Boué Ange, président de l’Observatoire de la Jeunesse Ivoirienne pour son Avenir (OJIA) a invité la jeunesse ivoirienne à prendre une part active au débat politique.
La déferlante de prise de conscience au sein de la jeunesse ivoirienne continue. Désormais, les jeunes ne veulent plus être de simple sujets de la vie politique du pays, mais souhaite de plus en plus prendre une part active dans les grands débats qui impliquent le destin du pays. C’est en substance le message délivré, au cours d’une conférence de presse au Foyer des jeunes de Marcory sur le thème : « jeunesse d’aujourd’hui, quel avenir ? », par M. Boué Ange, Président de l’Observatoire de la Jeunesse Ivoirienne pour son Avenir (OJIA). Ainsi, M. Boué Ange, président de l’OJIA, par ailleurs, ex-secrétaire de section de la Jeunesse du FPI de Marcory, a au cours de cette conférence de presse, invité la jeunesse ivoirienne à sortir de son laxisme pour prendre son destin en main. A preuve, a-t-il indiqué, le scrutin présidentiel du 29 novembre prochain, doit être le point de départ d’un changement réel et d’une rupture avec les vieilles habitudes. Aussi, face à cet enjeu crucial, il a indiqué que : « la jeunesse doit participer au débat politique. Il est temps pour la jeunesse de passer à une autre étape. Nos aînés ont essayé tant bien que mal à apporter des solutions aux difficultés de la jeunesse. Mais, ils ont échoué parce que nous n’avons pas été associés. La jeunesse n’acceptera plus que d’autres décident pour elle sans la consulter». Joignant l’acte à la parole, cet ancien responsable de la jeunesse frontiste de Marcory a annoncé son adhésion à la Coalition pour le Changement (CPC) du président Touré Mamadou, une structure de la société civile dont les assises prévues les 25, 26 et 27 octobre serviront de cadre de réflexions sur la vie et le destin de la jeunesse ivoirienne. Continuant dans sa lancé, M. Ange Boué a indiqué que le temps des violences gratuites et de l’instrumentalisation de la jeunesse est révolue.
Faisant un diagnostique sans complaisance des difficultés de la jeunesse ivoirienne, l’ex-secrétaire de section de la JFPI de Marcory a indiqué que pour celle-ci « tous les voyants ont viré au rouge ». Ainsi, selon lui, au plan socio-économique et politique, la situation de la jeunesse est plus qu’alarmante. Aussi, il a invité l’Etat à éviter un certain nombre d’habitude pour enclencher une prise de conscience véritable de la jeunesse. Selon le président de l’OJIA un Etat soucieux de contribuer à l’éducation des jeunes doit éviter en autre l’autoritarisme, le paternalisme et le sectarisme.
A sa suite, Koffi Constant, porte-parole du Directoire de la Coalition pour le Changement (CPC) a jeté un regard sur le processus électoral en cours. Au nom de la CPC, il a indiqué qu’il est impératif que l’élection présidentielle se tienne le 29 novembre 2009. Faute de quoi cette structure de la société civile tiendra le Président Laurent Gbagbo pour principal responsable du report des élections. « Les élections doivent se tenir le 29 novembre 2009. Tous les débats actuels ne sont rien d’autre que des stratégies pour retarder le processus. Nous tiendrons le Président Laurent Gbagbo pour principal responsable pour tout report de l’élection présidentielle », a averti M. Koffi Constant.
La déferlante de prise de conscience au sein de la jeunesse ivoirienne continue. Désormais, les jeunes ne veulent plus être de simple sujets de la vie politique du pays, mais souhaite de plus en plus prendre une part active dans les grands débats qui impliquent le destin du pays. C’est en substance le message délivré, au cours d’une conférence de presse au Foyer des jeunes de Marcory sur le thème : « jeunesse d’aujourd’hui, quel avenir ? », par M. Boué Ange, Président de l’Observatoire de la Jeunesse Ivoirienne pour son Avenir (OJIA). Ainsi, M. Boué Ange, président de l’OJIA, par ailleurs, ex-secrétaire de section de la Jeunesse du FPI de Marcory, a au cours de cette conférence de presse, invité la jeunesse ivoirienne à sortir de son laxisme pour prendre son destin en main. A preuve, a-t-il indiqué, le scrutin présidentiel du 29 novembre prochain, doit être le point de départ d’un changement réel et d’une rupture avec les vieilles habitudes. Aussi, face à cet enjeu crucial, il a indiqué que : « la jeunesse doit participer au débat politique. Il est temps pour la jeunesse de passer à une autre étape. Nos aînés ont essayé tant bien que mal à apporter des solutions aux difficultés de la jeunesse. Mais, ils ont échoué parce que nous n’avons pas été associés. La jeunesse n’acceptera plus que d’autres décident pour elle sans la consulter». Joignant l’acte à la parole, cet ancien responsable de la jeunesse frontiste de Marcory a annoncé son adhésion à la Coalition pour le Changement (CPC) du président Touré Mamadou, une structure de la société civile dont les assises prévues les 25, 26 et 27 octobre serviront de cadre de réflexions sur la vie et le destin de la jeunesse ivoirienne. Continuant dans sa lancé, M. Ange Boué a indiqué que le temps des violences gratuites et de l’instrumentalisation de la jeunesse est révolue.
Faisant un diagnostique sans complaisance des difficultés de la jeunesse ivoirienne, l’ex-secrétaire de section de la JFPI de Marcory a indiqué que pour celle-ci « tous les voyants ont viré au rouge ». Ainsi, selon lui, au plan socio-économique et politique, la situation de la jeunesse est plus qu’alarmante. Aussi, il a invité l’Etat à éviter un certain nombre d’habitude pour enclencher une prise de conscience véritable de la jeunesse. Selon le président de l’OJIA un Etat soucieux de contribuer à l’éducation des jeunes doit éviter en autre l’autoritarisme, le paternalisme et le sectarisme.
A sa suite, Koffi Constant, porte-parole du Directoire de la Coalition pour le Changement (CPC) a jeté un regard sur le processus électoral en cours. Au nom de la CPC, il a indiqué qu’il est impératif que l’élection présidentielle se tienne le 29 novembre 2009. Faute de quoi cette structure de la société civile tiendra le Président Laurent Gbagbo pour principal responsable du report des élections. « Les élections doivent se tenir le 29 novembre 2009. Tous les débats actuels ne sont rien d’autre que des stratégies pour retarder le processus. Nous tiendrons le Président Laurent Gbagbo pour principal responsable pour tout report de l’élection présidentielle », a averti M. Koffi Constant.