La bataille de la communication est ouverte pour les candidats à la présidentielle. Arrivera le premier au palais présidentiel le candidat qui aura convaincu, parce qu'il aura été le mieux vu et entendu. Pour ce faire, les prétendants au pouvoir d'Etat sont allés chercher partout leurs lobbyistes.
Avant de s'engager dans cette précampagne qui bat son plein, les différents candidats à l'élection présidentielle se sont bien regardés dans leurs miroirs. Et puis, ils ont décidé de changer de look. Pour ce faire chacun d'entre eux a eu recours à une maison de communication ou à des spécialistes connus ou anonymes. Tout est question de moyens financiers aussi. Du coup, ils se sont payé les services à valeurs variantes, selon leurs bourses. Evidemment qu'ils ne seront pas vus de la même façon par les électeurs. Peu importe, chacun ayant son crédo, le poids des communicateurs ne semble pas les inquiéter. Communication de masse, de coulisse, de proximité… Les messieurs communication ou leurs proches, utilisent toutes les expressions pour vanter le poids de leurs poulains respectifs ou de cacher leurs petits défauts. Les prétendants à la magistrature suprême sont allés chercher l'oiseau rare de communication. Les plus costauds se sont ouverts à l'étranger quand les « petits » faisant avec les moyens du bords sont choisi sur place agences et régies de communication. La bataille dans ce domaine s'annonce donc rude. Et les Ivoiriens pourraient avoir l'embarras du choix. Matraqués qu'ils seront par des stratégies de communication diverses et avariées. Pour l'essentiel, la plupart des lobbyistes sont tous réalistes. Ils savent que celui des candidats qui sera plus proche du peuple aura sa sympathie. Raison pour laquelle ils explorent tous le créneau de la proximité. Parler Ivoirien ou ''nouchi'', porter le pagne, déjeuner avec des admirateurs, faire du social, associer son image à celle de l'équipe nationale… Toutes les approches sont bonnes pour nos candidats . Et, à observer leurs actions et comportement, on croirait qu'ils sont conseillé par le même individu. Et pourtant. Découvrez ceux qui peaufinent leurs images respectives.
Bidi Ignace
Avant de s'engager dans cette précampagne qui bat son plein, les différents candidats à l'élection présidentielle se sont bien regardés dans leurs miroirs. Et puis, ils ont décidé de changer de look. Pour ce faire chacun d'entre eux a eu recours à une maison de communication ou à des spécialistes connus ou anonymes. Tout est question de moyens financiers aussi. Du coup, ils se sont payé les services à valeurs variantes, selon leurs bourses. Evidemment qu'ils ne seront pas vus de la même façon par les électeurs. Peu importe, chacun ayant son crédo, le poids des communicateurs ne semble pas les inquiéter. Communication de masse, de coulisse, de proximité… Les messieurs communication ou leurs proches, utilisent toutes les expressions pour vanter le poids de leurs poulains respectifs ou de cacher leurs petits défauts. Les prétendants à la magistrature suprême sont allés chercher l'oiseau rare de communication. Les plus costauds se sont ouverts à l'étranger quand les « petits » faisant avec les moyens du bords sont choisi sur place agences et régies de communication. La bataille dans ce domaine s'annonce donc rude. Et les Ivoiriens pourraient avoir l'embarras du choix. Matraqués qu'ils seront par des stratégies de communication diverses et avariées. Pour l'essentiel, la plupart des lobbyistes sont tous réalistes. Ils savent que celui des candidats qui sera plus proche du peuple aura sa sympathie. Raison pour laquelle ils explorent tous le créneau de la proximité. Parler Ivoirien ou ''nouchi'', porter le pagne, déjeuner avec des admirateurs, faire du social, associer son image à celle de l'équipe nationale… Toutes les approches sont bonnes pour nos candidats . Et, à observer leurs actions et comportement, on croirait qu'ils sont conseillé par le même individu. Et pourtant. Découvrez ceux qui peaufinent leurs images respectives.
Bidi Ignace
