La fin des polémiques sur la participation à l’élection présidentielle n’est pas pour maintenant.
Et revoilà le débat sur la candidature à la présidentielle. Le professeur Ouraga Obou, qui a toujours défendu des positions on ne peut plus ambiguës, est resté fidèle à sa vision des choses. Invité récemment à intervenir sur le thème «Jeunesse et engagement politique», le professeur Ouraga Obou n’a pas hésité à mettre à nouveau «les pieds dans le plat». «Je suis contre l’exclusion à la présidentielle», dira-t-il à l’assistance. En clair pour lui, tous ceux qui ont déposé leur demande de candidature à la CEI, doivent d’office prendre part au scrutin présidentiel.
Or la participation à l’élection présidentielle, comme toute compétition, obéit, quoiqu’en pensent certaines personnes, à des critères. En optant pour cette position, le professeur Ouraga remet en cause la Constitution ivoirienne ou la loi fondamentale. Malgré la signature de l’Accord politique de Ouaga, la loi fondamentale existe bel et bien. Autrement, la Côte d’Ivoire serait un fourre-tout. Et n’importe quel individu viendrait y faire ce qui lui passe part la tête. Et tous les cinq ans, ce pays serait le terrain privilégié de tous les malfrats, renégats et autres irrespectueux des lois d’un pays...
Et revoilà le débat sur la candidature à la présidentielle. Le professeur Ouraga Obou, qui a toujours défendu des positions on ne peut plus ambiguës, est resté fidèle à sa vision des choses. Invité récemment à intervenir sur le thème «Jeunesse et engagement politique», le professeur Ouraga Obou n’a pas hésité à mettre à nouveau «les pieds dans le plat». «Je suis contre l’exclusion à la présidentielle», dira-t-il à l’assistance. En clair pour lui, tous ceux qui ont déposé leur demande de candidature à la CEI, doivent d’office prendre part au scrutin présidentiel.
Or la participation à l’élection présidentielle, comme toute compétition, obéit, quoiqu’en pensent certaines personnes, à des critères. En optant pour cette position, le professeur Ouraga remet en cause la Constitution ivoirienne ou la loi fondamentale. Malgré la signature de l’Accord politique de Ouaga, la loi fondamentale existe bel et bien. Autrement, la Côte d’Ivoire serait un fourre-tout. Et n’importe quel individu viendrait y faire ce qui lui passe part la tête. Et tous les cinq ans, ce pays serait le terrain privilégié de tous les malfrats, renégats et autres irrespectueux des lois d’un pays...