« L'édification de la paix ne devrait pas être engagée uniquement lorsque commence un combat ou une guerre ; mais plutôt, quand la société montre des signes d'inégalité, d'injustice. Les femmes devraient commencer par semer les graines de justice, d'égalité, de respect, de tolérance dans les esprits », dixit Diana Victoria. Inspirée par ce propos, l'Organisation des femmes d'Eburnie pour la paix (Ofep), a décidé de s'impliquer dans la certification du prochain scrutin présidentiel. Toutefois, sachant que « ne se lève qui le veut pour être observateur », l'Ofep a initié, récemment, au Conseil économique et social, un séminaire sur la certification. Sur le thème « Appui au renforcement de l'Etat de droit et de la démocratie ». « Ce n'est pas une formation de plus. Tout renforcement de capacités est bien venu. Tout dépend de la méthodologie adoptée », a soutenu Salimata Porquet, la présidente de l'organisation. Qui a rappelé le contenu du préambule de la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies pour évoquer l'intérêt pour les femmes d'œuvrer pour des élections bien organisées. « Plus il y a d'observateurs sur le terrain, mieux les élections se déroulent
d'initiative concourt à établir la stabilité dans le pays : « Parce que ce sont les élections mal organisées qui déstabilisent nos Etats ».
Bamba K Inza
d'initiative concourt à établir la stabilité dans le pays : « Parce que ce sont les élections mal organisées qui déstabilisent nos Etats ».
Bamba K Inza
