Le directeur de cabinet du secrétaire général des Forces nouvelles a annoncé ce week-end, à Bouaké, le report prochain de l'élection présidentielle du 29 novembre. Même si personne ne veut en parler expressément. « On sait que le 29 novembre ne peut pas être respecté. Chacun le voit. Et nous sommes en train de le constater », a soutenu le Colonel-major Bamba Sinima, devant les populations. Pour lui, aujourd'hui la réalité est que sur le terrain il est impossible de tenir les délais impartis par les textes en vigueur pour la réalisation de certains travaux. A un mois des élections, a-t-il fait remarquer, le plus gros du boulot pour la tenue effective des élections n'est pas encore réalisé. Beaucoup reste à faire. Notamment, l'affichage des listes électorales provisoires, le contentieux, l'émission et la distribution des cartes d'identité et d'électeur. Alors que le temps imparti avant le 29 novembre est court. Au cours de cette rencontre d'information, le colonel major Bamba Sinima a regretté la nonreprise des cours à l'université de Bouaké depuis la réouverture. Depuis trois ans, des étudiants y sont soumis à la même année universitaire.
Enfin, le sujet relatif aux enseignants volontaires a été abordé. « A partir du 5 novembre, environ 1.099 enseignants volontaires iront en formation dans les Cafop. Il reste 441 dossiers en traitement sur 2. 665 », a-t-il conclu.
Allah Kouamé
Enfin, le sujet relatif aux enseignants volontaires a été abordé. « A partir du 5 novembre, environ 1.099 enseignants volontaires iront en formation dans les Cafop. Il reste 441 dossiers en traitement sur 2. 665 », a-t-il conclu.
Allah Kouamé
