Politique - La classe politique ivoirienne, dans ses v?ux aux populations, place l'année 2010 sous le signe de la tenue effective des élections générales pour sortir de la crise politique que vit la Côte d'Ivoire depuis septembre 2002.
Le chef de l'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo, dans son traditionnel message de nouvel an jeudi, a indiqué que 2010 sera celle de la tenue des élections générales pour sortir définitivement du schéma de dévolution du pouvoir par l'héritage ou par le coup d'Etat. Il s'agit pour lui de conférer la légitimité du pouvoir par le suffrage universel. Il a annoncé aussi la révision de l'article 35 de la constitution qui, selon lui, est confligène et dont l'exploitation tendancieuse a plongé la Côte d'Ivoire dans la crise.
Le Premier ministre, Guillaume Soro, secrétaire général des Forces nouvelles (ex-rébellion) a marqué mercredi à l'issue d'une réunion avec le haut commandement des Forces armées des Forces nouvelles, sa détermination à une mise en oeuvre complète de l'Accord politique de Ouagadougou par l'organisation d'élections transparentes et apaisées.
L'ancien président Henri Konan Bédié a souligné de son côté que "nous devons tout mettre en oeuvre pour que ces élections soient tenues et que la présidentielle ait lieu à la date indiquée par la dernière réunion du Cadre permanent de concertation". "C'est à cette seule condition que notre pays redeviendra un Etat de droit, où la vie humaine est respectée, où l'Ivoirien est citoyen, où tout le monde se sent libre et où la confiance règne", a-t-il ajouté.
Pour l'ancien Premier ministre Alassane Ouattara, "il importe que la Commission électorale indépendante (CEI) respecte le chronogramme arrêté à la dernière réunion du CPC à Ouagadougou, pour que l'élection devienne le mode normal de dévolution du pouvoir dans notre pays".
Le Pr Francis Wodié, candidat du Parti ivoirien des travailleurs (PIT), a ajouté quant à lui que "la Côte d'Ivoire, notre pays, notre seul pays, peut et doit se relever par notre volonté commune en organisant les élections".
Depuis septembre 2008, période de démarrage de l'opération d'enrôlement de la population, le processus électoral a enregistré des avancées notables. La phase en cours est la gestion du contentieux de l'inscription sur la liste électorale, débutée le 24 novembre dernier et devant prendre fin le 6 janvier prochain.
Les prochaines étapes sont la publication de la liste électorale définitive, la confection et la distribution des cartes d'électeurs et des cartes d'identité et la tenue du scrutin.
Le chef de l'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo, dans son traditionnel message de nouvel an jeudi, a indiqué que 2010 sera celle de la tenue des élections générales pour sortir définitivement du schéma de dévolution du pouvoir par l'héritage ou par le coup d'Etat. Il s'agit pour lui de conférer la légitimité du pouvoir par le suffrage universel. Il a annoncé aussi la révision de l'article 35 de la constitution qui, selon lui, est confligène et dont l'exploitation tendancieuse a plongé la Côte d'Ivoire dans la crise.
Le Premier ministre, Guillaume Soro, secrétaire général des Forces nouvelles (ex-rébellion) a marqué mercredi à l'issue d'une réunion avec le haut commandement des Forces armées des Forces nouvelles, sa détermination à une mise en oeuvre complète de l'Accord politique de Ouagadougou par l'organisation d'élections transparentes et apaisées.
L'ancien président Henri Konan Bédié a souligné de son côté que "nous devons tout mettre en oeuvre pour que ces élections soient tenues et que la présidentielle ait lieu à la date indiquée par la dernière réunion du Cadre permanent de concertation". "C'est à cette seule condition que notre pays redeviendra un Etat de droit, où la vie humaine est respectée, où l'Ivoirien est citoyen, où tout le monde se sent libre et où la confiance règne", a-t-il ajouté.
Pour l'ancien Premier ministre Alassane Ouattara, "il importe que la Commission électorale indépendante (CEI) respecte le chronogramme arrêté à la dernière réunion du CPC à Ouagadougou, pour que l'élection devienne le mode normal de dévolution du pouvoir dans notre pays".
Le Pr Francis Wodié, candidat du Parti ivoirien des travailleurs (PIT), a ajouté quant à lui que "la Côte d'Ivoire, notre pays, notre seul pays, peut et doit se relever par notre volonté commune en organisant les élections".
Depuis septembre 2008, période de démarrage de l'opération d'enrôlement de la population, le processus électoral a enregistré des avancées notables. La phase en cours est la gestion du contentieux de l'inscription sur la liste électorale, débutée le 24 novembre dernier et devant prendre fin le 6 janvier prochain.
Les prochaines étapes sont la publication de la liste électorale définitive, la confection et la distribution des cartes d'électeurs et des cartes d'identité et la tenue du scrutin.