Les Enseignants de La majorité présidentielle, Elmp, ont procédé, récemment, au siège du Congrès national de la résistance pour la démocratie, Cnrd, à la sortie officielle de leur structure. Occasion pour Mathias Kessié, président de Elmp, de dérouler le tableau des activités du mouvement qu'il dirige.
"Les Enseignants, a-t-il indiqué, ont été appelés par Gervais Coulibaly, directeur national adjoint chargé de la société, pour ratisser large au sein du corps enseignant dans les partis politiques". Créé le 1er décembre 2009, le mouvement des Enseignants de La majorité présidentielle s'est fixé des objectifs. Entre autres, la réélection du candidat Laurent Gbagbo dès le 1er tour. Pour y parvenir, Elmp s'est aussi donné une mission d'offrir au Président Gbagbo une majorité parlementaire pour lui permettre d'appliquer son programme de gouvernement. Selon son président Mathias Kessié, Elmp dispose des moyens pour mettre en exécution ses objectifs. Des conférences publiques, des tournées dans les différentes directions départementales de campagne pour des stratégies communes, des séminaires de formation, des campagnes de sensibilisation et de mobilisation et représenter et défendre les intérêts du candidat dans tous les bureaux de vote. Il est également prévu l'installation des représentations locales d'Elmp à travers tout le pays. Les Enseignants de La majorité présidentielle, par la voix de son premier responsable, s'est prononcé sur l'affaire des 429 mille personnes inscrites frauduleusement par Beugré Mambé sur la liste électorale. Pour Mathias Kessié, tout en encourageant les mesures prises par le premier ministre à ce sujet, il demande à Guillaume Soro, maître d'ouvrage du processus électoral en Côte d'Ivoire, d'aller plus loin en traduisant le président fraudeur devant les juridictions compétentes pour que l'impénitent président réponde de ses actes. Il interpelle aussi les représentants du secrétaire général des Nations unies et du facilitateur dans la crise ivoirienne, devant qui Beugré Mambé a reconnu les faits, de prendre leur responsabilité. La crédibilité du processus en dépend. Toutefois, l'Elmp demande la dissolution de la Cei dans sa composition actuelle et intégrer certains dignitaires religieux au sein de la nouvelle Cei. " Mambé, a-t-il indiqué, n'est plus digne de confiance". Le président des Enseignants de La majorité présidentielle pour la victoire de Gbagbo a présenté officiellement la composition de son bureau.
Zéré de Mahi
"Les Enseignants, a-t-il indiqué, ont été appelés par Gervais Coulibaly, directeur national adjoint chargé de la société, pour ratisser large au sein du corps enseignant dans les partis politiques". Créé le 1er décembre 2009, le mouvement des Enseignants de La majorité présidentielle s'est fixé des objectifs. Entre autres, la réélection du candidat Laurent Gbagbo dès le 1er tour. Pour y parvenir, Elmp s'est aussi donné une mission d'offrir au Président Gbagbo une majorité parlementaire pour lui permettre d'appliquer son programme de gouvernement. Selon son président Mathias Kessié, Elmp dispose des moyens pour mettre en exécution ses objectifs. Des conférences publiques, des tournées dans les différentes directions départementales de campagne pour des stratégies communes, des séminaires de formation, des campagnes de sensibilisation et de mobilisation et représenter et défendre les intérêts du candidat dans tous les bureaux de vote. Il est également prévu l'installation des représentations locales d'Elmp à travers tout le pays. Les Enseignants de La majorité présidentielle, par la voix de son premier responsable, s'est prononcé sur l'affaire des 429 mille personnes inscrites frauduleusement par Beugré Mambé sur la liste électorale. Pour Mathias Kessié, tout en encourageant les mesures prises par le premier ministre à ce sujet, il demande à Guillaume Soro, maître d'ouvrage du processus électoral en Côte d'Ivoire, d'aller plus loin en traduisant le président fraudeur devant les juridictions compétentes pour que l'impénitent président réponde de ses actes. Il interpelle aussi les représentants du secrétaire général des Nations unies et du facilitateur dans la crise ivoirienne, devant qui Beugré Mambé a reconnu les faits, de prendre leur responsabilité. La crédibilité du processus en dépend. Toutefois, l'Elmp demande la dissolution de la Cei dans sa composition actuelle et intégrer certains dignitaires religieux au sein de la nouvelle Cei. " Mambé, a-t-il indiqué, n'est plus digne de confiance". Le président des Enseignants de La majorité présidentielle pour la victoire de Gbagbo a présenté officiellement la composition de son bureau.
Zéré de Mahi
