte d’Ivoire du Fond des nations unies pour l’enfance (Unicef), Maarit Hirvonen, il s’agit « de faire prendre conscience aux enfants de ce fléau et les permettre de participer eux-mêmes à la promotion de leurs droits ». Ces violences, selon elle, peuvent être d’ordre physique ou concerner les mariages forcés, les violences sexuelles, le travail abusif des enfants etc. « Il faudra que vos œuvres bouleversent votre environnement de par leur créativité », a-t-elle conseillé. Apporter un soutien aux tous petits au-delà de ce qui se fait. C’est ce qu’a souhaité Mohamed Salamé, manager général de Koz, dont la structure est partenaire de l’évènement. Il faut, selon lui, faire de la communication autour d’eux. A savoir, « permettre aux bouts de choux de gagner leur vie au cas où elle dévie », a-t-il recommandé. L’apothéose du concours est prévue pour juin 2010.
S.A
Les enfants racontent leurs douleurs. C’est l’ ingénieuse idée qui sera au cœur du Festival national de théâtre scolaire édition 2009-2010 dont le lancement a été fait hier, au théâtre Madeleine Daniélou du collège Sainte Marie à Cocody. Conduite par Julien Dadié, la Direction de l’extra scolaire et des activités coopératives (Desac), structure chargée d’organiser le concours, a choisi pour thème: « La violence contre les enfants facteur de non-scolarisation et de déperdition ». Pour la représentante du bureau Côte d’Ivoire du Fond des nations unies pour l’enfance (Unicef), Maarit Hirvonen, il s’agit « de faire prendre conscience aux enfants de ce fléau et les permettre de participer eux-mêmes à la promotion de leurs droits ». Ces violences, selon elle, peuvent être d’ordre physique ou concerner les mariages forcés, les violences sexuelles, le travail abusif des enfants etc. « Il faudra que vos œuvres bouleversent votre environnement de par leur créativité », a-t-elle conseillé. Apporter un soutien aux tous petits au-delà de ce qui se fait. C’est ce qu’a souhaité Mohamed Salamé, manager général de Koz, dont la structure est partenaire de l’évènement. Il faut, selon lui, faire de la communication autour d’eux. A savoir, « permettre aux bouts de choux de gagner leur vie au cas où elle dévie », a-t-il recommandé. L’apothéose du concours est prévue pour juin 2010.
S.A
