«Nous avons pris les armes pour que ADO soit présidentiable, si l’article 35 change à midi, à 14h nous désarmons», ou alors, «nous avons pris les armes pour défendre la cause des nordistes, pour que tous les Ivoiriens aient des papiers». Telles sont les raisons incongrues avancées par les rebelles pour «mélanger la Côte d’Ivoire et la rendre ingouvernable». Tout ceci, obéissant bien sûr à la vision du grand-frère Ouattara, vision selon laquelle, c’est parce qu’il est «ressortissant du Nord et musulman qu’on ne lui permet pas d’être éligible dans ce pays». Voici présentés très brièvement les repères indélébiles de l’histoire récente de notre jeune nation ; des repères qui montrent clairement comment certains politiciens ont pris leurs démêlées personnelles avec la justice de leur (?) pays pour les mettre sur la tête d’une communauté choisie à dessein.
Huit années après avoir imposé donc ce «mélange» du pays aux Ivoiriens, les rebelles et leurs nombreuses ramifications, conscients qu’ils sont que leur combat a été un échec total, veulent encore relancer leur machine de massacre pour cette fois ci «rwandiser la Côte d’Ivoire». Ainsi, depuis quelques semaines, ce sont des appels incessants à la violence que nous entendons ici et là : Tandis que d’aucuns convient leurs militants «à s’opposer par tous les moyens aux décisions de la justice», d’autres dressent malicieusement leurs compatriotes les uns contre les autres. Pire, un soi disant Imam, ombre de lui-même qui a marqué son passage éphémère aux Etats-Unis par une division monstre de la communauté, va même jusqu'à se jeter dans la gadoue politique en empruntant de honteux raccourcis. Tout ceci pour favoriser les conditions d’un cafouillage généralisé qui permettra bien sûr aux rebelles de maintenir le kyste de Bouaké afin d’y continuer de s’enrichir davantage sur le dos des populations du Nord.
Nous, fils et filles du Nord résidant aux Etats-Unis, mettons Sidiki Konaté et ses adeptes de la chienlit en garde contre une autre mésaventure tendant à prendre encore nos pauvres parents en otage. Nous vous demandons de faire le bilan de ce que vous avez imposé à notre pays et de dire aux Ivoiriens ce que vous leur avez apporté de positif. Votre objectif était-il «d’ivoirienniser» tous les touristes, vacanciers et autres nomades qui vadrouillent dans les rues de nos villes sans que la justice de notre pays ait à dire son mot? Non ! Ce n’est pas ce que les Nordistes vous demandent, comme ils ne vous avaient jamais demandé de prendre des armes pour qu’ils aient des papiers. Pourquoi vous demanderaient-ils d’ailleurs de mener une guerre à Gbagbo après 2 ans de pouvoir pour des gens de plus de 20 ans qui n’ont aucun extrait d’acte de naissance ? Ceux qui ont retrouvé le verbe et la verve et qui s’égosillent aujourd’hui sous vos aisselles, jouant ainsi leur dernière partition avant leur entrée définitive dans cet inévitable anonymat qui les guette, sont pourtant ceux-là même qui avaient à charge l’établissement des papiers des Ivoiriens. Aujourd’hui, la malhonnêteté et la mauvaise foi aidant, ce sont eux qui utilisent toute sorte de distractions pour faire payer à quelqu’un d’autre le prix de leur gestion approximative, divisionniste et ségrégationniste de la population ivoirienne.
La Coalition des mouvements des Nordistes des Etats-Unis tient à rassurer tous ceux qui entendent diluer les Ivoiriens avec cette «méthode Ouattara» qui consiste à devenir électeur, éligible, présidentiable ou Ivoirien par les armes que ce procédé ne doit pas prospérer dans notre pays. Les Ivoiriens ne croiseront pas les bras pour qu’on vienne offrir leur pays à des aventuriers sur un plateau d’argent. Si c’est pour cette raison que Sidiki Konaté et ses maîtres tiennent à rwandiser la Côte d’Ivoire, qu’il sache que cette opération nous engloutira tous, lui en premier.
La Coalition des mouvements du Nord des USA demande instamment à l’Etat et à la justice ivoirienne de continuer son travail dans la sérénité. Vivre dans un pays ne fait pas automatiquement de vous citoyen de ce pays ; résidents dans ce pays de liberté et de démocratie par excellence, nous sommes bien placés pour le dire afin de tirer les oreilles à tous ceux qui ont besoin de la pagaille pour prospérer, que, encore une fois, c’est le respect des lois qui nous différencie des animaux. C’est ainsi dans tous les pays civilisés du globe.
Pour la Coalition des Mouvements du Nord aux Etats -Unis :
Le doyen Adama Konaté (Président CSLGB/USA)
Alpha Fadiga (Président TTLG/USA)
Amy Jolie (Présidente FNLG/USA)
Huit années après avoir imposé donc ce «mélange» du pays aux Ivoiriens, les rebelles et leurs nombreuses ramifications, conscients qu’ils sont que leur combat a été un échec total, veulent encore relancer leur machine de massacre pour cette fois ci «rwandiser la Côte d’Ivoire». Ainsi, depuis quelques semaines, ce sont des appels incessants à la violence que nous entendons ici et là : Tandis que d’aucuns convient leurs militants «à s’opposer par tous les moyens aux décisions de la justice», d’autres dressent malicieusement leurs compatriotes les uns contre les autres. Pire, un soi disant Imam, ombre de lui-même qui a marqué son passage éphémère aux Etats-Unis par une division monstre de la communauté, va même jusqu'à se jeter dans la gadoue politique en empruntant de honteux raccourcis. Tout ceci pour favoriser les conditions d’un cafouillage généralisé qui permettra bien sûr aux rebelles de maintenir le kyste de Bouaké afin d’y continuer de s’enrichir davantage sur le dos des populations du Nord.
Nous, fils et filles du Nord résidant aux Etats-Unis, mettons Sidiki Konaté et ses adeptes de la chienlit en garde contre une autre mésaventure tendant à prendre encore nos pauvres parents en otage. Nous vous demandons de faire le bilan de ce que vous avez imposé à notre pays et de dire aux Ivoiriens ce que vous leur avez apporté de positif. Votre objectif était-il «d’ivoirienniser» tous les touristes, vacanciers et autres nomades qui vadrouillent dans les rues de nos villes sans que la justice de notre pays ait à dire son mot? Non ! Ce n’est pas ce que les Nordistes vous demandent, comme ils ne vous avaient jamais demandé de prendre des armes pour qu’ils aient des papiers. Pourquoi vous demanderaient-ils d’ailleurs de mener une guerre à Gbagbo après 2 ans de pouvoir pour des gens de plus de 20 ans qui n’ont aucun extrait d’acte de naissance ? Ceux qui ont retrouvé le verbe et la verve et qui s’égosillent aujourd’hui sous vos aisselles, jouant ainsi leur dernière partition avant leur entrée définitive dans cet inévitable anonymat qui les guette, sont pourtant ceux-là même qui avaient à charge l’établissement des papiers des Ivoiriens. Aujourd’hui, la malhonnêteté et la mauvaise foi aidant, ce sont eux qui utilisent toute sorte de distractions pour faire payer à quelqu’un d’autre le prix de leur gestion approximative, divisionniste et ségrégationniste de la population ivoirienne.
La Coalition des mouvements des Nordistes des Etats-Unis tient à rassurer tous ceux qui entendent diluer les Ivoiriens avec cette «méthode Ouattara» qui consiste à devenir électeur, éligible, présidentiable ou Ivoirien par les armes que ce procédé ne doit pas prospérer dans notre pays. Les Ivoiriens ne croiseront pas les bras pour qu’on vienne offrir leur pays à des aventuriers sur un plateau d’argent. Si c’est pour cette raison que Sidiki Konaté et ses maîtres tiennent à rwandiser la Côte d’Ivoire, qu’il sache que cette opération nous engloutira tous, lui en premier.
La Coalition des mouvements du Nord des USA demande instamment à l’Etat et à la justice ivoirienne de continuer son travail dans la sérénité. Vivre dans un pays ne fait pas automatiquement de vous citoyen de ce pays ; résidents dans ce pays de liberté et de démocratie par excellence, nous sommes bien placés pour le dire afin de tirer les oreilles à tous ceux qui ont besoin de la pagaille pour prospérer, que, encore une fois, c’est le respect des lois qui nous différencie des animaux. C’est ainsi dans tous les pays civilisés du globe.
Pour la Coalition des Mouvements du Nord aux Etats -Unis :
Le doyen Adama Konaté (Président CSLGB/USA)
Alpha Fadiga (Président TTLG/USA)
Amy Jolie (Présidente FNLG/USA)