Un enseignant de Science de la vie et de la terre(Svt) a été mortellement atteint par balle dans la nuit de samedi à dimanche à Bouaflé, alors qu'il se trouvait en compagnie d'une jeune fille.
Les commentaires allaient bon train hier dimanche sur la mort de Kouamé Simplice, la trentaine révolue, enseignant depuis trois ans au collège moderne de Bouaflé. Pour certains, ce n'est autre qu'un règlement de compte. Selon des témoins, l'infortuné enseignant a été aperçu dans la nuit du samedi 13 mars aux alentours de 23 heures, sur la bretelle allant du pont de "Gropeni" à la gare "yowlè". Sur sa moto de marque Jakarta, il avait remorqué une jeune fille. Dans la pénombre jouxtant un cabaret de fortune, le couple est stoppé par un individu. S'en suivront de vives altercations, puis une détonation. L'enseignant hurle de toute sa force avant de s'écrouler. Il a pris une décharge de fusil à canon scié en plein abdomen, à bout portant. Son meurtrier prend la clé des champs. Sa compagne qui tentait elle aussi de se sauver est maîtrisée par des jeunes gens avant d'être mise à la disposition des autorités policières. Au centre hospitalier régional de la ville où Kouamé Simplice a été admis, il va subir deux interventions chirurgicales entre minuit et 5 heures du matin, avant de rendre l'âme une heure plus tard. Une source hospitalière nous a indiqué hier en milieu d'après-midi que les médecins ont dû lui amputer environ un mètre de son intestin grêle, grillé par les balles. La police qui a aussitôt ouvert une enquête est convaincue qu'elle n'aura pas fort à faire pour mettre le grappin sur l'assassin de l'enseignant, surtout qu'elle détient le principal témoin.
Inza D. Kader, à Bouaflé.
Les commentaires allaient bon train hier dimanche sur la mort de Kouamé Simplice, la trentaine révolue, enseignant depuis trois ans au collège moderne de Bouaflé. Pour certains, ce n'est autre qu'un règlement de compte. Selon des témoins, l'infortuné enseignant a été aperçu dans la nuit du samedi 13 mars aux alentours de 23 heures, sur la bretelle allant du pont de "Gropeni" à la gare "yowlè". Sur sa moto de marque Jakarta, il avait remorqué une jeune fille. Dans la pénombre jouxtant un cabaret de fortune, le couple est stoppé par un individu. S'en suivront de vives altercations, puis une détonation. L'enseignant hurle de toute sa force avant de s'écrouler. Il a pris une décharge de fusil à canon scié en plein abdomen, à bout portant. Son meurtrier prend la clé des champs. Sa compagne qui tentait elle aussi de se sauver est maîtrisée par des jeunes gens avant d'être mise à la disposition des autorités policières. Au centre hospitalier régional de la ville où Kouamé Simplice a été admis, il va subir deux interventions chirurgicales entre minuit et 5 heures du matin, avant de rendre l'âme une heure plus tard. Une source hospitalière nous a indiqué hier en milieu d'après-midi que les médecins ont dû lui amputer environ un mètre de son intestin grêle, grillé par les balles. La police qui a aussitôt ouvert une enquête est convaincue qu'elle n'aura pas fort à faire pour mettre le grappin sur l'assassin de l'enseignant, surtout qu'elle détient le principal témoin.
Inza D. Kader, à Bouaflé.
