la salle de délibération de l'hôtel de ville de la capitale politique en vue de réagir aux actualités brûlantes de l'heure à savoir la démission réclamée de Mambé Beugré par une certaine classe politique et surtout la violence subie par le Président de la Jeunesse du plus vieux parti ivoirien lors de la marche organisée pour la libération de la Rti de l'emprise du pouvoir. Au sortir de ce conclave qui a réuni plus de 50 secrétaires de section ainsi que des membres du bureau de ladite coordination de la JPdci et du permanant Kouadio Paul, des résolutions fermes ont été arrêtées dont celle d'interdire toute activité politique Fpi à Yamoussoukro. L'intégralité de la déclaration.
Suite à la réunion de crise tenue par la coordination JPdci de Yamoussoukro, au sujet de l'accusation sans fondement de Mambé Beugré et de la bastonnade de notre leader, le président KKB, la Coordination JPdci de Yamoussoukro déclare ceci :
1-Nous condamnons l'accusation sans fondement faite par Laurent Gbagbo au Président Mambé Beugré et mettons en garde contre toute tentative de déstabilisation du président Mambé à la tête de la CEI.
Soutenons tout le travail abattu par le Président Mambé.
2- Demandons à Gbagbo de juger d'abord les coupables des déchets toxiques ainsi que les responsables des détournements dans la filière café-cacao qu'il a emprisonnés avant de s'en prendre à l'honnête et sérieux ivoirien Beugré Mambé, démocratiquement élu à la tête de cette institution qu'est la Cei. Car Mambé démis, plus de Gbagbo à la tête de la Côte d'Ivoire.
3- Nous condamnons le fait qu'en Côte d'Ivoire, il y a les uns qui marchent et sont encadrés et que les autres marchent et sont tués. C'est le symbole de la négation de la démocratie prônée par le Fpi. C'est pourquoi, face à cette barbarie des temps anciens subie par le Président national de la jeunesse du parti démocratique de Côte d'Ivoire (JPdci), Kouadio Konan Bertin dit KKB, nous, jeunes de la JPdci de Yamoussoukro, condamnons cette énième violence du camp présidentiel et apportons notre soutien au Président KKB ainsi qu'à tous ces jeunes qui ont subi les agissements moyenâgeux de cette armée instrumentalisée.
4- Disons au Président KKB que la coordination de la Région des Lacs attend ses mots d'ordre pour libérer cette Côte d'Ivoire balafrée et endeuillée.
5- Comme la jeunesse Pdci n'a pas droit de rassemblement à Abidjan, nous interdisons toute activité politique Fpi à Yamoussoukro jusqu'à nouvel ordre.
6- Aussi face à la caporalisation des médias d'Etat, nous demandons la suspension pure et simple des taxes de redevance reversées à la Télévision ivoirienne qui, en lieu et place de servir le peuple, le dessert.
7- Nous ne voulons plus de report des élections en Côte d'Ivoire car ce pays n'est pas la propriété privée de qui que ce soit encore moins du camp présidentiel.
De tout ce qui précède, la coordination JPdci de Yamoussoukro lance un appel à l'union sacrée entre les jeunesses du Pdci et des partis frères du Rhdp afin de libérer la Côte d'Ivoire de Nanan Félix Houphouët-Boigny.
Fait à Yamoussoukro Le 16 janvier 2010
Le Commissaire régional et coordonnateur de la JPdci
Ahui Ben
Suite à la réunion de crise tenue par la coordination JPdci de Yamoussoukro, au sujet de l'accusation sans fondement de Mambé Beugré et de la bastonnade de notre leader, le président KKB, la Coordination JPdci de Yamoussoukro déclare ceci :
1-Nous condamnons l'accusation sans fondement faite par Laurent Gbagbo au Président Mambé Beugré et mettons en garde contre toute tentative de déstabilisation du président Mambé à la tête de la CEI.
Soutenons tout le travail abattu par le Président Mambé.
2- Demandons à Gbagbo de juger d'abord les coupables des déchets toxiques ainsi que les responsables des détournements dans la filière café-cacao qu'il a emprisonnés avant de s'en prendre à l'honnête et sérieux ivoirien Beugré Mambé, démocratiquement élu à la tête de cette institution qu'est la Cei. Car Mambé démis, plus de Gbagbo à la tête de la Côte d'Ivoire.
3- Nous condamnons le fait qu'en Côte d'Ivoire, il y a les uns qui marchent et sont encadrés et que les autres marchent et sont tués. C'est le symbole de la négation de la démocratie prônée par le Fpi. C'est pourquoi, face à cette barbarie des temps anciens subie par le Président national de la jeunesse du parti démocratique de Côte d'Ivoire (JPdci), Kouadio Konan Bertin dit KKB, nous, jeunes de la JPdci de Yamoussoukro, condamnons cette énième violence du camp présidentiel et apportons notre soutien au Président KKB ainsi qu'à tous ces jeunes qui ont subi les agissements moyenâgeux de cette armée instrumentalisée.
4- Disons au Président KKB que la coordination de la Région des Lacs attend ses mots d'ordre pour libérer cette Côte d'Ivoire balafrée et endeuillée.
5- Comme la jeunesse Pdci n'a pas droit de rassemblement à Abidjan, nous interdisons toute activité politique Fpi à Yamoussoukro jusqu'à nouvel ordre.
6- Aussi face à la caporalisation des médias d'Etat, nous demandons la suspension pure et simple des taxes de redevance reversées à la Télévision ivoirienne qui, en lieu et place de servir le peuple, le dessert.
7- Nous ne voulons plus de report des élections en Côte d'Ivoire car ce pays n'est pas la propriété privée de qui que ce soit encore moins du camp présidentiel.
De tout ce qui précède, la coordination JPdci de Yamoussoukro lance un appel à l'union sacrée entre les jeunesses du Pdci et des partis frères du Rhdp afin de libérer la Côte d'Ivoire de Nanan Félix Houphouët-Boigny.
Fait à Yamoussoukro Le 16 janvier 2010
Le Commissaire régional et coordonnateur de la JPdci
Ahui Ben
