Des jeunes de la société civile ont décidé de d’apporter leur soutien à Robert Beugré Mambé, président de la CEI qui subi des attaques du camp présidentiel.
Les leaders d’opinions de la société n’ont pas voulu être en marge du débat qui agite en ce moment la vie politique ivoirienne, et qui met en cause l’intégrité du président de la Commission Electorale Indépendante (CEI), Robert Beugré Mambé, qui est accusé à tort d’avoir inscrit 429.000 personnes sur la liste électorale provisoire. Face à cette cabale orchestrée par le camp présidentiel, pour retarder le processus de sortir de crise et saper le travail abattu par la Commission Electorale Indépendante (CEI), les différents présidents des Mouvements de la société civile à savoir, Évariste Kpadé de la Conscience ivoirienne pour l’Avenir (CIA), Boué Ange Kevin, de l’Observatoire de la Jeunesse Ivoirienne pour son Avenir ( OJIA), Zasso Dagrou Patrick du Mouvement pour la Défense de la Vraie Refondation (MODEVRE), Dogni Richard, alias Lococo, Secrétaire Général du Congrès des Anciens de la Fesci- Dignes, et Mme Diabaté Madiara, présidente de l’Association Féminine d’Aide Mutuelle et d’Action Humanitaire (AFAMAH), se sont tous érigés contre la démarche anti-démocratique du FPI et de ses partis alliés, qui veulent à tout prix saboter le processus de sortie de crise, qui doit déboucher inéluctablement sur la tenue de l’élection présidentielle prévue pour le début du mois de mars. Ils ont à travers une conférence de presse, organisée, le lundi 11 janvier 2010 au centre Sant’ Egidio de Treichville, apporter leur soutien au premier responsable de la CEI.
Selon le président du MODEVRE, Zasso Patrick, le chef de l’État Laurent Gbagbo, fait preuve d’escroquerie politique en accusant Mambé, qui, à ses yeux a agit en toute transparence dans la mesure où, avant de prendre la mesure de repêcher les 429.000 personnes et de les intégrer sur la liste électorale provisoire, celui- ci à informer les différents partis politiques qui siègent dans la commission. Selon le conférencier, c’est le croissement des données fait par les structures techniques qui a permis de repêcher ses personnes. Il est donc aberrant selon le conférencier d’accuser le président de la CEI, d’acte de fraude puisque. « Aujourd’hui on ne peut pas se lever pour dire que Mambé est un fraudeur. C’est une escroquerie morale, le Chef de l’État et ses partisans veulent compromettre l’action de la CEI, parce que pour eux, la plupart des personnes qui y figurent ne sont pas de leur bord», a-t-il soutenu. Il a par la suite, tenu à souligner que la création de la Commission électorale indépendante (CEI) obéissait à un souci d’indépendance, alors, le président du MODEVRE dit ne pas comprendre l’immixtion du camp présidentiel dans les décisions de cette structure indépendante. « La CEI la résultante de la lutte que nous avons eu a mené en 1990. Le FPI et le RDR, qui constituaient le front républicain se sont battu pour avoir une commission électorale indépendante. Cette structure est indépendante comme son nom l’indique, par conséquent, nous ne pouvons pas accepter que le FPI veuille s’accaparer cette organe », a-t-il dénoncé. Il a par la même occasion apporter son soutien au président de cette commission, qui pour lui est victime d’une cabale. « Nous voulons dire à Mambé de rester serein, qu’il dorme tranquillement. Ceux qui essaient de saboter son action nous trouverons sur leur chemin. Certains sont devenus riches à cause de la guerre et ils veulent maintenir le peuple dans cette misère, mais nous ne sommes déterminés à faire barrage à cette aventure », a-t-il pesté.
A sa suite, Kpadé Évariste du mouvement de la Conscience ivoirienne pour l’Avenir (CIA) s’est érigé contre les manœuvres dilatoires du camp présidentiel, pour retarder de manière insidieuse la tenue des élections.. Le premier responsable de cette structure en veut pour preuve, les actions perpétrées par les jeunes patriotes, visant à saboter les opérations d’audiences foraines, et de l’indentification. Le vol des valises de Sagem, et les difficultés liées au changement du mode opératoire. Il a aussi dénoncé le vol des valises de la Sage, et aussi les nombreuses grèves suscitées par le pouvoir en place pour retarder l’opération d’enrôlement. « Après les arrestations et les menaces, le FPI veut aujourd’hui discrédité la CEI et son président. Cette action orchestrée par le parti au pouvoir vise à mettre la CEI sous sa coupole », s’est-il indigné.
Le secrétaire du Congrès des anciens de la Fesci dignes, Dogni Richard n’est pas aussi allé de main morte pour fustiger l’attitude des tenants du pouvoir. Il a cependant dénoncé le manque d’initiative de l’opposition qui, selon lui n’apporte pas de réplique suffisante au parti au pouvoir. « La Côte d’Ivoire est orpheline, l’opposition est inexistante, on ne peut pas accepter ce qui ce se passe aujourd’hui, la CEI est aujourd’hui victime d’volée de bois vert de la part du parti au pouvoir et l’opposition ne dit rien », a-t-il déploré..
La présidente de l’ONG AFAMAH (Association Féminine d’Aide Mutuelle et d’Action Humanitaire) s’est quant elle appesanti sur la situation sociale que traverse le pays. Pour elle, il est impérieux d’aller aux élections, car la précarité économique et la paupérisation galopante sont un frein à l’épanouissement des Ivoiriens. « En tant que association qui œuvre dans l’action humanitaire, nous avons constaté une pauvreté grandissante, il ya plus de 4 millions de chômeurs et se nourrir convenablement est devenu un luxe pour les Ivoiriens. Pour toutes ces raisons, il est nécessaire qu’on aille aux élections », a-t-elle invité.
Service de Communication de la Direction de Campagne Abidjan-sud
Les leaders d’opinions de la société n’ont pas voulu être en marge du débat qui agite en ce moment la vie politique ivoirienne, et qui met en cause l’intégrité du président de la Commission Electorale Indépendante (CEI), Robert Beugré Mambé, qui est accusé à tort d’avoir inscrit 429.000 personnes sur la liste électorale provisoire. Face à cette cabale orchestrée par le camp présidentiel, pour retarder le processus de sortir de crise et saper le travail abattu par la Commission Electorale Indépendante (CEI), les différents présidents des Mouvements de la société civile à savoir, Évariste Kpadé de la Conscience ivoirienne pour l’Avenir (CIA), Boué Ange Kevin, de l’Observatoire de la Jeunesse Ivoirienne pour son Avenir ( OJIA), Zasso Dagrou Patrick du Mouvement pour la Défense de la Vraie Refondation (MODEVRE), Dogni Richard, alias Lococo, Secrétaire Général du Congrès des Anciens de la Fesci- Dignes, et Mme Diabaté Madiara, présidente de l’Association Féminine d’Aide Mutuelle et d’Action Humanitaire (AFAMAH), se sont tous érigés contre la démarche anti-démocratique du FPI et de ses partis alliés, qui veulent à tout prix saboter le processus de sortie de crise, qui doit déboucher inéluctablement sur la tenue de l’élection présidentielle prévue pour le début du mois de mars. Ils ont à travers une conférence de presse, organisée, le lundi 11 janvier 2010 au centre Sant’ Egidio de Treichville, apporter leur soutien au premier responsable de la CEI.
Selon le président du MODEVRE, Zasso Patrick, le chef de l’État Laurent Gbagbo, fait preuve d’escroquerie politique en accusant Mambé, qui, à ses yeux a agit en toute transparence dans la mesure où, avant de prendre la mesure de repêcher les 429.000 personnes et de les intégrer sur la liste électorale provisoire, celui- ci à informer les différents partis politiques qui siègent dans la commission. Selon le conférencier, c’est le croissement des données fait par les structures techniques qui a permis de repêcher ses personnes. Il est donc aberrant selon le conférencier d’accuser le président de la CEI, d’acte de fraude puisque. « Aujourd’hui on ne peut pas se lever pour dire que Mambé est un fraudeur. C’est une escroquerie morale, le Chef de l’État et ses partisans veulent compromettre l’action de la CEI, parce que pour eux, la plupart des personnes qui y figurent ne sont pas de leur bord», a-t-il soutenu. Il a par la suite, tenu à souligner que la création de la Commission électorale indépendante (CEI) obéissait à un souci d’indépendance, alors, le président du MODEVRE dit ne pas comprendre l’immixtion du camp présidentiel dans les décisions de cette structure indépendante. « La CEI la résultante de la lutte que nous avons eu a mené en 1990. Le FPI et le RDR, qui constituaient le front républicain se sont battu pour avoir une commission électorale indépendante. Cette structure est indépendante comme son nom l’indique, par conséquent, nous ne pouvons pas accepter que le FPI veuille s’accaparer cette organe », a-t-il dénoncé. Il a par la même occasion apporter son soutien au président de cette commission, qui pour lui est victime d’une cabale. « Nous voulons dire à Mambé de rester serein, qu’il dorme tranquillement. Ceux qui essaient de saboter son action nous trouverons sur leur chemin. Certains sont devenus riches à cause de la guerre et ils veulent maintenir le peuple dans cette misère, mais nous ne sommes déterminés à faire barrage à cette aventure », a-t-il pesté.
A sa suite, Kpadé Évariste du mouvement de la Conscience ivoirienne pour l’Avenir (CIA) s’est érigé contre les manœuvres dilatoires du camp présidentiel, pour retarder de manière insidieuse la tenue des élections.. Le premier responsable de cette structure en veut pour preuve, les actions perpétrées par les jeunes patriotes, visant à saboter les opérations d’audiences foraines, et de l’indentification. Le vol des valises de Sagem, et les difficultés liées au changement du mode opératoire. Il a aussi dénoncé le vol des valises de la Sage, et aussi les nombreuses grèves suscitées par le pouvoir en place pour retarder l’opération d’enrôlement. « Après les arrestations et les menaces, le FPI veut aujourd’hui discrédité la CEI et son président. Cette action orchestrée par le parti au pouvoir vise à mettre la CEI sous sa coupole », s’est-il indigné.
Le secrétaire du Congrès des anciens de la Fesci dignes, Dogni Richard n’est pas aussi allé de main morte pour fustiger l’attitude des tenants du pouvoir. Il a cependant dénoncé le manque d’initiative de l’opposition qui, selon lui n’apporte pas de réplique suffisante au parti au pouvoir. « La Côte d’Ivoire est orpheline, l’opposition est inexistante, on ne peut pas accepter ce qui ce se passe aujourd’hui, la CEI est aujourd’hui victime d’volée de bois vert de la part du parti au pouvoir et l’opposition ne dit rien », a-t-il déploré..
La présidente de l’ONG AFAMAH (Association Féminine d’Aide Mutuelle et d’Action Humanitaire) s’est quant elle appesanti sur la situation sociale que traverse le pays. Pour elle, il est impérieux d’aller aux élections, car la précarité économique et la paupérisation galopante sont un frein à l’épanouissement des Ivoiriens. « En tant que association qui œuvre dans l’action humanitaire, nous avons constaté une pauvreté grandissante, il ya plus de 4 millions de chômeurs et se nourrir convenablement est devenu un luxe pour les Ivoiriens. Pour toutes ces raisons, il est nécessaire qu’on aille aux élections », a-t-elle invité.
Service de Communication de la Direction de Campagne Abidjan-sud