Déjà, beaucoup de personnes frappent à la porte des tribunaux, dans le cadre du contentieux sur la liste électorale. Mais, ce n’est pas encore le moment. C’est l’information donnée hier par le président du tribunal de première instance d’Abidjan, Antoine Blé. Profitant de notre passage dans ses locaux pour faire le point de la grève des greffiers, nous l’avons interrogé à ce sujet. C’est que pendant les 30 premiers jours le contentieux est d’ordre administratif, que gère la Commission électorale indépendante (Cei).
Il s’agit des cas d’erreur d’écriture de nom par exemple. Quant au contentieux judiciaire, il sera l’affaire des juges. Et durera seulement huit jours. Alors quelles dispositions sont-elles prises à cet effet ? A cette préoccupation, M. Blé déclare qu’il y aura plusieurs audiences.
Pour tenir dans le temps, «on va suspendre les audiences ordinaires», assure-t-il. Autrement dit, le tribunal suspendra ses activités traditionnelles pour se consacrer à la gestion des contentieux qui lui parviendront. Des réunions sont tenues pour mieux gérer cette phase. «On se prépare», conclut-il.
A. K
Il s’agit des cas d’erreur d’écriture de nom par exemple. Quant au contentieux judiciaire, il sera l’affaire des juges. Et durera seulement huit jours. Alors quelles dispositions sont-elles prises à cet effet ? A cette préoccupation, M. Blé déclare qu’il y aura plusieurs audiences.
Pour tenir dans le temps, «on va suspendre les audiences ordinaires», assure-t-il. Autrement dit, le tribunal suspendra ses activités traditionnelles pour se consacrer à la gestion des contentieux qui lui parviendront. Des réunions sont tenues pour mieux gérer cette phase. «On se prépare», conclut-il.
A. K