Pas une seule Rédaction qui ne soit sous le choc, de cette terrible nouvelle qui est tombée hier comme un coup de massue. Elle a d’abord envahit toute la Côte d’Ivoire sous forme de rumeur.
Elle s’est tout de suite confirmée, plongeant des populations entières dans le désarroi. La stupeur a atteint ensuite son paroxysme, lorsqu’au bout du fil, l’on a affaire qu’à des gens sanglotant. Au sens vrai du terme, le décès de Criwa Zéli a créé l’émoi dans le monde ivoirien de la presse. La série noire continue donc pour cette corporation qui, depuis quelques années, vit un sort macabre. Pas besoin de les citer, pour ne pas blesser davantage les amis, confrères, parents à connaissances. Plus besoin d’en parler, pour ne pas effondrer d’avantage compagnes et enfants, au deuil éternel. A la douleur toujours ravivée et aux sanglots incessants. On peut juste s’y référer, afin de se convaincre d’avantage de cette incontournable réalité : quelque soit la durée et l’intensité d’une vie, elle s’achève toujours par la mort. Ce qui est arrivé à Criwa n’est donc qu’un signe parmi des milliards d’autres émanant du Seigneur de l’univers auprès desquels, nous passons sans nous en rendre compte. Il suffit que nous soyions pétris de savoir, dotés de pouvoirs et pourvus d’avoirs, pour nous considérer comme étant hors de toute portée, et pourtant. Tout ceci n’est qu’un dépôt du meilleur des pourvoyeurs, au bon vouloir de qui sont suspendues toutes nos vies. « S’il veut, il vous efface et fait ressurgir une génération meilleure que vous », à même affirmé celui-ci dans le livre, où il a surtout mentionné que ‘’chaque âme goûtera la mort’’. Nous sommes donc tous des Criwa en puissance. C'est-à-dire des créatures pour qui, tout peut s’arrêter à tout moment. Par accident d’avion, de voitures ou de vélo. Par arrêt cardiaque, par suffocation ou par angine. Le bémol à la vie peut aussi arriver de la façon la plus naturelle, lors du repas ou de la tranquille sieste de midi à 14h. En voyage de noce comme en pick, mick, lors des vacances annuelle à l’autre bout du monde ou en randonnée de compagne.
Sur un lit d’hôpital ou dans une chambre d’Hôtel, sans même parler de sa propre chambre familiale. Le plus terrifiant étant que personne ne sait l’heure choisie par le meilleure des créateurs qui de toute part, administre tout. Un signe parmi tant d’autre qui, au lieu de nous terrifier à vie, doit nous interpeller. Question de nous ramener à notre plus simple expression, les pieds sur terre et la terre sur les épaules. Afin que pour rien au monde, nous ne soyons des présomptueux pleins de glorioles. Pour qui la recherche absolue des honneurs est ce qu’il y a d’essentiel dans la vie. Ces temps de tristesse sont aussi pour le monde de la presse, un moment de constant examen de conscience menant à la plus grande des interrogations : ai-je fais sur terre ce qu’il faut pour un au-delà meilleur ?
Elle s’est tout de suite confirmée, plongeant des populations entières dans le désarroi. La stupeur a atteint ensuite son paroxysme, lorsqu’au bout du fil, l’on a affaire qu’à des gens sanglotant. Au sens vrai du terme, le décès de Criwa Zéli a créé l’émoi dans le monde ivoirien de la presse. La série noire continue donc pour cette corporation qui, depuis quelques années, vit un sort macabre. Pas besoin de les citer, pour ne pas blesser davantage les amis, confrères, parents à connaissances. Plus besoin d’en parler, pour ne pas effondrer d’avantage compagnes et enfants, au deuil éternel. A la douleur toujours ravivée et aux sanglots incessants. On peut juste s’y référer, afin de se convaincre d’avantage de cette incontournable réalité : quelque soit la durée et l’intensité d’une vie, elle s’achève toujours par la mort. Ce qui est arrivé à Criwa n’est donc qu’un signe parmi des milliards d’autres émanant du Seigneur de l’univers auprès desquels, nous passons sans nous en rendre compte. Il suffit que nous soyions pétris de savoir, dotés de pouvoirs et pourvus d’avoirs, pour nous considérer comme étant hors de toute portée, et pourtant. Tout ceci n’est qu’un dépôt du meilleur des pourvoyeurs, au bon vouloir de qui sont suspendues toutes nos vies. « S’il veut, il vous efface et fait ressurgir une génération meilleure que vous », à même affirmé celui-ci dans le livre, où il a surtout mentionné que ‘’chaque âme goûtera la mort’’. Nous sommes donc tous des Criwa en puissance. C'est-à-dire des créatures pour qui, tout peut s’arrêter à tout moment. Par accident d’avion, de voitures ou de vélo. Par arrêt cardiaque, par suffocation ou par angine. Le bémol à la vie peut aussi arriver de la façon la plus naturelle, lors du repas ou de la tranquille sieste de midi à 14h. En voyage de noce comme en pick, mick, lors des vacances annuelle à l’autre bout du monde ou en randonnée de compagne.
Sur un lit d’hôpital ou dans une chambre d’Hôtel, sans même parler de sa propre chambre familiale. Le plus terrifiant étant que personne ne sait l’heure choisie par le meilleure des créateurs qui de toute part, administre tout. Un signe parmi tant d’autre qui, au lieu de nous terrifier à vie, doit nous interpeller. Question de nous ramener à notre plus simple expression, les pieds sur terre et la terre sur les épaules. Afin que pour rien au monde, nous ne soyons des présomptueux pleins de glorioles. Pour qui la recherche absolue des honneurs est ce qu’il y a d’essentiel dans la vie. Ces temps de tristesse sont aussi pour le monde de la presse, un moment de constant examen de conscience menant à la plus grande des interrogations : ai-je fais sur terre ce qu’il faut pour un au-delà meilleur ?