On la savait immature. L’opposition justifie une fois de plus sa mauvaise réputatin d’enfant gâté. Qui fait du bruit comme un “chien fou” pour se faire entendre. Vraiment, le Pdci est ridicule... Le chien aboie...
Comment comprendre qu’après sept (7) ans de crise militaro-politique, des ivoiriens choisissent encore la déconstruction du pays, là où tous devraient emboucher la trompette de l'union pour le développement que consacreront des élections transparentes, démocratiques ? Il y a un temps pour les antagonismes en politique. Mais un autre pour le rassemblement autour des valeurs qui fondent la République, la Nation. Alpha Blondy, la méga star de reggae l'a compris. Selon lui, "on a programmé les jeunes à aller à la guerre, maintenant, il faut les déprogrammer et leur dire que la guerre est finie "(1). Le comité national de soutien aux forces de réunification (Conasfor) qui lançait, il y a peu, sa tombola pour soutenir le Centre de commandement intégré (Cci), a raison de rechercher des moyens afin de pourvoir les soldats ivoiriens pour la paix, de ressources financières, matérielles, logistiques importantes, qu'appel l'organisation des élections en Côte d'Ivoire (l'une des plus coûteuses au monde, dit-on). Au lieu de participer à cette mobilisation, l'opposition s'illustre de façon peu honorable en invitant les ivoiriens à la chienlit. Parce que l'élection présidentielle qui devrait se tenir le 29 novembre dernier, a été reportée. Ainsi donc, entend-on le hululement des loups affamés, longtemps claquemurés dans leur enclos. Ce n'est pas l'inénarrable secrétaire général adjoint du Pdci, Maurice Kakou Guikahué, qui dira le contraire. Lui qui somme les affidés de son parti à ce qu'il nomme, opération "wourou fatô". Une danse au scalpe que tente d'expliquer son patron, "Zimin" : "Le Pdci-Rda invite tous les ivoiriens à faire du tintamarre sur toute l'étendue du territoire, dans nos villes et agglomérations, en tapant sur des casseroles, en klaxonnant et sifflant, pendant dix (10) minutes, chaque jour à 12 heures" (2). Mais diantre ! Contre qui s'acharnent Bédié et ses thuriféraires au risque d'être poursuivis devant les juridictions du pays pour trouble à l'ordre public et nuisance sonore? Réponse : Beugré Mambé, cadre du Pdci, himself. Quelle logique ?! Que gagne le vieux parti à se rendre ainsi ridicule, quand la Cei explique calmement que, "la date- de l'élection présidentielle - sera décalée de quelques semaines pour des raisons techniques, connues de tous, indépendante de sa volonté". Protester comme il le fait contre la Cei, n'est-ce pas pour le Pdci, se battre en définitive contre des moulins à vent. Car, cela ne résoudra pas les problèmes qui se posent. A savoir, "les corrections sur les données alphanumériques qui seront ensuite traitées; le repérage complémentaire des ivoiriens par croisement ou sur la base des pièces administratives; le redressement des listes incomplètes du fait de l'impression numérique; la relocalisation judicieuse et adéquate de certaines listes déjà imprimées; la prise en compte de certaines données biométriques ou alphanumériques absentes par re-enrôlement, etc".
Le tintamarre que réclame le Pdci résoudra-t-il "les cas de formulaires orphelins, les cas de photos inexploitables, les cas de formulaires endommagés, les cas de personnes enrôlées disposant de leurs récépissés mais qu'on ne retrouve ni sur la liste électorale provisoire, ni sur la liste de rejets techniques, etc" ?
L'Udpci et Alassane Salif N’Diaye qui se disent attristés à cause du report de l'élection présidentielle auraient-ils aimé que les ivoiriens aillent à ces joutes électorales alors même que des habitants de villages entiers ne figurent pas sur la liste électorale provisoire publiée ? Serait-ce décent de mettre sous le boisseau des listes électorales truffées de fraudeurs comme le Burkinabé Bagoro, devenu on ne sait trop par quelle alchimie, Bilé Amon (ivoirien) ?
Parce que le "wourou fatô" (traduction littérale en dioula de : "chien fou") est sans conscience (claire), on n'est pas loin de penser que le géniteur de ce monstre le soit aussi. Tel fils, tel père !
Mais les ivoiriens épris de paix, ne se laisseront point prendre au piège grossier de ces va-t-en guerre qui s'activent ici et là, un tison en main, à la recherche de l'étincelle qui viendra mettre encore le pays sens dessus dessous. Le Président de la République Laurent Gbagbo, n'a pas tort de rappeler aux uns et aux autres que "la Côte d'Ivoire est notre pays. Ce qui a été gâté, il nous faut le réparer. C'est ce que nous sommes en train de réparer" (3). Les vandales qui au Pdci, ont déjà cassé le canari de Bandji du "père Houphouët-Boigny" devraient être attentifs à l'avertissement de la Cei: "En cette période hautement sensible du processus électoral, elle demande à certains élus et leaders d'opinion d'éviter de tenir dans la presse, des propos susceptibles de fragiliser le climat social qui s'est nettement amélioré après moult sacrifices consentis par tous ". Elle prie aussi certaines organisations de la société civile de prendre conscience du rôle qui est le leur dans ce processus en faisant l'économie des attaques gratuites contre les acteurs de ce processus". Dont acte!
Douh-L.Patrice
Comment comprendre qu’après sept (7) ans de crise militaro-politique, des ivoiriens choisissent encore la déconstruction du pays, là où tous devraient emboucher la trompette de l'union pour le développement que consacreront des élections transparentes, démocratiques ? Il y a un temps pour les antagonismes en politique. Mais un autre pour le rassemblement autour des valeurs qui fondent la République, la Nation. Alpha Blondy, la méga star de reggae l'a compris. Selon lui, "on a programmé les jeunes à aller à la guerre, maintenant, il faut les déprogrammer et leur dire que la guerre est finie "(1). Le comité national de soutien aux forces de réunification (Conasfor) qui lançait, il y a peu, sa tombola pour soutenir le Centre de commandement intégré (Cci), a raison de rechercher des moyens afin de pourvoir les soldats ivoiriens pour la paix, de ressources financières, matérielles, logistiques importantes, qu'appel l'organisation des élections en Côte d'Ivoire (l'une des plus coûteuses au monde, dit-on). Au lieu de participer à cette mobilisation, l'opposition s'illustre de façon peu honorable en invitant les ivoiriens à la chienlit. Parce que l'élection présidentielle qui devrait se tenir le 29 novembre dernier, a été reportée. Ainsi donc, entend-on le hululement des loups affamés, longtemps claquemurés dans leur enclos. Ce n'est pas l'inénarrable secrétaire général adjoint du Pdci, Maurice Kakou Guikahué, qui dira le contraire. Lui qui somme les affidés de son parti à ce qu'il nomme, opération "wourou fatô". Une danse au scalpe que tente d'expliquer son patron, "Zimin" : "Le Pdci-Rda invite tous les ivoiriens à faire du tintamarre sur toute l'étendue du territoire, dans nos villes et agglomérations, en tapant sur des casseroles, en klaxonnant et sifflant, pendant dix (10) minutes, chaque jour à 12 heures" (2). Mais diantre ! Contre qui s'acharnent Bédié et ses thuriféraires au risque d'être poursuivis devant les juridictions du pays pour trouble à l'ordre public et nuisance sonore? Réponse : Beugré Mambé, cadre du Pdci, himself. Quelle logique ?! Que gagne le vieux parti à se rendre ainsi ridicule, quand la Cei explique calmement que, "la date- de l'élection présidentielle - sera décalée de quelques semaines pour des raisons techniques, connues de tous, indépendante de sa volonté". Protester comme il le fait contre la Cei, n'est-ce pas pour le Pdci, se battre en définitive contre des moulins à vent. Car, cela ne résoudra pas les problèmes qui se posent. A savoir, "les corrections sur les données alphanumériques qui seront ensuite traitées; le repérage complémentaire des ivoiriens par croisement ou sur la base des pièces administratives; le redressement des listes incomplètes du fait de l'impression numérique; la relocalisation judicieuse et adéquate de certaines listes déjà imprimées; la prise en compte de certaines données biométriques ou alphanumériques absentes par re-enrôlement, etc".
Le tintamarre que réclame le Pdci résoudra-t-il "les cas de formulaires orphelins, les cas de photos inexploitables, les cas de formulaires endommagés, les cas de personnes enrôlées disposant de leurs récépissés mais qu'on ne retrouve ni sur la liste électorale provisoire, ni sur la liste de rejets techniques, etc" ?
L'Udpci et Alassane Salif N’Diaye qui se disent attristés à cause du report de l'élection présidentielle auraient-ils aimé que les ivoiriens aillent à ces joutes électorales alors même que des habitants de villages entiers ne figurent pas sur la liste électorale provisoire publiée ? Serait-ce décent de mettre sous le boisseau des listes électorales truffées de fraudeurs comme le Burkinabé Bagoro, devenu on ne sait trop par quelle alchimie, Bilé Amon (ivoirien) ?
Parce que le "wourou fatô" (traduction littérale en dioula de : "chien fou") est sans conscience (claire), on n'est pas loin de penser que le géniteur de ce monstre le soit aussi. Tel fils, tel père !
Mais les ivoiriens épris de paix, ne se laisseront point prendre au piège grossier de ces va-t-en guerre qui s'activent ici et là, un tison en main, à la recherche de l'étincelle qui viendra mettre encore le pays sens dessus dessous. Le Président de la République Laurent Gbagbo, n'a pas tort de rappeler aux uns et aux autres que "la Côte d'Ivoire est notre pays. Ce qui a été gâté, il nous faut le réparer. C'est ce que nous sommes en train de réparer" (3). Les vandales qui au Pdci, ont déjà cassé le canari de Bandji du "père Houphouët-Boigny" devraient être attentifs à l'avertissement de la Cei: "En cette période hautement sensible du processus électoral, elle demande à certains élus et leaders d'opinion d'éviter de tenir dans la presse, des propos susceptibles de fragiliser le climat social qui s'est nettement amélioré après moult sacrifices consentis par tous ". Elle prie aussi certaines organisations de la société civile de prendre conscience du rôle qui est le leur dans ce processus en faisant l'économie des attaques gratuites contre les acteurs de ce processus". Dont acte!
Douh-L.Patrice