Le Rassemblement de la jeunesse pour la démocratie et la paix (Rjdp) a annoncé, hier, qu’il marchera le 26 janvier prochain sur la maison de la Télévision à Cocody et y observera un sit-in. L’annonce a été faite par le président en exercice des jeunes du Pdci-Rda, du Rdr, de l’Udpci et du Mfa, Karamoko Yayoro (par ailleurs président du Rjr), au cours d’une assemblée générale extraordinaire à la Maison du Pdci-Rda à Cocody.
Le chef du Rjdp a ainsi appelé les jeunes des partis houphouétistes à la mobilisation et à la détermination. «Il ne s’agira pas d’un essai. On n’a pas le droit de rater. Tuez en vous la peur et venez marcher. On ne peut plus accepter la menace de qui que ce soit», a-t-il lancé. Car, a expliqué pour sa part le président de la Jpdci, Kouadio Konan Bertin (KKB), «Il s’agit de libérer la Rti pour de bon». Pour lui, «l’heure du combat a sonné.
Parce qu’on veut empêcher les élections. Plus aucun boulanger, quelle que soit son expertise, ne peut diviser le Rhdp». Le président de la Jpdci a appelé les jeunes houphouétistes à «chasser de la rue ceux qui s’y sont abonnés». Karamoko Yayoro a poursuivi qu’en attendant ce rendez-vous, le Rjdp organise des meetings éclatés dans les communes du district d’Abidjan aujourd’hui samedi et demain dimanche. D’autres meetings se feront également dans certaines villes de l’intérieur du pays, a-t-il dit. Puis le jeudi 14 janvier, le siège du Pdci à Cocody accueillera une réunion de synthèse. Tandis que les 18 et 19 janvier, des rencontres se feront respectivement avec la société civile de la jeunesse houphouétiste et les élèves et étudiants, toujours au siège du Pdci.
Face à de nombreux jeunes, la direction du Rjdp a dénoncé la partialité de la Télévision ivoirienne dans le débat politique, sa «caporalisation par le Fpi». De même, les jeunes houphouétistes ont condamné «l’utilisation abusive des Forces de défense et de sécurité et du Cecos par le Fpi». En outre, ils ont dénoncé la volonté du Fpi de «déstabiliser» la Commission électorale indépendante (Cei), «au motif que Beugré Mambé a manipulé la liste électorale».
Karamoko Yayoro, KKB, Yao Kouadio Séraphin (Judpci) et Sadié Arsène (Jmfa) ont demandé des audiences au Représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu en Côte d’Ivoire, à celui du facilitateur, le Cnca et la division des droits de l’homme de l’Onuci. Non sans exiger l’accès équitable de tous les partis politiques à la Télévision.
P. Soro
Le chef du Rjdp a ainsi appelé les jeunes des partis houphouétistes à la mobilisation et à la détermination. «Il ne s’agira pas d’un essai. On n’a pas le droit de rater. Tuez en vous la peur et venez marcher. On ne peut plus accepter la menace de qui que ce soit», a-t-il lancé. Car, a expliqué pour sa part le président de la Jpdci, Kouadio Konan Bertin (KKB), «Il s’agit de libérer la Rti pour de bon». Pour lui, «l’heure du combat a sonné.
Parce qu’on veut empêcher les élections. Plus aucun boulanger, quelle que soit son expertise, ne peut diviser le Rhdp». Le président de la Jpdci a appelé les jeunes houphouétistes à «chasser de la rue ceux qui s’y sont abonnés». Karamoko Yayoro a poursuivi qu’en attendant ce rendez-vous, le Rjdp organise des meetings éclatés dans les communes du district d’Abidjan aujourd’hui samedi et demain dimanche. D’autres meetings se feront également dans certaines villes de l’intérieur du pays, a-t-il dit. Puis le jeudi 14 janvier, le siège du Pdci à Cocody accueillera une réunion de synthèse. Tandis que les 18 et 19 janvier, des rencontres se feront respectivement avec la société civile de la jeunesse houphouétiste et les élèves et étudiants, toujours au siège du Pdci.
Face à de nombreux jeunes, la direction du Rjdp a dénoncé la partialité de la Télévision ivoirienne dans le débat politique, sa «caporalisation par le Fpi». De même, les jeunes houphouétistes ont condamné «l’utilisation abusive des Forces de défense et de sécurité et du Cecos par le Fpi». En outre, ils ont dénoncé la volonté du Fpi de «déstabiliser» la Commission électorale indépendante (Cei), «au motif que Beugré Mambé a manipulé la liste électorale».
Karamoko Yayoro, KKB, Yao Kouadio Séraphin (Judpci) et Sadié Arsène (Jmfa) ont demandé des audiences au Représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu en Côte d’Ivoire, à celui du facilitateur, le Cnca et la division des droits de l’homme de l’Onuci. Non sans exiger l’accès équitable de tous les partis politiques à la Télévision.
P. Soro