Lors d’un point de presse animé le 11 novembre à son Q.G de campagne sis à Cocody les II Plateaux, Jacqueline Oble s’est prononcée sur la situation des candidats indépendants.
Jacqueline Lohouès Oble s’est attardé au cours de cette rencontre sur la consolidation de la paix et le désarmement par le consensus et non par la guerre.
Lors du point de presse qu’elle a animé hier du siège de son Q.G de campagne sis à Cocody les II Plateaux, Jacqueline Oble a aussi jeté un regard critique sur les 50 ans de régime présidentiel de la Côte d’Ivoire. Pour elle, il faut revisiter ce système pour aboutir à un régime parlementaire, car pour elle, le Chef de l’Etat ne peut à lui tout seul, détenir tout le pouvoir, au risque de basculer dans la dictature ou la tyrannie. « La nomination à des postes de responsabilité ne doit pas être la prérogative du Chef de l’Etat », a-t-elle ajouté avant de souhaiter le renforcement des pouvoirs d’action et de contrôle de l’Assemblée Nationale. Pour Jacqueline Lohouès Oble, les gouvernants doivent venir au perchoir pour être entendus sur le fonctionnement de leur département respectif, selon elle les parlementaires ne sont pas que des relais d’information. Plus loin la candidate à la présidentielle a rappelé l’effectivité de la loi de finance pour éviter des sorties incontrôlées d’argent. S’attardant sur le contexte de la présidentielle, Jacqueline Lohouès Oble a souhaité que les candidats indépendants aient droit au même traitement que les candidats des partis politiques.
Pour elle, il s’agit notamment de leur représentativité à la commission électorale indépendante, et du bénéfice de la couverture médiatique.
Idrissa Konaté
Jacqueline Lohouès Oble s’est attardé au cours de cette rencontre sur la consolidation de la paix et le désarmement par le consensus et non par la guerre.
Lors du point de presse qu’elle a animé hier du siège de son Q.G de campagne sis à Cocody les II Plateaux, Jacqueline Oble a aussi jeté un regard critique sur les 50 ans de régime présidentiel de la Côte d’Ivoire. Pour elle, il faut revisiter ce système pour aboutir à un régime parlementaire, car pour elle, le Chef de l’Etat ne peut à lui tout seul, détenir tout le pouvoir, au risque de basculer dans la dictature ou la tyrannie. « La nomination à des postes de responsabilité ne doit pas être la prérogative du Chef de l’Etat », a-t-elle ajouté avant de souhaiter le renforcement des pouvoirs d’action et de contrôle de l’Assemblée Nationale. Pour Jacqueline Lohouès Oble, les gouvernants doivent venir au perchoir pour être entendus sur le fonctionnement de leur département respectif, selon elle les parlementaires ne sont pas que des relais d’information. Plus loin la candidate à la présidentielle a rappelé l’effectivité de la loi de finance pour éviter des sorties incontrôlées d’argent. S’attardant sur le contexte de la présidentielle, Jacqueline Lohouès Oble a souhaité que les candidats indépendants aient droit au même traitement que les candidats des partis politiques.
Pour elle, il s’agit notamment de leur représentativité à la commission électorale indépendante, et du bénéfice de la couverture médiatique.
Idrissa Konaté