Il n’y a plus de doute à se faire, l’élection présidentielle ne se tiendra pas le 29 novembre comme prévu.
Le trio de copains constitué de Gbagbo, Soro et Mambé a décidé de prolonger la souffrance des ivoiriens en reportant les élections présidentielles. Ce qui, de facto ouvre les vannes à Laurent Gbagbo de prendre en otage le pouvoir d’état et par ricochet la Côte d’Ivoire. Les avalanches de réactions et autres prise de position de l’opposition et de la communauté internationale pour dénoncer ce jeu trouble n’ont pu faire plier les deux acteurs principaux de la crise politico-militaire en Eburnie.
Les ivoiriens ont marre de cette situation qui n’a que trop duré. Le chef du palais présidentiel n’en a cure. Il veut s’éterniser au pouvoir quelque soit ce que cela lui coûtera. L’élection n’est pas pour demain, n’en déplaise à ceux qui veulent le changement. Laurent Gbagbo veut être à la barre jusqu’à ce que le soufle de Dieu lui soit enlevé. Cette intransigeance du candidat de Coulibaly Malick a bafoué les règles démocratiques et va provoquer la réaction des ivoiriens. Ce tableau sombre de ni élection ni paix, donne au citoyen lambda de se demander si la panacée proposée par Anaky Kobina, dans le cas d’espèce, ne serait pas la meilleure ? Le scenario malgache conseillé par le président du Mfa et qui lui avait valu le courroux des refondateurs pourrait aujourd’hui s’imposer aux ivoiriens. Le ras-le-bol d’un peuple sous la servitude, comme les ivoiriens, fait toujours boule de neige. A Madagascar, la souffrance et l’oppression ont contraint le peuple à assiéger la rue pour réclamer le départ du président d’alors, Ravalomanana. Cette action fut payante. Loin de nous l’idée d’attirer une quelconque haine dans les cœurs, mais, le scénario malgache pourrait faire école en Côte d’Ivoire si la situation demeure statique. Les ivoiriens ont assez souffert des affres de la guerre. Et ils ne tolérons pas longtemps que leur quotidien évolue de mal en pire. Laurent Gbagbo doit s’en a percevoir et revenir sur son secret désir de faire une main mise sur le pouvoir sans organiser les élections présidentielles. La contre-réaction des ivoiriens à cette attitude du Woody de Mama, peut être humiliante pour notre candidat.
Jérôme N’Dri
Le trio de copains constitué de Gbagbo, Soro et Mambé a décidé de prolonger la souffrance des ivoiriens en reportant les élections présidentielles. Ce qui, de facto ouvre les vannes à Laurent Gbagbo de prendre en otage le pouvoir d’état et par ricochet la Côte d’Ivoire. Les avalanches de réactions et autres prise de position de l’opposition et de la communauté internationale pour dénoncer ce jeu trouble n’ont pu faire plier les deux acteurs principaux de la crise politico-militaire en Eburnie.
Les ivoiriens ont marre de cette situation qui n’a que trop duré. Le chef du palais présidentiel n’en a cure. Il veut s’éterniser au pouvoir quelque soit ce que cela lui coûtera. L’élection n’est pas pour demain, n’en déplaise à ceux qui veulent le changement. Laurent Gbagbo veut être à la barre jusqu’à ce que le soufle de Dieu lui soit enlevé. Cette intransigeance du candidat de Coulibaly Malick a bafoué les règles démocratiques et va provoquer la réaction des ivoiriens. Ce tableau sombre de ni élection ni paix, donne au citoyen lambda de se demander si la panacée proposée par Anaky Kobina, dans le cas d’espèce, ne serait pas la meilleure ? Le scenario malgache conseillé par le président du Mfa et qui lui avait valu le courroux des refondateurs pourrait aujourd’hui s’imposer aux ivoiriens. Le ras-le-bol d’un peuple sous la servitude, comme les ivoiriens, fait toujours boule de neige. A Madagascar, la souffrance et l’oppression ont contraint le peuple à assiéger la rue pour réclamer le départ du président d’alors, Ravalomanana. Cette action fut payante. Loin de nous l’idée d’attirer une quelconque haine dans les cœurs, mais, le scénario malgache pourrait faire école en Côte d’Ivoire si la situation demeure statique. Les ivoiriens ont assez souffert des affres de la guerre. Et ils ne tolérons pas longtemps que leur quotidien évolue de mal en pire. Laurent Gbagbo doit s’en a percevoir et revenir sur son secret désir de faire une main mise sur le pouvoir sans organiser les élections présidentielles. La contre-réaction des ivoiriens à cette attitude du Woody de Mama, peut être humiliante pour notre candidat.
Jérôme N’Dri
