Me Roger Dakouri, président de l'Union nationale des greffiers de Côte d'Ivoire (UNAG-CI), avait du mal lundi à contenir sa colère lors de sa conférence de presse organisée au tribunal d'Abidjan-Plateau. Cette conférence au thème révélateur plantait un décor qui ne laissait personne indifférent : “L'injustifiable et intolérable agression physique des greffiers dans l'exercice de leurs fonctions à Katiola”. Cette conférence de presse qui avait tout l'air d'une rentrée syndicale, après la grève controversée de ce syndicat l'année dernière, a permis au bouillant président de l'Unagci de faire entendre encore la voix de sa corporation. Dans l'affaire des actes de vandalisme dont les juridictions de Man, Divo et Katiola ont été le théâtre. “En tout état de cause, au regard du caractère gravissime et intolérable de ces actes d'agression gratuite, actes de nature à contrarier la ferme résolution des greffiers à prendre toute leur place dans les actions de sortie de crise de leur pays, l'Unagci exige une communication lors du prochain conseil des ministres sur l'agression sauvage et sans cause des greffiers”. Le conférencier, entouré des membres de son bureau, exige également “la prise en charge sanitaire par l'Etat de Côte d'Ivoire des victimes de la barbarie de Katiola”. Ce n'est pas tout. L'Union nationale, qui prend l'opinion à témoin quant à cette barbarie, “décline toute responsabilité quant aux éventuels dysfonctionnements qu'induiraient les conséquences des actes de vandalisme perpétrés”.
Me Roger Dakouri, président de l'Union nationale des greffiers de Côte d'Ivoire (UNAG-CI), avait du mal lundi à contenir sa colère lors de sa conférence de presse organisée au tribunal d'Abidjan-Plateau. Cette conférence au thème révélateur plantait un décor qui ne laissait personne indifférent : “L'injustifiable et intolérable agression physique des greffiers dans l'exercice de leurs fonctions à Katiola”. Cette conférence de presse qui avait tout l'air d'une rentrée syndicale, après la grève controversée de ce syndicat l'année dernière, a permis au bouillant président de l'Unagci de faire entendre encore la voix de sa corporation. Dans l'affaire des actes de vandalisme dont les juridictions de Man, Divo et Katiola ont été le théâtre. “En tout état de cause, au regard du caractère gravissime et intolérable de ces actes d'agression gratuite, actes de nature à contrarier la ferme résolution des greffiers à prendre toute leur place dans les actions de sortie de crise de leur pays, l'Unagci exige une communication lors du prochain conseil des ministres sur l'agression sauvage et sans cause des greffiers”. Le conférencier, entouré des membres de son bureau, exige également “la prise en charge sanitaire par l'Etat de Côte d'Ivoire des victimes de la barbarie de Katiola”. Ce n'est pas tout. L'Union nationale, qui prend l'opinion à témoin quant à cette barbarie, “décline toute responsabilité quant aux éventuels dysfonctionnements qu'induiraient les conséquences des actes de vandalisme perpétrés”.
Félix Teha Dessrait
desrait@yahoo.fr
Me Roger Dakouri, président de l'Union nationale des greffiers de Côte d'Ivoire (UNAG-CI), avait du mal lundi à contenir sa colère lors de sa conférence de presse organisée au tribunal d'Abidjan-Plateau. Cette conférence au thème révélateur plantait un décor qui ne laissait personne indifférent : “L'injustifiable et intolérable agression physique des greffiers dans l'exercice de leurs fonctions à Katiola”. Cette conférence de presse qui avait tout l'air d'une rentrée syndicale, après la grève controversée de ce syndicat l'année dernière, a permis au bouillant président de l'Unagci de faire entendre encore la voix de sa corporation. Dans l'affaire des actes de vandalisme dont les juridictions de Man, Divo et Katiola ont été le théâtre. “En tout état de cause, au regard du caractère gravissime et intolérable de ces actes d'agression gratuite, actes de nature à contrarier la ferme résolution des greffiers à prendre toute leur place dans les actions de sortie de crise de leur pays, l'Unagci exige une communication lors du prochain conseil des ministres sur l'agression sauvage et sans cause des greffiers”. Le conférencier, entouré des membres de son bureau, exige également “la prise en charge sanitaire par l'Etat de Côte d'Ivoire des victimes de la barbarie de Katiola”. Ce n'est pas tout. L'Union nationale, qui prend l'opinion à témoin quant à cette barbarie, “décline toute responsabilité quant aux éventuels dysfonctionnements qu'induiraient les conséquences des actes de vandalisme perpétrés”.
Félix Teha Dessrait
desrait@yahoo.fr