Dans le cadre des missions initiées par le Front populaire ivoirien sur toute l'étendue du territoire national, le ministre Richard Kadio, membre du comité central du Fpi était samedi dernier, à Dabakala.
“Le nettoyage de la liste électorale est une question qui nous tient à cœur. Nous n'entendons pas nous laisser faire ". C'est le message essentiel que le ministre Richard Kadio a tenu devant les militants de La majorité présidentielle de Dabakala. Il soutient même que la majorité présidentielle n'entend pas aller aux élections comme un mouton qu'on conduit à l'abattoir. Tout sera mis en œuvre pour que ces élections se déroulent dans la transparence et l'équité. Par conséquent, il faut une liste propre. C'est-à-dire extirper tous ceux qui n'ont pas le droit d'y figurer. Et intégrer ceux qui ont droit. " Tant que nous n'avons pas désinfecté la liste électorale, nous n'irons pas aux élections. Nous n'irons pas aux élections à n'importe quel prix. Il faut que l'opposition et son soutien extérieur le sachent ". " La fraude est massive. Si nous acceptons la liste en l'état, c'est fini pour nous. Il y a trop d'étrangers sur la liste ". Il invite les militants à être vigilants sur la liste électorale en dénonçant les fraudeurs. Aucun détail ne doit leur échapper. Le ministre Richard Kadio saisit l'occasion pour interpeller les ressortissants de la sous-région en leur demandant de suivre la voie légale. C'est-à-dire qu'ils introduisent une demande de naturalisation en bonne et due forme auprès des services compétents. C'est le cas, par exemple, de Adama Dahico. Ce dernier est malien d'origine. Aujourd'hui, il est devenu ivoirien. Mieux, il est candidat à la présidentielle prochaine. La recomposition de la Commission électorale indépendante et du gouvernement n'a pas été occultée. L'envoyé d'Affi N'Guessan indique qu'en dissolvant les deux institutions, le Président Laurent Gbagbo démontre qu'il est le seul maître à bord du navire ivoire. La preuve, dans le nouveau gouvernement, il a renvoyé tous les ministres indisciplinés de l'opposition qu'il ne voulait pas voir. D'ailleurs, cela a créé un désordre au sein de l'opposition ivoirienne. Tout le monde voulait devenir ministre.
La réunification et le désarmement
Le ministre Richard Kadio soutient que la réunification du pays et le désarmement des ex-rebelles sont les futurs combats que La majorité présidentielle va mener. Puisque c'est une nécessité. Tant que ces questions ne seront pas résolues, il sera impossible d'organiser les élections. D'ailleurs, la constitution est claire. Ainsi, son article 38 stipule : " En cas d'événements ou de circonstances graves, notamment d'atteinte à l'intégrité du territoire, ou de catastrophes naturelles rendant impossible le déroulement normal des élections ou la proclamation des résultats, le Président de la Commission chargée des élections saisit immédiatement le Conseil constitutionnel aux fins de constatations de cette situation. Le Conseil constitutionnel décide dans les vingt quatre heures, de l'arrêt ou de la poursuite des opérations électorales ou de suspendre la proclamation des résultats. Le Président de la République en informe la Nation par message. Il demeure en fonction (...) ". Raison pour laquelle, il demande aux Forces nouvelles de déposer les armes. Il est prévu quelque chose pour tous les combattants qui vont déposer les armes. Certains, qui remplissent les conditions, iront dans l'armée s'ils le désirent. D'autres, qui préfèrent la vie civile, seront réinsérés dans le tissu social. Abou Sangolobé, Ddc de Gbagbo à Dabakala s'est appesanti sur l'union au sein de La majorité présidentielle. Afin que la victoire de son candidat soit éclatante au premier tour.
Yacouba Gbané
Envoyé spécial à Dabakala
“Le nettoyage de la liste électorale est une question qui nous tient à cœur. Nous n'entendons pas nous laisser faire ". C'est le message essentiel que le ministre Richard Kadio a tenu devant les militants de La majorité présidentielle de Dabakala. Il soutient même que la majorité présidentielle n'entend pas aller aux élections comme un mouton qu'on conduit à l'abattoir. Tout sera mis en œuvre pour que ces élections se déroulent dans la transparence et l'équité. Par conséquent, il faut une liste propre. C'est-à-dire extirper tous ceux qui n'ont pas le droit d'y figurer. Et intégrer ceux qui ont droit. " Tant que nous n'avons pas désinfecté la liste électorale, nous n'irons pas aux élections. Nous n'irons pas aux élections à n'importe quel prix. Il faut que l'opposition et son soutien extérieur le sachent ". " La fraude est massive. Si nous acceptons la liste en l'état, c'est fini pour nous. Il y a trop d'étrangers sur la liste ". Il invite les militants à être vigilants sur la liste électorale en dénonçant les fraudeurs. Aucun détail ne doit leur échapper. Le ministre Richard Kadio saisit l'occasion pour interpeller les ressortissants de la sous-région en leur demandant de suivre la voie légale. C'est-à-dire qu'ils introduisent une demande de naturalisation en bonne et due forme auprès des services compétents. C'est le cas, par exemple, de Adama Dahico. Ce dernier est malien d'origine. Aujourd'hui, il est devenu ivoirien. Mieux, il est candidat à la présidentielle prochaine. La recomposition de la Commission électorale indépendante et du gouvernement n'a pas été occultée. L'envoyé d'Affi N'Guessan indique qu'en dissolvant les deux institutions, le Président Laurent Gbagbo démontre qu'il est le seul maître à bord du navire ivoire. La preuve, dans le nouveau gouvernement, il a renvoyé tous les ministres indisciplinés de l'opposition qu'il ne voulait pas voir. D'ailleurs, cela a créé un désordre au sein de l'opposition ivoirienne. Tout le monde voulait devenir ministre.
La réunification et le désarmement
Le ministre Richard Kadio soutient que la réunification du pays et le désarmement des ex-rebelles sont les futurs combats que La majorité présidentielle va mener. Puisque c'est une nécessité. Tant que ces questions ne seront pas résolues, il sera impossible d'organiser les élections. D'ailleurs, la constitution est claire. Ainsi, son article 38 stipule : " En cas d'événements ou de circonstances graves, notamment d'atteinte à l'intégrité du territoire, ou de catastrophes naturelles rendant impossible le déroulement normal des élections ou la proclamation des résultats, le Président de la Commission chargée des élections saisit immédiatement le Conseil constitutionnel aux fins de constatations de cette situation. Le Conseil constitutionnel décide dans les vingt quatre heures, de l'arrêt ou de la poursuite des opérations électorales ou de suspendre la proclamation des résultats. Le Président de la République en informe la Nation par message. Il demeure en fonction (...) ". Raison pour laquelle, il demande aux Forces nouvelles de déposer les armes. Il est prévu quelque chose pour tous les combattants qui vont déposer les armes. Certains, qui remplissent les conditions, iront dans l'armée s'ils le désirent. D'autres, qui préfèrent la vie civile, seront réinsérés dans le tissu social. Abou Sangolobé, Ddc de Gbagbo à Dabakala s'est appesanti sur l'union au sein de La majorité présidentielle. Afin que la victoire de son candidat soit éclatante au premier tour.
Yacouba Gbané
Envoyé spécial à Dabakala
