Ce mercredi 03 février 2010, les Femmes Républicaines se sont réunies en assemblée générale au siège du RDR, à Cocody rue Lepic.
Après avoir analysé la situation sociopolitique de la Côte d'Ivoire, et entendu Monsieur SANOGO Mamadou, Directeur Central de Campagne Chargé des élections sur la gestion du contentieux électoral et l'affaire des 429030 personnes issues d'un croisement interne de la Commission Electorale Indépendante, les Femmes Républicaines constatent une volonté manifeste du FPI de mettre à mal la cohésion sociale et la paix dans notre pays.
Relativement à l'affaire des 429030 personnes, une succession de déclarations et d'actions foulant aux pieds l'Esprit et la Lettre de l'Accord Politique de Ouagadougou sont entreprises par l'un des signataires de cet accord, en l'occurrence le FPI.
Les Femmes Républicaines relèvent, à travers ces actes, l'intention du camp présidentiel de saboter le Processus Electoral avec la demande de démission du Président de la CEI, Monsieur Beugré MAMBE et les procès de radiation intentés à une catégorie d'Ivoiriens dans certains tribunaux.
Etant entendu que la liste des 5.300.000 personnes a été validée par la CEI et l'ensemble des opérateurs techniques (SAGEM et INS) après croisement avec la liste électorale de 2000 et des fichiers historiques, les femmes républicaines exigent que le contentieux électoral ne concerne que la liste dite litigieuse de 1.033.000 personnes.
Les Femmes Républicaines dénoncent les vices de procédure observés dans la gestion du contentieux par le non respect du mode opératoire adopté de façon consensuelle et largement diffusé par la CEI et condamnent les simulacres de procès qui ne visent en réalité qu'à spolier d'honnêtes citoyens et citoyennes de leurs droits à la nationalité et au vote.
Les Femmes Républicaines appellent à la responsabilité, le FPI qui souffle depuis des décennies sur les braises de l'exclusion, du tribalisme et de la xénophobie en Côte d'Ivoire, ne tirant ainsi aucune leçon des causes de la guerre de 2002.
Les Femmes Républicaines condamnent les interpellations intempestives, les arrestations abusives et les procès iniques et injustes faits par des juges militants au mépris du droit.
Les Femmes Républicaines exigent l'arrêt immédiat de tout harcèlement et autres tentatives d'intimidation perpétrés par le FPI, ses juges et le clan présidentiel à l'encontre des citoyens ivoiriens.
Les Femmes Républicaines interpellent le Premier Ministre SEM Soro Kigbafori Guillaume, le Gouvernement, le Ministre de la Justice, le Président et les Membres de la CEI et demandent le respect scrupuleux du mode opératoire communiqué par la Cei!.
Les Femmes Républicaines exigent que les auteurs des dénonciations fantaisistes et sans preuves soient poursuivis devant les tribunaux conformément aux dispositions de la Cei.
Les Femmes Républicaines exigent l'arrêt du contentieux, la publication de la liste électorale définitive et la distribution des cartes d'électeur et des cartes nationales d'identité.
Les Femmes Républicaines demandent au Secrétaire Général de l'ONU à travers son représentant spécial, Monsieur CHoi, au Facilitateur, SEM Blaise Compaoré, à la Communauté Internationale, au Chef de l'Etat, SEM GBAGBO Laurent, au Premier Ministre, SEM Soro Kigbafori Guillaume et aux autres partis signataires de peser de tout leur poids pour préserver les acquis du processus de sortie de crise.
Les Femmes Républicaines exhortent tous les acteurs impliqués dans la résolution de la crise ivoirienne à tenir leurs engagements en respectant le chronogramme établi lors du dernier CPC le 03 décembre 2009 à Ouagadougou afin que les élections se tiennent en mars 2010.
Les Femmes Républicaines condamnent la volonté du FPI à maintenir les populations dans une situation de pauvreté, dans laquelle 48,9 % de femmes ne peuvent s'offrir qu'un seul repas par jour, n'ont pas accès aux soins de santé, à l'éducation, à l'eau, à l'électricité et n'ont aucune perspective par rapport à l'avenir de leurs enfants.
Les Femmes Républicaines, au nom de ces femmes et des femmes de Côte d'Ivoire, demandent au Président de la CEI, M. Beugré MAMBE, au Chef de l'Etat, SEM Laurent GBAGBO, au Premier Ministre, SEM Soro Kigbafori Guillaume de fixer la date du premier tour des élections présidentielles afin que la Côte d'Ivoire renoue avec la croissance et le développement pour le bonheur des Ivoiriens et des Ivoiriennes.
Les Femmes Républicaines demandent à l'ONU de prendre des sanctions à l'encontre de tous ceux qui constituent un frein à l'avancement du processus électoral et la paix en Côte d'Ivoire.
Les Femmes Républicaines demandent enfin à toutes les femmes de Côte d'Ivoire de rester mobilisées et à l'écoute des mots d'ordre pour faire barrage aux actions du FPI et de ses organisations satellites qui veulent prendre le peuple en otage.
Fait à Abidjan le 03 février 2010
Les Femmes Républicaines
Après avoir analysé la situation sociopolitique de la Côte d'Ivoire, et entendu Monsieur SANOGO Mamadou, Directeur Central de Campagne Chargé des élections sur la gestion du contentieux électoral et l'affaire des 429030 personnes issues d'un croisement interne de la Commission Electorale Indépendante, les Femmes Républicaines constatent une volonté manifeste du FPI de mettre à mal la cohésion sociale et la paix dans notre pays.
Relativement à l'affaire des 429030 personnes, une succession de déclarations et d'actions foulant aux pieds l'Esprit et la Lettre de l'Accord Politique de Ouagadougou sont entreprises par l'un des signataires de cet accord, en l'occurrence le FPI.
Les Femmes Républicaines relèvent, à travers ces actes, l'intention du camp présidentiel de saboter le Processus Electoral avec la demande de démission du Président de la CEI, Monsieur Beugré MAMBE et les procès de radiation intentés à une catégorie d'Ivoiriens dans certains tribunaux.
Etant entendu que la liste des 5.300.000 personnes a été validée par la CEI et l'ensemble des opérateurs techniques (SAGEM et INS) après croisement avec la liste électorale de 2000 et des fichiers historiques, les femmes républicaines exigent que le contentieux électoral ne concerne que la liste dite litigieuse de 1.033.000 personnes.
Les Femmes Républicaines dénoncent les vices de procédure observés dans la gestion du contentieux par le non respect du mode opératoire adopté de façon consensuelle et largement diffusé par la CEI et condamnent les simulacres de procès qui ne visent en réalité qu'à spolier d'honnêtes citoyens et citoyennes de leurs droits à la nationalité et au vote.
Les Femmes Républicaines appellent à la responsabilité, le FPI qui souffle depuis des décennies sur les braises de l'exclusion, du tribalisme et de la xénophobie en Côte d'Ivoire, ne tirant ainsi aucune leçon des causes de la guerre de 2002.
Les Femmes Républicaines condamnent les interpellations intempestives, les arrestations abusives et les procès iniques et injustes faits par des juges militants au mépris du droit.
Les Femmes Républicaines exigent l'arrêt immédiat de tout harcèlement et autres tentatives d'intimidation perpétrés par le FPI, ses juges et le clan présidentiel à l'encontre des citoyens ivoiriens.
Les Femmes Républicaines interpellent le Premier Ministre SEM Soro Kigbafori Guillaume, le Gouvernement, le Ministre de la Justice, le Président et les Membres de la CEI et demandent le respect scrupuleux du mode opératoire communiqué par la Cei!.
Les Femmes Républicaines exigent que les auteurs des dénonciations fantaisistes et sans preuves soient poursuivis devant les tribunaux conformément aux dispositions de la Cei.
Les Femmes Républicaines exigent l'arrêt du contentieux, la publication de la liste électorale définitive et la distribution des cartes d'électeur et des cartes nationales d'identité.
Les Femmes Républicaines demandent au Secrétaire Général de l'ONU à travers son représentant spécial, Monsieur CHoi, au Facilitateur, SEM Blaise Compaoré, à la Communauté Internationale, au Chef de l'Etat, SEM GBAGBO Laurent, au Premier Ministre, SEM Soro Kigbafori Guillaume et aux autres partis signataires de peser de tout leur poids pour préserver les acquis du processus de sortie de crise.
Les Femmes Républicaines exhortent tous les acteurs impliqués dans la résolution de la crise ivoirienne à tenir leurs engagements en respectant le chronogramme établi lors du dernier CPC le 03 décembre 2009 à Ouagadougou afin que les élections se tiennent en mars 2010.
Les Femmes Républicaines condamnent la volonté du FPI à maintenir les populations dans une situation de pauvreté, dans laquelle 48,9 % de femmes ne peuvent s'offrir qu'un seul repas par jour, n'ont pas accès aux soins de santé, à l'éducation, à l'eau, à l'électricité et n'ont aucune perspective par rapport à l'avenir de leurs enfants.
Les Femmes Républicaines, au nom de ces femmes et des femmes de Côte d'Ivoire, demandent au Président de la CEI, M. Beugré MAMBE, au Chef de l'Etat, SEM Laurent GBAGBO, au Premier Ministre, SEM Soro Kigbafori Guillaume de fixer la date du premier tour des élections présidentielles afin que la Côte d'Ivoire renoue avec la croissance et le développement pour le bonheur des Ivoiriens et des Ivoiriennes.
Les Femmes Républicaines demandent à l'ONU de prendre des sanctions à l'encontre de tous ceux qui constituent un frein à l'avancement du processus électoral et la paix en Côte d'Ivoire.
Les Femmes Républicaines demandent enfin à toutes les femmes de Côte d'Ivoire de rester mobilisées et à l'écoute des mots d'ordre pour faire barrage aux actions du FPI et de ses organisations satellites qui veulent prendre le peuple en otage.
Fait à Abidjan le 03 février 2010
Les Femmes Républicaines