La candidature du Révérend Théophile Soko Waza aux prochaines élections municipales à Yopougon, dérangerait-elle certaines personnes ? Tout porte à le croire au regard des nombreuses intimidations et menaces de mort dont il se dit victime depuis qu’il a officiellement annoncé sa candidature. C’est pour dénoncer ce fait, que l’Homme de Dieu a animé, samedi dernier à Yopougon, une conférence de presse sous le thème : « Dénonciation d’intimidation et de menace de mort».
Dans son propos liminaire, le Révérend-candidat Théophile Soko Waza a relevé la nécessité qu’il y a, de prendre l’opinion nationale et les pouvoirs publics à témoins, face aux actes répréhensibles et irresponsables auxquels s’adonnent certaines personnes dans une société organisée comme la nôtre. Et pour mieux faire comprendre les faits, il explique : « Nous avons, à la faveur des élections générales prochaines, manifesté une ambition nette de briguer la magistrature communale de Yopougon. Pour ce faire, nous avons parcouru l’ensemble du territoire communal et organisé nos partisans et sympathisants. Cependant cette initiative légitime et démocratique ne va pas être du goût de personnes peu recommandables qui vont épier tous nos faits et gestes avant de passer à diverses phases allant du dénigrement à la menace d’une élimination physique », a-t-il expliqué. A en croire le Révérend Soko Waza, ces menaces ont commencé en août 2009, après un meeting au quartier Koweït de Yopougon où il a annoncé publiquement ses ambitions de briguer la magistrature suprême de cette commune. Ces menaces vont s’intensifier avant et après le meeting de Gesco du 27 septembre 2009, puis se muer depuis un certain temps, à des menaces de mort, au moyen de SMS adressés au Révérend ou à ses collaborateurs, ou encore d’écrits suivants sur sa voiture à deux reprises au Plateau : « Mort faux pasteur ». Même s’il affirme avoir déjà saisi les autorités judicaires auprès desquelles il a porté plainte contre X, le Révérend Théophile Soko Waza, qui n’entend point renoncer à sa candidature, invite les pouvoirs publics à prendre des mesures adéquates pour assurer la sécurité des citoyens. Mieux, ce candidat qui dit être venu faire de Yopougon une cité de rêve, appelle tous les acteurs politiques et les autorités sociales et administratives à plus de responsabilité, car, précise-t-il, il s’agit d’un jeu politique, non d’un jeu de menace, encore moins de mort.
DY
Dans son propos liminaire, le Révérend-candidat Théophile Soko Waza a relevé la nécessité qu’il y a, de prendre l’opinion nationale et les pouvoirs publics à témoins, face aux actes répréhensibles et irresponsables auxquels s’adonnent certaines personnes dans une société organisée comme la nôtre. Et pour mieux faire comprendre les faits, il explique : « Nous avons, à la faveur des élections générales prochaines, manifesté une ambition nette de briguer la magistrature communale de Yopougon. Pour ce faire, nous avons parcouru l’ensemble du territoire communal et organisé nos partisans et sympathisants. Cependant cette initiative légitime et démocratique ne va pas être du goût de personnes peu recommandables qui vont épier tous nos faits et gestes avant de passer à diverses phases allant du dénigrement à la menace d’une élimination physique », a-t-il expliqué. A en croire le Révérend Soko Waza, ces menaces ont commencé en août 2009, après un meeting au quartier Koweït de Yopougon où il a annoncé publiquement ses ambitions de briguer la magistrature suprême de cette commune. Ces menaces vont s’intensifier avant et après le meeting de Gesco du 27 septembre 2009, puis se muer depuis un certain temps, à des menaces de mort, au moyen de SMS adressés au Révérend ou à ses collaborateurs, ou encore d’écrits suivants sur sa voiture à deux reprises au Plateau : « Mort faux pasteur ». Même s’il affirme avoir déjà saisi les autorités judicaires auprès desquelles il a porté plainte contre X, le Révérend Théophile Soko Waza, qui n’entend point renoncer à sa candidature, invite les pouvoirs publics à prendre des mesures adéquates pour assurer la sécurité des citoyens. Mieux, ce candidat qui dit être venu faire de Yopougon une cité de rêve, appelle tous les acteurs politiques et les autorités sociales et administratives à plus de responsabilité, car, précise-t-il, il s’agit d’un jeu politique, non d’un jeu de menace, encore moins de mort.
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