Les militantes de l'Ufpdci crient leur indignation et leur ras-le-bol, après avoir lu ce matin, à la une du journal Progouvernemental, Fraternité-Matin du 27 octobre 2009, que " La présidentielle n'aura pas lieu le 29 novembre 2009 ", selon un article de M. Ferro M. Bailly.
Dans quel pays sommes-nous ? La Côte d'Ivoire a une longue tradition d'élection depuis l'indépendance le 7 août 1960. Les élections présidentielles ont été régulièrement organisées tous les 5 ans jusqu'en l'an 2000.
Depuis lors, que de rendez-vous manqués. Les femmes de l'Ufpdci sont fatiguées de ces reports successifs. Les populations ivoiriennes ne sont pas dupes. Le pouvoir en place ne veut pas aller aux élections. Le camp présidentiel et ses affidés veulent nous conduire jusqu'en 2010. L'Ufpdci dit non !
En effet, depuis la remise des coffrets contenant les listings provisoires au Premier ministre par la Cei, que de manœuvres dilatoires pour distraire le peuple et retarder volontairement la publication du listing électoral provisoire. Alors qu'un chronogramme précis et consensuel avait été communiqué par la Cei, après la remise du listing au Premier ministre. Puis au chef de l'Etat le même jour, la Cei et la Primature ont multiplié les rencontres avec toutes les couches de la population et les partis politiques. Que de temps perdu ! Au moment où l'on s'attendait à la publication du listing provisoire, la Cei et la Primature jouent à distraire le peuple avec un problème fictif de 2.752.000 de personnes enrôlées ne figurant sur aucun fichier historique retenu. Les militantes du Pdci, réunies au sein de l'Ufpdci sont indignées par cet énième report qui non seulement discrédite notre pays aux yeux de la communauté nationale et internationale, plonge les Ivoiriens extenués par tant d'années de crise dans un profond désarroi. Pour nous donc, la date du 29 novembre 2009 devrait mettre fin à la crise militaire et politique, à l'issue des élections présidentielles. Nous disons que la date du 29 novembre n'est pas négociable. La non tenue des élections à cette date signifie l'incapacité de la Cei, de l'Ins et de la Sagem à organiser des élections crédibles, justes et transparentes. Le gouvernement actuel, mis en place depuis l'accord politique de Ouagadougou du 04 mars 2007, a démontré son incompétence à nous sortir de la crise. L'Ufpdci met en garde Laurent Gbagbo contre cette autre duperie avec le peuple qui se voit encore une fois roulée dans la farine. Nous appelons les militantes et les militants du Pdci à la vigilance. Restons mobilisés !
Pour l'Ufpdci
La présidente nationale
Mme Dao Coulibaly Henriette
Dans quel pays sommes-nous ? La Côte d'Ivoire a une longue tradition d'élection depuis l'indépendance le 7 août 1960. Les élections présidentielles ont été régulièrement organisées tous les 5 ans jusqu'en l'an 2000.
Depuis lors, que de rendez-vous manqués. Les femmes de l'Ufpdci sont fatiguées de ces reports successifs. Les populations ivoiriennes ne sont pas dupes. Le pouvoir en place ne veut pas aller aux élections. Le camp présidentiel et ses affidés veulent nous conduire jusqu'en 2010. L'Ufpdci dit non !
En effet, depuis la remise des coffrets contenant les listings provisoires au Premier ministre par la Cei, que de manœuvres dilatoires pour distraire le peuple et retarder volontairement la publication du listing électoral provisoire. Alors qu'un chronogramme précis et consensuel avait été communiqué par la Cei, après la remise du listing au Premier ministre. Puis au chef de l'Etat le même jour, la Cei et la Primature ont multiplié les rencontres avec toutes les couches de la population et les partis politiques. Que de temps perdu ! Au moment où l'on s'attendait à la publication du listing provisoire, la Cei et la Primature jouent à distraire le peuple avec un problème fictif de 2.752.000 de personnes enrôlées ne figurant sur aucun fichier historique retenu. Les militantes du Pdci, réunies au sein de l'Ufpdci sont indignées par cet énième report qui non seulement discrédite notre pays aux yeux de la communauté nationale et internationale, plonge les Ivoiriens extenués par tant d'années de crise dans un profond désarroi. Pour nous donc, la date du 29 novembre 2009 devrait mettre fin à la crise militaire et politique, à l'issue des élections présidentielles. Nous disons que la date du 29 novembre n'est pas négociable. La non tenue des élections à cette date signifie l'incapacité de la Cei, de l'Ins et de la Sagem à organiser des élections crédibles, justes et transparentes. Le gouvernement actuel, mis en place depuis l'accord politique de Ouagadougou du 04 mars 2007, a démontré son incompétence à nous sortir de la crise. L'Ufpdci met en garde Laurent Gbagbo contre cette autre duperie avec le peuple qui se voit encore une fois roulée dans la farine. Nous appelons les militantes et les militants du Pdci à la vigilance. Restons mobilisés !
Pour l'Ufpdci
La présidente nationale
Mme Dao Coulibaly Henriette