Le président du conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire, Paul Yao N’dré, a rencontré, hier, le cabinet du secrétaire général des Forces nouvelles à leur siège à Bouaké. A cet effet, il a indiqué qu’il est venu dans la capitale de la région de la Vallée du Bandama présenter le Conseil constitutionnel dans sa nouvelle configuration aux Forces nouvelles (Fn) et en retour solliciter leur collaboration. “Les Forces nouvelles sont sur le terrain et nous sommes donc venus leur dire que nous sommes en partenariat avec elles. Parce que nous avons ensemble en partage des valeurs qui sont nationales”, a lâché Paul Yao N’dré. Car du point de vue de leurs missions respectives, il y a des données qui leur échappent. Toutefois, il a dit que son institution a été rassurée et assurée de leur soutien et collaboration.
Aussi a-t-il remercié les Fn pour avoir accepté l’Accord politique de Ouagadougou dans sa conception comme dans sa mise en œuvre. Pour ce faire, il a tenu à les féliciter parce que l’objectif final est de parvenir à réinstaurer la paix en Côte d’Ivoire. C’est pour cela qu’il a souligné que tous les Ivoiriens, qu’ils soient civils ou militaires, ont, aujourd’hui, l’impérieux devoir de se connaître mais aussi de se reconnaître.
Chacun avec ses différences, au plan philosophique, confessionnel et social. Car, selon lui, c’est tout ça qui forme une nation et la cohésion. Poursuivant, le président du Conseil constitutionnel a laissé entendre que son institution est à la fois en amont et en aval du processus de sortie de crise à travers des élections justes, transparentes et ouvertes à tous. “Nous sommes venus leur dire quel est notre rôle et les Forces nouvelles peuvent nous aider dans les informations à recevoir sur le terrain au vu des élections et des résultats”, a-t-il recommandé.
Avant de poursuivre : “elles sont à même de nous dire, voici à Bouaké ce que nous constatons. et cela est ultime parce qu’il ne faudrait pas gâcher tout ce travail accompli avec bonheur par les Forces nouvelles et leurs autres frères au sortir de la crise par des élections mal organisées”. C’est pour toutes ces raisons que Paul Yao N’dré a affirmé que le Conseil constitutionnel est tout à fait favorable à la tenue des élections, mais surtout à une sortie de crise heureuse.
Car tout le monde, dira-t-il, doit s’impliquer dans le processus de sortie de crise pour que la paix soit une réalité en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, il a demandé aux journalistes, aux acteurs politiques et à tous les Ivoiriens de tout mettre en œuvre pour que cela soit ainsi. “De part et d’autre dans les foyers et dans les communautés ethniques, il y a des forces qui résistent à l’appel, nous devons les convaincre pour que la Côte d’Ivoire soit une et indivisible et que nous allions tous vers un développement durable”, a-t-il conclu.
Le président du Conseil constitutionnel avait à ses côtés le colonel-major Bamba Sinima, directeur de cabinet du secrétaire général des Forces nouvelles.
Adjé Jean-Alexis
Aussi a-t-il remercié les Fn pour avoir accepté l’Accord politique de Ouagadougou dans sa conception comme dans sa mise en œuvre. Pour ce faire, il a tenu à les féliciter parce que l’objectif final est de parvenir à réinstaurer la paix en Côte d’Ivoire. C’est pour cela qu’il a souligné que tous les Ivoiriens, qu’ils soient civils ou militaires, ont, aujourd’hui, l’impérieux devoir de se connaître mais aussi de se reconnaître.
Chacun avec ses différences, au plan philosophique, confessionnel et social. Car, selon lui, c’est tout ça qui forme une nation et la cohésion. Poursuivant, le président du Conseil constitutionnel a laissé entendre que son institution est à la fois en amont et en aval du processus de sortie de crise à travers des élections justes, transparentes et ouvertes à tous. “Nous sommes venus leur dire quel est notre rôle et les Forces nouvelles peuvent nous aider dans les informations à recevoir sur le terrain au vu des élections et des résultats”, a-t-il recommandé.
Avant de poursuivre : “elles sont à même de nous dire, voici à Bouaké ce que nous constatons. et cela est ultime parce qu’il ne faudrait pas gâcher tout ce travail accompli avec bonheur par les Forces nouvelles et leurs autres frères au sortir de la crise par des élections mal organisées”. C’est pour toutes ces raisons que Paul Yao N’dré a affirmé que le Conseil constitutionnel est tout à fait favorable à la tenue des élections, mais surtout à une sortie de crise heureuse.
Car tout le monde, dira-t-il, doit s’impliquer dans le processus de sortie de crise pour que la paix soit une réalité en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, il a demandé aux journalistes, aux acteurs politiques et à tous les Ivoiriens de tout mettre en œuvre pour que cela soit ainsi. “De part et d’autre dans les foyers et dans les communautés ethniques, il y a des forces qui résistent à l’appel, nous devons les convaincre pour que la Côte d’Ivoire soit une et indivisible et que nous allions tous vers un développement durable”, a-t-il conclu.
Le président du Conseil constitutionnel avait à ses côtés le colonel-major Bamba Sinima, directeur de cabinet du secrétaire général des Forces nouvelles.
Adjé Jean-Alexis
