L’Alliance pour le changement (Apc) a fait hier le plein du palais de la culture à l’occasion de ses premières assises nationales sur le thème : « violences électorales et responsabilité de la société civile ».
Comment faire pour que les élections à venir, présentées comme la panacée pour une sortie de crise apaisée, ne soient pas une occasion supplémentaire de réveiller nos passions déraisonnées et n`aboutissent à nouveau sur une alternance biaisée ? Que faire pour qu`enfin le peuple ivoirien ait la parole, dise ses aspirations et se donne les moyens de contraindre ceux qui sollicitent ses suffrages à en tenir compte et qu’au lendemain des élections on n’aille pas enterrer des morts comme en 1995 et en 2000. C’est pour essayer de répondre à toutes ces questions qu’Alphonse Soro et ses camarades, membres d’Ong, ont organisé hier au palais de la culture les assises nationales de la société civile. Le thème retenu pour ce rendez-vous des Ong , présidé par le ministre Konaté Sidiki, était était : « violences électorales et responsabilité de la société civile ».
Sans détour Alphonse Soro a invité ses compatriotes à s’approprier les valeurs qui sous-tendent la démocratie et à proscrire les comportements belliqueux. Pour cette période préélectorale, il a lancé un mot d’ordre clair et sans aucune ambigüité : « bannissons la violence et choisissons le bon programme ».
Il a prévenu que l’Alliance pour le changement n’est pas un parti politique mais elle ne saurait se taire face aux dérives des hommes politiques. C’est pourquoi, il a tenu à interpeller le candidat Laurent Gbagbo sur son discours selon lequel le désarmement se ferait par les armes après les élections. De nombreux panélistes ont entretenu l’auditoire. Steven Jorgensen du Pnud , lui, a invité les Ivoiriens à arrêter de propager les rumeurs qui sont une source de conflit. Le sociologue koné a , pour sa part, invité la jeunesse à ne pas se laisser avoir par les manipulateurs. Kodjo, Marie Maule, présidente de la Cofem-ci a demandé plus de responsabilité aux femmes dans la sortie de cette crise.
Le ministre Konaté Sidiki, tout en félicitant les organisateurs de ces assises, a invité les Ivoiriens à tirer les conséquences de la crise que nous vivons afin de bannir les vilains sentiments. Il a recommandé à tous, la lecture ou la relecture du code de bonne conduite qui est un pan important de l’Accord politique de Ouaga.
Service de communication
Comment faire pour que les élections à venir, présentées comme la panacée pour une sortie de crise apaisée, ne soient pas une occasion supplémentaire de réveiller nos passions déraisonnées et n`aboutissent à nouveau sur une alternance biaisée ? Que faire pour qu`enfin le peuple ivoirien ait la parole, dise ses aspirations et se donne les moyens de contraindre ceux qui sollicitent ses suffrages à en tenir compte et qu’au lendemain des élections on n’aille pas enterrer des morts comme en 1995 et en 2000. C’est pour essayer de répondre à toutes ces questions qu’Alphonse Soro et ses camarades, membres d’Ong, ont organisé hier au palais de la culture les assises nationales de la société civile. Le thème retenu pour ce rendez-vous des Ong , présidé par le ministre Konaté Sidiki, était était : « violences électorales et responsabilité de la société civile ».
Sans détour Alphonse Soro a invité ses compatriotes à s’approprier les valeurs qui sous-tendent la démocratie et à proscrire les comportements belliqueux. Pour cette période préélectorale, il a lancé un mot d’ordre clair et sans aucune ambigüité : « bannissons la violence et choisissons le bon programme ».
Il a prévenu que l’Alliance pour le changement n’est pas un parti politique mais elle ne saurait se taire face aux dérives des hommes politiques. C’est pourquoi, il a tenu à interpeller le candidat Laurent Gbagbo sur son discours selon lequel le désarmement se ferait par les armes après les élections. De nombreux panélistes ont entretenu l’auditoire. Steven Jorgensen du Pnud , lui, a invité les Ivoiriens à arrêter de propager les rumeurs qui sont une source de conflit. Le sociologue koné a , pour sa part, invité la jeunesse à ne pas se laisser avoir par les manipulateurs. Kodjo, Marie Maule, présidente de la Cofem-ci a demandé plus de responsabilité aux femmes dans la sortie de cette crise.
Le ministre Konaté Sidiki, tout en félicitant les organisateurs de ces assises, a invité les Ivoiriens à tirer les conséquences de la crise que nous vivons afin de bannir les vilains sentiments. Il a recommandé à tous, la lecture ou la relecture du code de bonne conduite qui est un pan important de l’Accord politique de Ouaga.
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