PARIS - La France a pris note du report de la date de l`élection présidentielle en Côte d`Ivoire et espère que les autorités ivoiriennes décideront d`une nouvelle date "rapidement", a déclaré jeudi le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero.
"Nous avons pris note des déclarations quant à un report de la date de l`élection", et sans nouvelle échéance annoncée à ce stade, "nous invitons donc les autorités ivoiriennes à prendre rapidement des dispositions en ce sens", a-t-il dit, en réponse à une question lors de son point presse quotidien.
"Nous comprenons que ce report est motivé par des raisons techniques" mais "nous n`en rappelons pas moins notre attachement à la tenue rapide du scrutin dans les meilleures conditions possibles", a-t-il ajouté.
Mercredi, le président de la Commission électorale indépendante (CEI) Robert Mambé, évoquant les retards accusés dans la publication de la liste provisoire, avait annoncé que la date du 29 novembre officiellement prévue pour la présidentielle ivoirienne serait "un peu déplacée".
Sans cesse reporté depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en 2005, le scrutin présidentiel est censé clore une grave crise politico-militaire née d`un coup d`Etat manqué en 2002, qui a coupé le pays, ex-colonie française, en un Nord ex-rebelle et un Sud loyaliste.
"Nous avons pris note des déclarations quant à un report de la date de l`élection", et sans nouvelle échéance annoncée à ce stade, "nous invitons donc les autorités ivoiriennes à prendre rapidement des dispositions en ce sens", a-t-il dit, en réponse à une question lors de son point presse quotidien.
"Nous comprenons que ce report est motivé par des raisons techniques" mais "nous n`en rappelons pas moins notre attachement à la tenue rapide du scrutin dans les meilleures conditions possibles", a-t-il ajouté.
Mercredi, le président de la Commission électorale indépendante (CEI) Robert Mambé, évoquant les retards accusés dans la publication de la liste provisoire, avait annoncé que la date du 29 novembre officiellement prévue pour la présidentielle ivoirienne serait "un peu déplacée".
Sans cesse reporté depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en 2005, le scrutin présidentiel est censé clore une grave crise politico-militaire née d`un coup d`Etat manqué en 2002, qui a coupé le pays, ex-colonie française, en un Nord ex-rebelle et un Sud loyaliste.
