Les Forces nouvelles se sont encore retrouvées, hier, à Bouaké, dans le cadre d'un conclave.
C'est, en effet, la deuxième fois consécutive en moins de deux semaines que les ex-rebelles se retrouvent pour discuter de leur avenir. Seul le cadre et les questions à aborder ont changé. Les acteurs sont restés quasiment les mêmes. De la salle de conférence de la cellule de communication du secrétariat général des Forces nouvelles, l'on s'est déplacé dans les calmes et paisibles jardins de l'''Hôtel mon Afrique'' sis au quartier Kennedy. La raison est bien simple. Avec le délestage, les organisateurs préfèrent se mettre à l'abri de toute coupure. Le président de la cérémonie, le ministre Koné Mamadou a bien voulu donner des précisions sur ce fait. Car cet espace qui sert de cadre à la rencontre, est équipé d'un groupe électrogène. On note la présence de nombreux cadres civils, administratifs, politiques et surtout militaires des Forces nouvelles. Les ex-rebelles sont là pour échanger sur les questions militaires, un pan essentiel de l'accord politique de Ouaga signé le 4 mars 2007. Et ce, dans le prolongement du conclave de la semaine dernière. De fait, il faut le dire, la semaine écoulée dans cette même cité, les hommes du secrétaire général Guillaume Soro, venaient de se prononcer sur le processus de sortie de crise enrhumé par l'affaire des 429.000 enrôlés fictifs de Robert Beugré Mambé. Et à cette rencontre, dira le ministre de la justice « la semaine dernière déjà les questions militaires étaient inscrites à l'ordre du jour. Mais lorsque cette question a été abordée les premiers échanges ont permis de constater que c'était un problème qui méritait d'être isolé pour être traité à part, pour être traité de la manière la plus sérieuse et la plus profonde compte tenu de son importance. ». Question de démontrer l'importance du conclave en cours. Comme la dernière fois, c'est encore le ministre de la justice et des droits de l'Homme, Koné Mamadou qui préside les travaux. Il est venu avec le ministre du tourisme et de l'artisanat, porte-parole des Forces nouvelles Konaté Sidiki, du ministre Dosso Moussa de l'Artisanat. Mais il va céder la présidence des travaux à son collègue le ministre Konaté spécialisé dans les questions militaires pour avoir pris part à tous les accords de paix. Le général Soumaïla Bakayoko chef d'état-major des Fafn est présent, en compagnie du général Michel Gueu, conseiller militaire du Premier ministre. Avec eux la quasi-totalité des commandants de zone, des cadres des grands commandements. Ceux qui n'ont pu faire le déplacement, d'ailleurs très peu, comme les commandants Touré Hervé Pelikan de Katiola et Fofana Losseni de Man sont représentés par leurs adjoints. La rencontre est capitale. Le ministre Konaté, dans son propos liminaire informe l'assistance qu'il y a, au total, 12 points à examiner. Le premier point est relatif aux informations générales. Ce volet a été consacré essentiellement aux informations générales sur la sortie de crise vu sous l'angle strictement militaire. Le 2ème point privilégie la lecture et à l'analyse du 23ème rapport du Conseil de sécurité de l'assemblée générale de l'organisation des Nations Unies (Onu) en ce qui concerne le plan sécuritaire. Quant au 3ème point de l'ordre du jour faisait référence à la question des grades. Le 4ème point est consacré à la reconstitution de la carrière des militaires des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn). Le 5ème point concerne les décrets restant à signer. Il y a un certain nombre de décrets, au nombre de 7, a bien voulu préciser le ministre de la justice et des droits de l'homme, qui ont été signés à l'époque par le Président de la République. Puis s'y est ajouté un huitième qui était un décret rectificatif. Toutefois, poursuivra le Garde des sceaux, il en reste d'autres sur lesquels va plancher le séminaire. La question des arriérés de solde et des pensions, et leur prise en charge est sur les calepins en sixième position de ce conclave militaire. Le 7ème point de l'ordre du jour fait référence aux réflexions à mener sur la fusion matérielle des deux armées. Le point suivant est consacré au DDR. Puis vient le démantèlement et le désarmement des milices. La sécurisation des élections par le Cci a également intéressé les hommes de Guillaume. Les 11e et 12e points concernent respectivement l'unicité des caisses de l'Etat et les divers points connexes à ces points.
Allah Kouamé à Bouaké
se sont encore retrouvées, hier, à Bouaké, dans le cadre d'un conclave.
C'est, en effet, la deuxième fois consécutive en moins de deux semaines que les ex-rebelles se retrouvent pour discuter de leur avenir. Seul le cadre et les questions à aborder ont changé. Les acteurs sont restés quasiment les mêmes. De la salle de conférence de la cellule de communication du secrétariat général des Forces nouvelles, l'on s'est déplacé dans les calmes et paisibles jardins de l'''Hôtel mon Afrique'' sis au quartier Kennedy. La raison est bien simple. Avec le délestage, les organisateurs préfèrent se mettre à l'abri de toute coupure. Le président de la cérémonie, le ministre Koné Mamadou a bien voulu donner des précisions sur ce fait. Car cet espace qui sert de cadre à la rencontre, est équipé d'un groupe électrogène. On note la présence de nombreux cadres civils, administratifs, politiques et surtout militaires des Forces nouvelles. Les ex-rebelles sont là pour échanger sur les questions militaires, un pan essentiel de l'accord politique de Ouaga signé le 4 mars 2007. Et ce, dans le prolongement du conclave de la semaine dernière. De fait, il faut le dire, la semaine écoulée dans cette même cité, les hommes du secrétaire général Guillaume Soro, venaient de se prononcer sur le processus de sortie de crise enrhumé par l'affaire des 429.000 enrôlés fictifs de Robert Beugré Mambé. Et à cette rencontre, dira le ministre de la justice « la semaine dernière déjà les questions militaires étaient inscrites à l'ordre du jour. Mais lorsque cette question a été abordée les premiers échanges ont permis de constater que c'était un problème qui méritait d'être isolé pour être traité à part, pour être traité de la manière la plus sérieuse et la plus profonde compte tenu de son importance. ». Question de démontrer l'importance du conclave en cours. Comme la dernière fois, c'est encore le ministre de la justice et des droits de l'Homme, Koné Mamadou qui préside les travaux. Il est venu avec le ministre du tourisme et de l'artisanat, porte-parole des Forces nouvelles Konaté Sidiki, du ministre Dosso Moussa de l'Artisanat. Mais il va céder la présidence des travaux à son collègue le ministre Konaté spécialisé dans les questions militaires pour avoir pris part à tous les accords de paix. Le général Soumaïla Bakayoko chef d'état-major des Fafn est présent, en compagnie du général Michel Gueu, conseiller militaire du Premier ministre. Avec eux la quasi-totalité des commandants de zone, des cadres des grands commandements. Ceux qui n'ont pu faire le déplacement, d'ailleurs très peu, comme les commandants Touré Hervé Pelikan de Katiola et Fofana Losseni de Man sont représentés par leurs adjoints. La rencontre est capitale. Le ministre Konaté, dans son propos liminaire informe l'assistance qu'il y a, au total, 12 points à examiner. Le premier point est relatif aux informations générales. Ce volet a été consacré essentiellement aux informations générales sur la sortie de crise vu sous l'angle strictement militaire. Le 2ème point privilégie la lecture et à l'analyse du 23ème rapport du Conseil de sécurité de l'assemblée générale de l'organisation des Nations Unies (Onu) en ce qui concerne le plan sécuritaire. Quant au 3ème point de l'ordre du jour faisait référence à la question des grades. Le 4ème point est consacré à la reconstitution de la carrière des militaires des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn). Le 5ème point concerne les décrets restant à signer. Il y a un certain nombre de décrets, au nombre de 7, a bien voulu préciser le ministre de la justice et des droits de l'homme, qui ont été signés à l'époque par le Président de la République. Puis s'y est ajouté un huitième qui était un décret rectificatif. Toutefois, poursuivra le Garde des sceaux, il en reste d'autres sur lesquels va plancher le séminaire. La question des arriérés de solde et des pensions, et leur prise en charge est sur les calepins en sixième position de ce conclave militaire. Le 7ème point de l'ordre du jour fait référence aux réflexions à mener sur la fusion matérielle des deux armées. Le point suivant est consacré au DDR. Puis vient le démantèlement et le désarmement des milices. La sécurisation des élections par le Cci a également intéressé les hommes de Guillaume. Les 11e et 12e points concernent respectivement l'unicité des caisses de l'Etat et les divers points connexes à ces points.
Allah Kouamé à Bouaké
C'est, en effet, la deuxième fois consécutive en moins de deux semaines que les ex-rebelles se retrouvent pour discuter de leur avenir. Seul le cadre et les questions à aborder ont changé. Les acteurs sont restés quasiment les mêmes. De la salle de conférence de la cellule de communication du secrétariat général des Forces nouvelles, l'on s'est déplacé dans les calmes et paisibles jardins de l'''Hôtel mon Afrique'' sis au quartier Kennedy. La raison est bien simple. Avec le délestage, les organisateurs préfèrent se mettre à l'abri de toute coupure. Le président de la cérémonie, le ministre Koné Mamadou a bien voulu donner des précisions sur ce fait. Car cet espace qui sert de cadre à la rencontre, est équipé d'un groupe électrogène. On note la présence de nombreux cadres civils, administratifs, politiques et surtout militaires des Forces nouvelles. Les ex-rebelles sont là pour échanger sur les questions militaires, un pan essentiel de l'accord politique de Ouaga signé le 4 mars 2007. Et ce, dans le prolongement du conclave de la semaine dernière. De fait, il faut le dire, la semaine écoulée dans cette même cité, les hommes du secrétaire général Guillaume Soro, venaient de se prononcer sur le processus de sortie de crise enrhumé par l'affaire des 429.000 enrôlés fictifs de Robert Beugré Mambé. Et à cette rencontre, dira le ministre de la justice « la semaine dernière déjà les questions militaires étaient inscrites à l'ordre du jour. Mais lorsque cette question a été abordée les premiers échanges ont permis de constater que c'était un problème qui méritait d'être isolé pour être traité à part, pour être traité de la manière la plus sérieuse et la plus profonde compte tenu de son importance. ». Question de démontrer l'importance du conclave en cours. Comme la dernière fois, c'est encore le ministre de la justice et des droits de l'Homme, Koné Mamadou qui préside les travaux. Il est venu avec le ministre du tourisme et de l'artisanat, porte-parole des Forces nouvelles Konaté Sidiki, du ministre Dosso Moussa de l'Artisanat. Mais il va céder la présidence des travaux à son collègue le ministre Konaté spécialisé dans les questions militaires pour avoir pris part à tous les accords de paix. Le général Soumaïla Bakayoko chef d'état-major des Fafn est présent, en compagnie du général Michel Gueu, conseiller militaire du Premier ministre. Avec eux la quasi-totalité des commandants de zone, des cadres des grands commandements. Ceux qui n'ont pu faire le déplacement, d'ailleurs très peu, comme les commandants Touré Hervé Pelikan de Katiola et Fofana Losseni de Man sont représentés par leurs adjoints. La rencontre est capitale. Le ministre Konaté, dans son propos liminaire informe l'assistance qu'il y a, au total, 12 points à examiner. Le premier point est relatif aux informations générales. Ce volet a été consacré essentiellement aux informations générales sur la sortie de crise vu sous l'angle strictement militaire. Le 2ème point privilégie la lecture et à l'analyse du 23ème rapport du Conseil de sécurité de l'assemblée générale de l'organisation des Nations Unies (Onu) en ce qui concerne le plan sécuritaire. Quant au 3ème point de l'ordre du jour faisait référence à la question des grades. Le 4ème point est consacré à la reconstitution de la carrière des militaires des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn). Le 5ème point concerne les décrets restant à signer. Il y a un certain nombre de décrets, au nombre de 7, a bien voulu préciser le ministre de la justice et des droits de l'homme, qui ont été signés à l'époque par le Président de la République. Puis s'y est ajouté un huitième qui était un décret rectificatif. Toutefois, poursuivra le Garde des sceaux, il en reste d'autres sur lesquels va plancher le séminaire. La question des arriérés de solde et des pensions, et leur prise en charge est sur les calepins en sixième position de ce conclave militaire. Le 7ème point de l'ordre du jour fait référence aux réflexions à mener sur la fusion matérielle des deux armées. Le point suivant est consacré au DDR. Puis vient le démantèlement et le désarmement des milices. La sécurisation des élections par le Cci a également intéressé les hommes de Guillaume. Les 11e et 12e points concernent respectivement l'unicité des caisses de l'Etat et les divers points connexes à ces points.
Allah Kouamé à Bouaké
se sont encore retrouvées, hier, à Bouaké, dans le cadre d'un conclave.
C'est, en effet, la deuxième fois consécutive en moins de deux semaines que les ex-rebelles se retrouvent pour discuter de leur avenir. Seul le cadre et les questions à aborder ont changé. Les acteurs sont restés quasiment les mêmes. De la salle de conférence de la cellule de communication du secrétariat général des Forces nouvelles, l'on s'est déplacé dans les calmes et paisibles jardins de l'''Hôtel mon Afrique'' sis au quartier Kennedy. La raison est bien simple. Avec le délestage, les organisateurs préfèrent se mettre à l'abri de toute coupure. Le président de la cérémonie, le ministre Koné Mamadou a bien voulu donner des précisions sur ce fait. Car cet espace qui sert de cadre à la rencontre, est équipé d'un groupe électrogène. On note la présence de nombreux cadres civils, administratifs, politiques et surtout militaires des Forces nouvelles. Les ex-rebelles sont là pour échanger sur les questions militaires, un pan essentiel de l'accord politique de Ouaga signé le 4 mars 2007. Et ce, dans le prolongement du conclave de la semaine dernière. De fait, il faut le dire, la semaine écoulée dans cette même cité, les hommes du secrétaire général Guillaume Soro, venaient de se prononcer sur le processus de sortie de crise enrhumé par l'affaire des 429.000 enrôlés fictifs de Robert Beugré Mambé. Et à cette rencontre, dira le ministre de la justice « la semaine dernière déjà les questions militaires étaient inscrites à l'ordre du jour. Mais lorsque cette question a été abordée les premiers échanges ont permis de constater que c'était un problème qui méritait d'être isolé pour être traité à part, pour être traité de la manière la plus sérieuse et la plus profonde compte tenu de son importance. ». Question de démontrer l'importance du conclave en cours. Comme la dernière fois, c'est encore le ministre de la justice et des droits de l'Homme, Koné Mamadou qui préside les travaux. Il est venu avec le ministre du tourisme et de l'artisanat, porte-parole des Forces nouvelles Konaté Sidiki, du ministre Dosso Moussa de l'Artisanat. Mais il va céder la présidence des travaux à son collègue le ministre Konaté spécialisé dans les questions militaires pour avoir pris part à tous les accords de paix. Le général Soumaïla Bakayoko chef d'état-major des Fafn est présent, en compagnie du général Michel Gueu, conseiller militaire du Premier ministre. Avec eux la quasi-totalité des commandants de zone, des cadres des grands commandements. Ceux qui n'ont pu faire le déplacement, d'ailleurs très peu, comme les commandants Touré Hervé Pelikan de Katiola et Fofana Losseni de Man sont représentés par leurs adjoints. La rencontre est capitale. Le ministre Konaté, dans son propos liminaire informe l'assistance qu'il y a, au total, 12 points à examiner. Le premier point est relatif aux informations générales. Ce volet a été consacré essentiellement aux informations générales sur la sortie de crise vu sous l'angle strictement militaire. Le 2ème point privilégie la lecture et à l'analyse du 23ème rapport du Conseil de sécurité de l'assemblée générale de l'organisation des Nations Unies (Onu) en ce qui concerne le plan sécuritaire. Quant au 3ème point de l'ordre du jour faisait référence à la question des grades. Le 4ème point est consacré à la reconstitution de la carrière des militaires des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn). Le 5ème point concerne les décrets restant à signer. Il y a un certain nombre de décrets, au nombre de 7, a bien voulu préciser le ministre de la justice et des droits de l'homme, qui ont été signés à l'époque par le Président de la République. Puis s'y est ajouté un huitième qui était un décret rectificatif. Toutefois, poursuivra le Garde des sceaux, il en reste d'autres sur lesquels va plancher le séminaire. La question des arriérés de solde et des pensions, et leur prise en charge est sur les calepins en sixième position de ce conclave militaire. Le 7ème point de l'ordre du jour fait référence aux réflexions à mener sur la fusion matérielle des deux armées. Le point suivant est consacré au DDR. Puis vient le démantèlement et le désarmement des milices. La sécurisation des élections par le Cci a également intéressé les hommes de Guillaume. Les 11e et 12e points concernent respectivement l'unicité des caisses de l'Etat et les divers points connexes à ces points.
Allah Kouamé à Bouaké